Le fantôme du lycée (partie 2)

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Vendredi

XX Septembre XXXX

 

Le lendemain matin, je m'habillais d'une robe violette, d'un collant opaque noir et pris mon petit déjeuner en compagnie de ma mère puis mis mes bottines violettes et montais au lycée.

Le lendemain matin, je m'habillais d'une robe violette, d'un collant opaque noir et pris mon petit déjeuner en compagnie de ma mère puis mis mes bottines violettes et montais au lycée

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Voilà une nouvelle journée qui commence... Pensais-je en rentrant dans le bâtiment principal. Je ne pus marcher que de quelques mètres pour me retrouver nez à nez à Ambre, Li et Charlotte.


Génial... Pensais-je en les voyant s'approcher de moi :


Ambre: Alors comme ça, on a peur des fantômes ! Ahahah ! Li nous a raconté que vous avez entendu un bruit et que t'es partie en courant comme une fillette ? La honte !


Moi: Moi, « partir en courant comme une fillette», répétais-je en faisant des guillemets avec mes doigts. Je regardais Li droit dans les yeux. Je suppose que tu ne leur as pas dit que tu avais crié et flippé, hein ?


Ambre et Charlotte regardèrent Li en fronçant les sourcils, celle-ci les regardait quelque peut embarrasser :


Li: Pff... N'importe quoi... Comme si le lycée était hanté... Essaya-t-elle de se justifier, en levant les yeux au ciel.


Sur ça, elles s'en allèrent sans demander leur reste. C'est tellement plus facile d'inverser les rôles, pensais-je en les regardant s'éloigner vers la salle d'étude.


Ayant cours qu'à 10 heures et m'étant levé beaucoup trop tôt, je décidais d'aller faire un tour dans la cage d'escalier, voire si je trouverais quelque chose concernant l'ombre de la veille.


Peut-être y trouverais-je des indices qui sait, pensais-je àmoi-même. Ne voyant rien d'inhabituel dans les couloirs, je décidais de descendre au sous-sol.


J'allumais sur l'interrupteur de la lumière, situé à gauche et descendis les escaliers où j'y découvris une salle en bordel. 


Il y avait des cartons, une échelle et des fils qui trainait par terre : un vrai dépotoir ! Des toiles d'araignées par tout... De la poussière... La femme de ménage est nulle ! Pensais-je en examinant la pièce.


Au milieu de tout ça, j'y trouvais des traces noires par terre, comme si on avait écrasé plusieurs cigarettes sur le sol, ainsi qu'un petit carnet vert foncé.

Deux coeurs en hiverWhere stories live. Discover now