Aria Jones, une jeune fille sensible et timide de 18 ans, entame un nouveau chapitre passionnant de sa vie lorsqu'elle déménage à San Francisco avec sa famille.
Alors qu'elle entame sa dernière année au lycée prestigieux « Sweet Amoris », la jeune...
Ce matin, je me suis réveillée plutôt en bonne forme !
En effet, c'était aujourd'hui que Castiel devait revenir au lycée et je devais avouer que cette nouvelle me mettait particulièrement de bonne humeur.
Devant mon dressing, je sélectionnais : la robe que Maman m'avait achetée lors de leur événement, une veste en cuir noir, un collant de la même couleur avec des motifs de papillons.
Ensuite, je partis dans la salle de bain me préparer et décidais de porter comme accessoires : un bracelet en or au poignet gauche et un bracelet de perle violet au poignet droit.
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Je pris mon sac sur l'épaule et descendais les escaliers vers la cuisine. Je mangeais mon petit-déjeuner dans le silence en traînant sur mon portable.
Puis une fois cela fait, je nettoyais ma vaisselle, les posais dans l'égouttoir et sortis de la cuisine pour aller dans l'entrée mettre mes bottes noires.
Je sortis de la maison en fermant la porte à clef et suis partie en direction du lycée.
Arrivée au bahut, je passais le portail et rentrais dans la cour pour marcher vers la porte du bâtiment principal.
J'avais à peine marché de quelques pas que la porte de la salle des délégués s'est ouverte et que quelqu'un me percuta de plein fouet :
Moi : Aïeuuuuh ! M'exclamais-je surprise.
??? : Oh excuse-moi Aria... Je ne t'avais pas vu... !
Mon délégué se tenait là, près de moi, l'air nerveux :
Moi : C'est rien... T'inquiètes pas, je ne regardais pas où j'allais, lui souriais-je en souriant.
Au même moment, quelqu'un me bouscula durement l'épaule. Eeeeh ça suffit, je ne suis pas un puching ball ! Pensais-je en me frottant l'épaule avec douleur :
Moi : Eh oh ! Ne dis pas pardon surtout ! Lui criais-je en fronçant les sourcils.
Il m'a fait mal ce con !
La personne se retourna vers nous et je pouvais voir que c'était Castiel :
Castiel : Qu'est-ce que tu fous en plein milieu du couloir ? Me demanda-t-il en arquant un sourcil.
J'allais lui répliquer que je n'étais pas « en plein milieu du couloir » comme il disait, mais Nathaniel alla plus vite que moi :
Nathaniel : Ah tant que tu es là Castiel... Commença-t-il nerveusement. Je te cherchais...
Castiel : Qu'est-ce que tu me veux, lui lança-t-il sur la défensive.
Nathaniel : La directrice demande à te voir maintenant, lui expliqua-t-il poliment. Au sujet de tes absences...
Castiel : *en soupirant* Pfff... On va me foutre la paix cinq minutes avec cette histoire oui ?! Dit-il en levant les yeux au ciel.
Il commença à faire mine de partir avant de se raviser et de me regarder en fronçant les sourcils :
Castiel : Tu vas rester ici encore longtemps ? Me demanda-t-il en s'énervant.
Moi : Eeeeeh ooooh ça va hein ! Lui fis-je remarquer en soufflant. Je vais bouger là... Lui répondis-je en levant les yeux au ciel, saouler.
Castiel : Eh bien, bouge maintenant, dit-il en me prenant le bras et m'emmenant avec lui dans le deuxième couloir.
À côté de son casier, je me suis défait de son emprise :
Moi : Eh ! Mais qu'est-ce qui te prend ? Lui demandais-je, surprise par son comportement.
Castiel : Je vois que tu traînes encore avec ce bon à rien... Me lança-t-il en fronçant les sourcils.
Moi : Je vois que t'as encore reçu l'Oscar de la bonne humeur... Lui lançais-je en croisant les bras sur ma poitrine.
Castiel : J'ai appris que c'était lui qui t'avait consolée lorsque j'avais fait de la merde... M'annonça-t-il tristement avant de se mettre à soupirer : Ne reste pas seule avec ce crétin, c'est tout.
