𝗱𝗶𝘅-𝗻𝗲𝘂𝗳

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𝙣𝙖𝙗𝙞𝙡

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𝙣𝙖𝙗𝙞𝙡


𝗺𝗮𝗿𝘀 𝟮𝟬𝟬𝟳

— Arrête de rire testa di cazzo, elle grognait.

Sa phrase faisait tout l'effet inverse sur moi et mon rire redoublait alors qu'on entrait dans son hall. Je posais ma main dans sa nuque en saluant les teneurs de murs que je connaissais de vue et elle faisait de même. Je voyais ni mon reuf ni le sien et j'avoue que je trouvais ça chelou, mais j'enlevais les mauvaise pensées de mon esprit en continuant mon chemin avec ma brune. On finissait par s'engouffrer dans l'ascenseur alors que madame me faisait toujours la tête.

— Tu boudes ?, je demande un rictus aux coins des lèvres.

— Non.

Sa réponse était sèche et elle ne me calculait même pas. Elle me faisait la gueule parce qu'en sortant du lycée j'étais accompagné de Nina. Je crois qu'elle me parlait des cours, j'sais même pas en vérité, j'étais trop concentré sur ma petite brune qui marchait vers moi. Je lui avais même pas adressé la parole à Nina mais Lu' était verte de jalousie, en même temps elle sort de cours et elle me voit avec Nina devant les grilles du lycée, ça peut se comprendre... Et puis, j'avoue que je kiffais quand elle faisait sa jalouse.

— Fais moi un bisou alors, je demandais.

— Non, elle claquait une nouvelle fois.

Je pouvais pas m'empêcher de rire alors que les portes de l'ascenseur s'ouvraient. Je me mettais entre elle et les portes ouvertes pour lui bloquer le passage alors qu'elle grognait dans son coin.

— Pousse toi Nabil, elle soupirait.

— Tant que j'ai pas mon bisou, on sort pas, je déclarais.

Tu crois que tu me fais peur ?, elle haussait les sourcils alors que je souriais comme un con.

Oui, un petit rire sortait de sa bouche et je prenais ça pour une petite victoire personnel. Allez Nab', laisse moi passer s'tu plaît.

Je secouais négativement la tête en restant toujours devant elle pour ne pas qu'elle sorte pendant qu'elle soufflait une énième fois alors que j'appuyais sur le numéro de l'étage le plus haut de la tour en ricanant face à son visage dépité.

— T'es un gamin Nabil, elle laissait échapper entre ses lèvres presque fermées.

Putain j'aime trop quand elle prononce mon prénom avec son accent, et quand elle est énervée c'est encore pire.

Je m'approchais d'elle pour la coller contre la paroi de l'ascenseur derrière elle alors qu'elle me fixait de ses grands yeux bruns. J'attrapais son visage dans mes deux mains en attendant une réaction de sa part qui n'arrivait pas me faisant soupirer. Wesh elle faisait la gueule pour de vrai ?

𝗶𝗻𝗱𝗶𝘀𝘀𝗼𝗹𝘂𝗯𝗶𝗹𝗲 | 𝗻.𝗼.𝘀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant