chapitre 8

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La nuit semblait infinie et les heures devenaient des siècles. La lune baignait sa chambre comme seule accompagnement de ses pensées, elle a beau cherché le sommeil, il n'est pas venu, on dirait que ses paroles l'eurent atteinte beaucoup plus qu'elle ne pensait, elle ne cesse de regarder l'heure sur sa pendule, demain à l'heure du déjeuner, elle donnerait sa démission et partira dans le même jour se dit-elle, à quoi bon rester puisque ce pourquoi elle était venue est comme n'a jamais été commencé et inutile de faire des stats pour voir où existe un petit bout de progrès chez son patient.

Aux alentours de minuit, alors qu'elle réfléchissait encore à ce mois perdu dans sa carrière quelqu'un entra dans sa chambre et s'étala sur son lit elle poussa un cri de surprise tout en essayant de trouver sa lampe de chevet pour l'allumer avant que cette même personne couvra sa bouche de sa main, Et lui chuchota de se taire. Elle reconnut aussitôt la voix de Nath. Elle mit une main sur son coeur, alluma la lampe de chevêt et se perdit un moment dans la contemplation de son torse si musclé, il est bien bâtit le grincheux se dit-elle avant de se reprendre et la questionna en colère.

- Que fais-tu dans ma chambre Nathaniel?

- Mon frère peut passer la nuit avec toi mais moi non.

-Hors de ma chambre. Rugit-elle encore plus faché.

Elle se leva prêt à ouvrir la porte quand Nath la bouscula sur le lit et s'emparra de ses lèvres, un sentiment de déjà vu prend place dans sa mémoire et se souvint de son rêve érotique. Elle se débatta, le répoussant de tout part allant jusqu'à lui mordiller la lèvre mais Nath resta impassible et appronfondie le baiser.

Il fouilla sa bouche de sa langue comme un être privé trop longtemps de sa dû. Il la tena d'une main et l'autre pétrissait ses grosses fesses sous sa petite robe de nuit. Prenant peu à peu goût au baiser, elle oublia un instant leur differend. Elle enroula ses pieds derrière son dos et ses mains se perdent dan ses cheveux. Il grogna dans son cou avant de descende en sillonant son corps de baiser, il défait l'une des bretelles de sa robe et s'accaparait d'une de ses seins, il la suça tout en pétrissant ses fesses.

-Tes fesses sont tellements fermes comme je les aime. Argumenta-t-il la voie emplie de désir.

Elle répond par un gémissement provenant du fond de sa gorge, son corps fut envahit de millions de frissons et elle rejeta la tête en arrière lorsqu'elle sent son érection froler son entrejambre, elle perdit la notion du temps et ne sent que désir et désir.
Nath fut de plus en plus insistant il fut glisser sa petite robe jusqu'à ses cuisses avant de faire subir le même sort que le premier au deuxième sein. Il la sillona de bisous tout en descendant plus bas, il chatouilla son nombril et s'arrêta à son pubis, ne recevant aucune interdiction, il fait glisser sa petite culotte au même niveau que la robe et il enfonça un doigt en elle et continua à l'embrasser dans les zones périphériques.

-T'es toute mouillée pou moi petite coquine.

Il enfonça un deuxième doigt en elle et elle ne cesse de bouger espérant se libérer de cette chaleur qui grandissait de plus en plus dans son bas ventre. Le plaisir monta de plus en plus, elle gesticulait dans tous les sens et un de ses pieds frappa son érection déjà fièrement dresser.

-Achelie putain. Gemit-il au contact de son pied à son érection.

A l'entente de se prénom elle racoquilla ses jambres molles par le désir et se libera de sa prise allant se récroqueviller au sommet de son lit, elle remonta sa culotte et sa robe jusqu'à couvrir ses seins en observant une lueure d'incompréhension dans le regard de Nath.

-Tu te foue de ma gueule. Hein. Clama-t-il mécontent.

- C'est toi qui te foue de la mienne salopard.

Ni une ni deux il s'approcha d'elle et la saisit par le coup

- Tu préfères quand c'est Daniel qui te baise sale catin. Dit-il rouge de colère

Elle ne réflechit même pas et l'assaillit d'une paire de claque.
Il la relacha sonné par la force qu'elle a mit et le regarda s'enfuir dans la salle de bain. Il l'écouta sanglotter et il mit un coup dans le matelat avant de se lever et de regagner sa chambre pour aller broyer du noir comme à son habitude.

Le fils du presidentUnde poveștirile trăiesc. Descoperă acum