chapitre 41

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     7 heures 20 minutes. Lis-je sur mon portable en frappant une nouvelle fois sur la porte d'entré.
     Des secondes plutard, madame Romain est venu m'ouvrir, ne cachant pas sa surprise. Personne ne m'attendait.

-Mon garçon, rentre donc, personne ne m'a parlé de ta venue.
-A vrai dire, personne ne le savait aussi. Je passais dans le coin et j'ai pris du temps pour venir.
-Je comprends. Mon mari dort déjà, il a eu une dure journée. Je vais t'appeller Nassecka ou tu vas rester pour la nuit.

Je fais semblant de regarder l'heure et dit.

-Je ne sais pas trop...
-Allons, allons, si tu penses revenir demain, mieux vaut rester. Je te conduis à sa chambre, elle ne se sent pas bien depuis quelques jours, elle se couche très tôt.
-Hmmm

Nous arrivons devant la chambre et on entend des voix discuter à l'intérieure. Puis la mère de famille frappe.
-Je peux rentrer. Dit-elle
-Oui, maman. Repond la voix qui fait battre mon coeur.
-Je suis accompagné.
Dit-elle avant de rentrer en me trainant derrière elle. Je vois Nassecka se rasseoir en me fusillant du regard et sa soeur prenant son fils dans ses bras en se tenant debout
-Bonsoir. Fis-Je embarasser.
--Bonsoir. Répond sa soeur.
-Que fais-tu là?
-Bon, je vous laisse seul. Dit la mère avant de s'éclipsser suivit de la soeur.
-Dit bonne nuit à tata.
Son fils obéit et ensuite ils partent nous laissant seul.

Un silence s'installe entre nous, je prends appuie sur la porte et elle se couche sans me regarder en s'enroulant dans la couverture. Elle m'ignore complètement. Je m'approches de son lit et m'assoit près de sa cuisse.
-On peut parler. Dis-je tout bas.

Elle ne me calcule même pas. Puis je la regarde et voit ses yeux larmoyants. Je dépose ma main sur sa hanche et la caresse doucement.

-Je suis désolé que tu aies vu ça, c'était pas mon intention de te blesser en allant la voir, je voulais mettre les choses au claire avec elle. Je ne m'attendais pas à être pieger. Pleure pas pour ça mon coeur.

Elle repousse ma main vivement et se tourne de l'autre coté du lit me donnant dos.

-S'il te plait mon amour laisse-moi arranger les choses. Ça me fend le coeur de te voir comme ça.
-Va-t-en Nathaniel.

Les mots me percuttent durement, brissant les dernières rempart d'espoirs que j'avaient. Pourtant, je ne me ressouds pas à laisser tomber. Alors j'enlèves mes chaussures, mon jeans et mon maillot et me me glisse sous la couverture derrière elle et la force à venir dans mes bras.

-Lache-moi... je t'ai dit de partir.
-Je sais que c'est pas ce que tu veux...je suis venu juste pour toi, pour que nous partons comme convenue quand tu seras prête. Je suis tout à toi mon ange, frappe moi, insulte moi mais fais moi confiance. J'ai besoins que tu crois en moi.

Elle reniffle dans mes bras et enfonce sa tête dans mon torse.
-Pourquoi tu ne m'as pas écouté? T'es allé le voir malgré que je t'avais dit de ne pas le faire.
-Je voulais simplement éviter qu'elle nous embête à l'avenir comme ce qui est en train de se produire là. 
-J'ai fait une crise à cause de ça, je ne peux pas oublier combien ça m'a fait mal, ça a fait mal à notre bébé, j'ai peur qu'il ne survit pas à cause de moi.

Je sourie un peu ayant confiance puisqu'elle parle de NOTRE bébé, non pas son bébé tout court.

-Je suis là maintenant d'accord. Je vous protegerai, il va survivre parcequ'il tient de ses parents, nous sommes fort.
-C'étais pas toi, hein. Dit-elle faiblement en me regardant dans les yeux.
-Non, mais j'étais chez elle ce jour-là vraiement, j'étais rester devant la porte d'entré et elle s'est plongé sur moi ce qui explique le bisous devant la porte mais je l'ai repoussé. De toute façon ça ne se reproduira plus.
-Tu me le promet?
-Je te le promet tresor. Viens plus près de moi.

Elle avance de façon à ce que rien ne se trouve entre nous, sa tête sur mon torse.
-Tu es malade? On me dit que tu ne vas pas bien.
-Ça va mieux, je dois juste ne pas trop stresser.
-Je vois...
-Tu vas rester?
-A toi de voir.
-Tu es venu seul.
-Chez toi oui mais mes hommes sont restés à Satama là où sont mes bagages.
-Hors de question que tu te ballades seuls dehors jusqu'à satama à cette heure. Reste autant que tu veux.
-J'esperais que tu dises ça, j'ai besoins de ma femme.

Je la sens sourire contre moi et elle se colle encore à moi.

-Fais gaffe à ma fille toi. Ris-je
-C'est mon fils.
-C'est une fille petite
-un garçon, et qui est petite?
-T'es ma petite à moi.
-On dirait un pervers.
-Tu connais bien mon coté pervers pour savoir que là ça n'a aucun rapport. Dis-je en commençant à avoir les mains baladeuses.
-Hé! Ta main...rit-elle en me tapant dessus.
-T'as saisi le truc maintenant.
-Ouais. Ouais...
Je ris encore une fois et continue à balader ma main où bon me semble. Je m'attarde sur ses seins un peu plus.
-Ils ont encore pris du volume.
-Qu'est-ce-que tu racontes toi? Tu ne regardes même pas. Rit-elle
-Bas je connais leur taille les yeux fermés, j'ai l'habitude de les tenir et je te jures là ils sont un petit peu different. Par exemple je vais te le dire pour tes fesses s'ils sont comme avant. Dis-je en joignant le geste à la parole. Elle n'arrête pas de rire face à ma mine serieuse en palpant ses fesses.

-Quel est ton verdict doc?
-Ceux-là ils n'ont pas changé, ferme, ronde et très touchable. Fis-je en l'administrant une fessé.
-Ayyy! T'es pas croyable bébé
-Je sais bébé, je suis super badasse.

Nous éclatons de rire, puis elle remonte sa tête pour sceller nos lèvres. Comme toujours c'est chaud, sensuel et profond. Je la soulève pour qu'elle se retrouve à califourchon sur moi. Elle enroule ses doits sur ma tête et mon cou et moi je pince ses fesses que j'aiment tellement d'une main et de l'autre soutient sa hanche pour accentuer sa cambrure. La chaleur monte petit à petit et nous rompons le baiser à court de souffle. Front contre front nous nous observons avant de recommencer à s'embrasser de nouveau. Je parcours son dos de mes mains et mordille sa lèvre inferieure. Elle relache un petit gemissement qui réagit direct sur mon troisième pied qui se met au garde à vous. Je commençais à devenir dur, beaucoup trop étroit dans mon boxer, je la repousse doucement et elle s'asseoit sur mon membre devenu douloureux, un râle de douleur m'échappe et je la renverse sur le lit.
-Nous avons un petit problème princesse. Si on ne s'arrête pas là maintenant je ne pourrais pas me retenir. Expliquais-je .

Le fils du presidentजहाँ कहानियाँ रहती हैं। अभी खोजें