CHAPITRE 25

20 2 0
                                    

          Deux semaines que ça dure et déjà elle en a marre de suivre Nathaniel, à chaque séance il parle de cette personne qu'il a rencontré pour qui il veut tant changer. Pas que ça la derange mais elle sent que sa maitrise face à la situation est entrain de l'échapper, elle veut savoir plus mais son profesionnalisme l'en empêche d'autant plus que le concerné ne veut pas s'établir sur le sujet, elle sent qu'il joue avec ses nerfs et aujourd'hui encore ça va être sur le tapis, c'est sur.
    Daniel vient de partir il ya 20 minute donc sa majesté, son excellence vient de prendre 10 minutes de retard puisqu'il s'impose une pause de 10 minutes entre les deux pour éviter de confondre les choses si semblable. Leur traumatisme sont lié avec quelques differences près, avec Daniel c'est plus facile mais il reste encore des zones sombres à eclairecir.

-Je suis en retard...

-Et c'est quoi le motif cette fois?

-Aucun

-Je crois avoir été claire sur le fait qu'on arrive sous aucun cas en retard délibérément dans ma séance.

-C'est la tienne maintenant, je croyais que c'était notre.

-Tu le fais exprès, rappelle toi qui a passé un marché avec son frère apparemment c'est pas moi. Tu peux t'assoire pour commencer. Bien parle-moi de ta journée aujourd'hui.

-Bof, c'est pareil la routine rien de nouveau et toi

-Ca va. Niveau emmotionnel est ce que c'est toujours au même point que la dernière fois.

-Je crois qu'il y a du progres mais il y a certaines choses qui restent dificile.

-Parlant de difficile nous allons faire un contre choc, parle-moi de la dernière personne a avoir briser ton Coeur.

-Je ne peux pas encore en parler.

-Si, tu le peux, tu te barricardes simplement.

il contracte la machoire, et dissimula sa rage ayant capté ce qu'elle essaie de faire.

-Je ne veux pas en parler. c'est même toi qui nous raconte chaque fois qu'on doit laisser faire les chosses.

-Oui, mais toi tu refuses d'avancer et il n'ya pas meilleur moyen de guerrir d'une plaie psychologique que de l'affronter. Tu te morfonds dans une rage appartennant au passé alors que les fantomes de ton passer, eux, vivent et ont peut être oublier ton existence. Par exemble Achelie et ton meilleur ami, comment il s'appelle déjà, Clody, vont avoir un enfant dans quelques mois.

Ce fut la phrase de trop, celle a ne pas dire en ce moment, d'un coup Nathaniel se met debout et envoyer valser contre le mur quelques objets à sa porter, il plonge dans une colère sombre, il n'aime pas entendre ce qu'il sait déjà et qui sonne comme un enième échèc dans sa vie.
    Ses deux enfoirés qui lui ont bousillés une partie de sa vie continuent à profiter de leurs siennes. il n'aime pas savoir qu'ils ont réussis alors qu'il reste la bête solitaire incapable de passer à autre chose pour une simple amourette, C'etait bien plus que ça, il l'aimait au point de non retour, il était amoureux.

Elle le regarda exprimer sa frustration, ébahit sous l'empleur de son affectation jusque là inconnue. C'est à ce moment qu'elle prend conscience de l'amplitude des sentiments qu'il avait pour cette femme qu'elle maudit. Elle se decide à intervenir en lui intimant de s'asseoir, chose qu'il ne fait pas alors elle se lève et se positionna sur son passage et reitère sa question doucement

-On doit continuer mais si tu ne te sens plus capable, je peux comprendre.

-Tu es satisfait de me voir comme ça hein avoue le.

-Je ne suis pas là pour exprimer mes ressentis ni pour jubiler de ta peine, je veux juste t'aider.

-Comment pourras-tu m'aider si toi même tu ne sais pas ce que s'est l'amour en vrai

Le fils du presidentWhere stories live. Discover now