Chapitre 18

23 1 0
                                    

-Me faites pas ça svp

Il ignora ses cris de protestations, et continua sa besogne, elle fut immobile seule les sobressauts de ses pleurs se font entendre dans la pièce et son agresseur continua à la toucher de partout, il l' embrassa, le mordilla et tenta de se faufiller plus loin mais elle resista de ses jambes serrées tres forts l'une contre l'autre, soudain un élant de courage le prend et elle envoya son pied de toute ses forces dans sa partie intime et il s'eccroula par terre de douleur.

-Tu vas me le payer salope.

Après quelques minutes de répis il se leva, la frappa et l'injuria de tous les noms avant de se barrer de la pièce. Elle se trouva seule et libère les quelques larmes qui lui restait, à present elle sait ce qui l'attend avant sa mort, elle sait qu'il reviendra achever sa besogne mais ne sait pas quand.

La nuit fut longue et troublante, elle n'a pas pu fermer l'oeil à aucun moment de la nuit. La peur habitait chaque parcelle de sa peau, on se croit toujours differente, à imaginer que si on était dans cette situation on ferait tel ou telle chose pour s'échapper mais il n'en est rien de cette bravoure quand on s'y trouve au Coeur de l'action.

Assis toujours au même endroit, la jeune femme eut peine à contenir la fatigue qui l'envahit, cependant pour elle, c'est une question de survie de ne pas sombrer. Vers les premières lueures du soleil, comme elle s'y attendait la porte de la petite pièce s'ouvra prudemment évitant ainsi de faire le moindre bruit, elle se met en position de défense les yeux  grandes ouvertes attendant son agresseur, elle se dit que cette fois elle saura pas quoi faire pour se defendre puisqu'elle sait que ce dernier sera beaucoup plus brusque que la dernière fois. Elle ferma les yeux une seconde, inspira un bon coup et les rouvrir pour tomber sur un buste droit et une taille differente de son agresseur, elle prit beaucoup plus peur et ne bouge plus quand ce tas de muscle s'abaisse jusqu'à ce que le visage de l'homme soit en face de la sienne

-Nassecka Romain?

-Ou...Oui.. répond-elle en bafouillant.

Ce fut la seule phrase qu'est prononcé l'homme avant de s'écarter et observer les lieux avant de partir comme il était venu. Elle fut prise de doute et incapable de decrire ce qui vient de se produire.

Quelques heures plus tard, alors qu'elle somnolait un peu des bruits assourdisants se firent entendre à l'exterieure, on dirait un échange entre soldats tant les balles sifflaient rapidement, des voix s'élevaient tout près de la ou elle est, des cris de douleurs et des hommes qui s'injurient, elle priat Dieu pour qu'elle ne se trouve pas entre une guerre de gangs. La porte de sa pièce fut ouverte à la volé, elle n'a même pas eu le temps de voir le visage de la personne quand on commença à demuer les liens qui l'enchainait et le souleva conne une poupée de porcelaine.

-Silence et cache ton visage, ne regarde pas ce qui t'entoure, ok.

Fut la dernière chose qu'elle entend de la même voie de ce matin avant de perdre connaissance sous l'effet d'accumulation de stresse.

Une odeur de terre mouiller, mêler au bruit sourd d'une pluie batante lui fit émergé de son sommeil, le lit est si douillet qu'elle n'a point envie de le quitter, elle s'étira de tout son long quand une douleur au niveau de l'abdomen lui fit ouvrir les yeux rapidement et observa les lieux, elle ne se rappelle pas avoir connu cette chambre, elle inspecta les moindres détails quand un tilt se fait dans sa tête et se remémorre les circonstances. La peur prit immédiatement possession d'elle et elle tente de s'échapper tant elle n'a encore vue personne. Elle inspecte sa tenue et se voie dans une robe de grand mère, elle souria malgré tout se dissant que la maitresse de maison n'a aucun gout, elle prit direction de la porte et tourna le loquet doucement pour l'ouvrir et fut ravie qu'il ne résiste pas. Sur la pointe des pieds elle suiva le couloir qui s'offre devant elle en regardant derrière elle si personne n'est la.

Le fils du presidentWhere stories live. Discover now