chapitre 42

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      Je me réveille étouffé dans les bras chauds de mon homme, oui enfin mon homme je l'ai dit. Je le regardes dormir paisiblement, le visage calme sans aucune ride qui barre son front. A cet instant je me dis que rien ni personne ne m'empêchera de vivre ça chaque matin qui me reste à vivre. J'embrasses son nez, sa bouche, ses joues, son menton et sa bouche et je le suspecte d'être réveiller, sa bouche tremble sous un sourire cacher.
   Je décides de jouer un peu je descend à sa pomme d'adam que j'embrasses également,  son torse, chacun de ses tétons, son cote gauche près de son coeur, son abdomen, son nombril...je disparaissais encore plus sous le dras quand deux mains chaudes me retiennent.

-Sort de là, petite coquine.
-Je croyais que tu dormais? Sourie-je.
-Tu comptais me réveiller avec une fellation?
-Tu as de trop grand éspoir sous le toit de mes parents.

Il rit et sa voix du matin me fait encore plus d'effet.

-Donc tu savais que j'étais réveiller
-Tu n'es pas discret mon amour. Bonjour. Je continue en souriant et lui donnant un chaste baiser sur la bouche.
-Bonjour mon amour. J'ai hâte de me réveiller comme ça tous les matins.
-Moi aussi. Utilise ma salle de bains je vais nous chercher à manger.

Je descend du lit joyeuse , j'enfile une petite robe, passe à la douche et me rend à la cuisine où je trouve mes parents et ma soeur entrain de manger.

-Bonjour. Dis-je gêner en me souvenant de l'homme sous leur toît. Ils répondent tous bonjour et personne ne parle pendant que je remplie un plateau pour Nath. L'odeur du café me monte à la tête et j'ai envie de vomir.

-Laisse-moi t'aider. Bois ton thé.
-Merci maman.
-Il a honte de manger dans notre petite cuisine. Dit mon père.
-Non, j'ai voulu partager le repas en intimité avec lui puis je pensais que ça ne dérangerai personne vu qu'on mange rarement ensemble.
A toute à l'heure dis-je en enmenant la nourriture. J'ouvres la porte de ma chambre et le voit sortir de la douche serviette aux hanches.
-Ne bave pas ma cherie.
-Habille-toi avant que ça se reffroidisse.
- bien cheffe.

Je rentre à mon tour dans la douche pour me baigner, à mon retour je le trouve assis au pied du lit entrain de manger. Dire que mon père pensait que c'est un homme compliqué.

-Tu ne pouvais pas rester sur le lit.
-Je me sens plus à l'haise comme ça.
-N'allez pas dire que je te nourrit par terre. Je lance en riant puis il me suivit dans mon délire. Je prends une pause pour me regarder dans le mirroir comme chaque matin pour voir mon ventre. Il commence à sortir à la vue de tous bientôt tout le monde sera au courant.

-Tu es magnifique.
-merci.
Je sens du mouvement derrière moi avant que je voie deux mains venir se poser sur mon ventre et sa tête derrière moi dans le mirroir.

-Il faut que je filme ça.

Je le vit prendre son téléphone et on immortalise le moment par divers photo.

-Viens manger mon ange, après on sort.
-J'aimerais te dire un truc. Fis-je en croquant dans mon pain.
-Je t'écoutes.
-Je voulais emmener ma soeur avec nou à la capitale, je veux dire vivre avec nous quelques temps avant qu'elle trouve sa voie là-bas. Je ne sais pas si tu acceptes?
-Si elle respectera les règles, je ne vois pas d'inconvennient.
-Et tes parents?
-Je vais leur demander. Je dois rentrer ce weekend soit samedi au plus tard. Te sentiras-tu prête à y aller ce même jour.
-Oui. Je dois simplement faire mes valises.
-Prends le stricte necessaire, on avisera une fois...
-Je vais emporter la majeure partie de mes affaires.
-Têtue que tu es je ne vais pas en discuter.
-Je t'aime Nath.
-Moi encore plus Nasse
Nous mangeons avec gourmandise, surtout moi vu que je mange pour deux donc je ne me fait pas desirer.

Tous s'annoncent joyeux pour la journée, après manger, nous nous sommes sovés pour aller à la plage, où une excellente journée nous attendait. Le soleil chaud, le bruit des vagues, l'air frais de la mer, l'odeur de la mer mélangé aux diffentes odeurs de friture, poissons, homard, banane, accra, paté, les boissons.  Tous forment un cocktail explosif qui vous donne envie d'y rester pour longtemps. 

A chaque fois je me demandais, comment font les gens avec le froid comme climat dominant. Ils en ratent quelques choses c'est sur.

Revenons à nos moutons, là nous sommes dans l'eau, impossible pour moi de prendre pied comme monsieur est plus grand, il se la pête et moi je rumine pour qu'il me lache pas en aucun cas.

-C'est drole que tu sais pas nager tresor.
-Je ne suis pas parfaite.
-Tu es hors du sujet ma belle, encore un sarcasme de ta part, je te lâches et je m'en vais. Rit-il.
-Tu n'oserais pas Nath.
-Si, essaies pour voir.

On se defie du regard tel deux gamins, puis on éclate de rire. Je crois que je ne vais jamais m'en passer de ce son, à croire ne pas le voir le faire à longueur de temps fait tout son charme. Je le sens plaquer un bisous mouiller au creux de mon cou, des frissons de surprise me parcours et je resserre mes jambes à sa taille. Blotie l'un contre l'autre, on se laisse bercer par la mer, chacun tripotant le cou de l'autre, j'y vais jusqu'à le mordre espérant le marquer un petit peu. C'est injuste que c'est moi qui ressort couvert de sussons à chaque fois et non monsieur.

-On sort. Entendis-je murmurer à mon oreille.

Après avoir jouer des mains et des pieds, nous voilà à la surface, rejoignant notre bungalow d'un pas rapide. Moi, toujours dans ses bras. Je me demandais à cet instant qu'est ce qu'il y a jusqu'à ce que je sens son desir pulser vers mes fesses. Un éclat de rire sort de ma gorge alors que Nath n'y prête même pas attention. Passant la porte, il le referme avec son pied, et me jettant presque sur le petit lit en bois.

-Tu n'es pas croyable Nath...l'eau ne suffit pas à calmer tes ardeurs. Ris-je de plus belle en le regardant me couvert de son corps d'un regard malicieux.
-Ma copine est trop bandante.
-T'es insatiable.
-Me charie pas toi, ça fait du temps que je ne t'ai pas touché. Dit-il en commençant à m'embrasser le corps.
Beurkk t'es salé.

Je rie de plus belle et plus fort en ramenant sa tête au niveau de mon visage.
-Embrasse-moi, comme ça je partagerai le gou de la mer avec toi, ça diminuera le sel.

Nous pouffons de rire avant de s'embrasser pour passer aux choses serieuses.

Nos mains baladeuses, nous nous embrassons à perdre haleine. Mes mains quittent ses cheveux pour empoigner ses fesses au moment où je sens un de ses doigts glisser dans le bas de mon bikini. Le souffle altant il mordille mon cou me provoquant des sensations immense comme au premier jour alors qu'il fait glisser ma culotte. Je m'occuppes de son short de bain, il descend à mes poitrines, les remplissent de ses baisers et enlève en même temps mon soutif. Une fois nu, je me sens transporter dans un autre univers, transporter par la chaleur moite du, peau contre peau. Sa chaleur corporelle se mélange à la mienne me procurant un bien être fou, être nu dans ses bras a toujours été la place que je préfères au monde depuis un certain temps. Je planes encore quelques secondes jusqu'à ce qu'une intrusion me ramène au moment présent, il commence  à bouger en moi m'offrant un rtythme soutenu qui me déplaise un peu, il prend son pied à me faire languire à chaque coup de rein en sortant tout entier pour venir me remplir de plus belle.

-Tu commences à rouiller un peu mon chéri.
-Je te protège pour que tu puisses marcher à rentrer chez toi ma cherie. Me sursurre-t-il joueur.
-C'est peut-être toi qui va manquer de force bébé.  Dis-je en changeant de position me trouvant assis au dessus de son basssin lui impossant mon rythme.

Le desir montre crescendo à mesure qu'on bouge, en changeant de position au bon vouloir de monsieur à chaque fois que je pense atteindre le but. Il me manipule comme son jouet me privant de jouissance, mes gemissements emplissent le bungalow et ceux qui sortent de sa bouche me prouve que lui aussi prend son pied.  Je le sens de plus en plus brutal, me prenant jusqu'à la garde multipliant mon plaisir contractant mon vagin. Cette fois je croies que c'est la fin, mon plaisir explose comme un volcan provoquant un feu intense, les larves jaillissant aux quatre coins me poussant dans les étoiles. Je le sens pousser son dernier coup de boutoir atteignant aussi sa jouissance. Nous nous  écrasons sur le lit, épuisé, remplit et heureux.

-Epouse-moi...Nassecka

Je l'entends le dire essouflé mais mon cerveau reffuse d'admettre ce qu'il entend, c'est trop tot, je ne m'y attendais pas, pas de si tôt.

Le fils du presidentWhere stories live. Discover now