Part 25

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Quoi? Comment ça assez de ces objets? Pourquoi ne veut-il pas s'en servir? Et si moi j'en ai envie, hein? Il respire contre moi et c'est bon à sentir.

- Pas besoin de ça pour en profiter, n'es-ce pas?

- Besoin de quoi? dis-je en le défiant.

Je veux qu'il me retire ce bandeau, maintenant! Même si j'ai très envie de lui, sur ce doux lit... 

- Besoin de ça... dit-il en passant ses mains derrière ma tête.

Puis il défait le nœud, mais le bandeau est toujours sur mes yeux. Je ne peux pas le retirer avec ses menottes, je tire doucement dessus pour lui faire comprendre que je veux qu'il l'enlève tout de suite. Je veux savoir, nom de Dieu!

- Mademoiselle Palmer impatiente et curieuse, ricane-t-il.

Oh, arrête, je t'en prie! Je commence à en avoir marre de ce jeu sans fin. Il soupire et baisote rapidement ma joue. Mes paupières sont caresser par le bandeau. 

- Toujours confiance? souffle-t-il contre mon oreille.

- Oui, putain, oui! Toujours! dis-je impatiente.

- Ouh la... Très impatiente et très curieuse, la demoiselle! rit-il.

Puis il s'assoit sur moi, sur mes hanches, je sens son érection en dessous de mon nombril. Oh, putain. Retire-moi ce bandeau! J'essaye de bouger la tête mais même si le bandeau bouge un peu, cela ne suffit pas.

- Toujours?... demande-t-il en déposant un baiser pile sur mon nombril.

Ses mains caressent mes côtes et s'aventurent sur mes bras. Va-t-il m'enlever ces menottes aussi? Oh, non, celle-là je les aimait bien. Seulement le bandeau, Zack. Je respire fort et de façon saccadant. Pitié. Il a peur, il angoisse. Je le sens. Je sens toutes ses émotions. Surtout nerveuses. Il a quand même un avantage ce bandeau. A défaut de ne pas voir ses émotions, je peux les ressentir. Je ne sais pas c'est quoi le mieux ni le pire. 

- Toujours, Zack... murmurais-je.

J'ai parlée comme la douceur d'une plume. Aussi calmement que possible. J'essaye de le rassurer. Que vais-je découvrir? C'est quoi ces objets? Il caresse ma joue et m'enlève le bandeau lentement, trop lentement. Je cligne des paupières plusieurs voir, j'ai retrouver la vue. Merci. Au lieu de regarder autour de moi précipitamment, je le fixe lui, il est anxieux et se mords la lèvre les mains posés sur mon ventre frissonnant. Pendant un long moment, je le regarde affectueusement mais ma curiosité reprends le dessus et je détourne le regards doucement autour de moi. Les murs sont bordeaux et la chambre immense. Le lit est très grand, on pourrait y dormir à 15. La pièce contient des mur avec des rangements énorme, mais pas pour ranger n'importe quoi. Pour y ranger des objets sadomasochiste. Je n'arrive pas à savoir l'utilité des objets que je peux voir. Mais certains n'ont pas l'air de faire si mal que ça. La pièce reste sombre et chaleureuse. Ce n'est pas à ce que je m'attendais, mais c'est tout de même agréable. Disons que ce n'est pas une chambre ordinaire... Quand je repense au réceptionniste, il sait ce que cette chambre peut contenir, putain... Il sait tout. C'est extrêmement gênant. Mais Zack à raison, ces objets, nous n'en avons pas besoin. Je repose mes yeux sur lui et il rougit, incertain.

- Toujours, souris-je.

Je tire sur les menottes doucement, retire-les moi, Zack. Elles sont pas méchantes, mais je te veux ici, maintenant, sans tous ces artifices. Ce n'est pas pour moi, pour nous. On tentera ça plus tard. Il sourit, quelque peu rassuré.

- Retire-les moi, s'il te plaît, dis-je paisiblement.

On dirait qu'il à vu un fantôme, ses yeux se sont écarquillés, son sourire à disparu et il à encore plus peur. Après cette petite expérience, je peux mieux ressentir ses émotions. C'est enviant. 

SEX-ENEMIES [EN RÉÉCRITURE]Where stories live. Discover now