Je venais de rentré chez moi. J'étais dans ma chambre, assise sur mon bureau en train de regardé et d'essayé de comprendre les feuilles d'exercices que mon frère m'avait passé.
Moi : c'est quoi tout ça encore ?! Y avait pas ça dans le cahier !
Je devenais folle tellement que ça me soûlait. Ça m'énervais, je faisais tout pour réussir à comprendre cette matière mais même avec tout l'ambition et la volonté du monde j'y arrivais toujours pas.
Sur le coup de la colère, je jette mon cahier sur le lit.
Moi : la vie j't'ouvre plus !
Je l'insultais de tout les noms puis fini par prendre ma serviette et lui dire avant de sortir :
Moi : t'façon t'es moche c'est pour ça je comprends rien.
~oui je parlais bel et bien à mon cahier~
Je suis sorti de ma chambre pour aller prendre un bon bain.
Une fois fini, je retourne dans ma chambre, m'habille puis regarde mes cahiers. Je les regarde pendant quelques secondes pour ensuite m'allonger sur mon lit et m'endormir.
Pff.. toz.
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1 semaines plus tard....
J'étais dans la voiture avec ma mère. On allait chez fatima pour la fête d'anniversaire de sa mère.
Moi : maman tu sais qu'il y aura les deux sorcières.
Maman : qui ?
Moi : deb's la pute et sa mère.
Maman : commence pas. Ne cherche pas d'embrouille. La calcule pas.
Moi : pourquoi je la calculerais même ?
Maman : on ne sait jamais avec toi.
Moi : et toi avec sa mère ?
Maman : je gère.
Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivons à la salle. Ma mère est parti rejoindre les autres mamans, tandis que moi, je faisais la bise aux filles que je connaissais.
Bien évidemment j'avais nexter Déborah. Elle était entre deux filles que je connaissais, donc j'ai fait la bise à la fille à sa gauche, je l'ai sauter puis j'ai fait la bise à celle de sa droite.
Je me trouve alors une place sur chaise. j'avais toujours mes écouteurs..
Fatima, arrive vêtu d'une robe blanche et s'assoit à côté de moi.
Fatima : je pensais que t'allais pas venir.
Moi : j'ai même pas eu le choix en fait.
Fatima : je suis grave contente de te voir !
Moi : t'inquiète moi aussi.
Fatima : tu la trouve comment ma robe ?
Moi : fait voir.
Elle fait le tour d'elle même pour que je puisse bien voir sa robe.
Moi : elle est belle.
