50

3.1K 186 16
                                    

Nathan : tes noir et tu sors avec un arabe?! Mais où va le monde ?!

Moi : à croire que c'est interdit.

De là, il s'est mit à dire des dires propos que je n'acceptais pas du tout. Ça veut dire quoi ça ? Être avec un arabe est synonyme de souffrir. Bah puisque c'est comme ça, je préfère nettement souffrir en plus je sais bien que Karim me ferait pas du mal de son plein grès.

J'ai préféré mettre un terme à notre conversation.. du moins la sienne vu que je ne répondais pas vraiment mais monsieur m'a encore une fois retenu. Bon..

Nathan : tu sortiras pas d'ici temps que tu l'aura pas quitter !

Moi : je pense qu'on risque d'être là pendant un bon bout de temps.

Nathan : c'est bon t'as gagné, j'appelle ton frère ! Au début je voulais que ça reste que entre nous puisqu'au téléphone il avait l'air d'être un mec bien mais là c'est mort !

C'était du Pipeau.. un grand menteur celui-là. C'était juste pour me faire regretter mes paroles et c'est d'ailleurs un échec.

Moi : t'es pas sérieux là ?!

Il m'ignore complètement et sort son téléphone de sa proche et compose le numéro de mon frère. Mais c'est une blague ??

Moi : mais arrête là ! T'es vraiment sérieux ?!

Nathan : y a pas plus sérieux que moi sur terre en ce moment même.

J'ai prier pour que mon frère dort et ne réponde pas mais malheureusement ce n'était pas mon jour de chance.

Nathan : ouais.. allô Jordan... ouais ouais t'inquiète.... elle va bien d'ailleurs je voulais te parler d'elle... tu vois..

A partir là, j'ai préféré quitter cette chambre de malheur pour retrouver dans la «mienne». J'ai déposé ma tête sur l'oreiller afin de mieux déprimer.

Si mon frère apprend ça, je suis morte et enterré.. je voulais limite aller au cimetières et creuser ma propose tombe.

Sur le coup, je détestais l'imbécile qui me sert de cousin, j'avais énormément de haine de lui. Je l'insultais de tout les noms.. j'espérais tout type de chose horrible qui pouvait lui arriver.

Durant cette nuit, je n'ai pas pus fermer un seul de mes yeux, j'étais apeurer, angoisser et stresser et inquiète.

Je devais être très moche et je ressemblais sûrement à rien mais je m'en foutais royalement. De toute façons, j'ai personne à qui plaire ici.

J'avais passé toute la journée allongé sur le lit accompagner de ma petite Talia qui elle, était ce jour là malade. J'avais éteint mon téléphone pour déprimer en paix.

Vers 16 heures, ma tante bien aimé rentre dans la chambre, m'observe pendant des longues secondes avant de dire :

Tante : qu'est-ce qu'il y a ma chérie ?

Moi : rien... tantine.

Elle s'avance de quelques pas, prend sa fille dans ses bras avant de s'assoir à coter de moi.

Lui et moiOnde histórias criam vida. Descubra agora