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Un petit citron assez long et chaud bouillant !

Plusieurs images dans le chapitre et dans le média

Bonne lecture ! 📖

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Dimanche 14 février 2021, 8h32

- Debout ma chérie, c'est l'heure de se lever.

- Mmm, marmonné-je en me retournant dans le lit.

- Il est beaucoup trop tôt, ajouté-je d'une voix à peine éveillée.

- Avec la journée que j'ai prévu je te garantis qu'il ne l'est pas, annonce Martijn en me susurrant l'oreille.

- Bon ok, dis-je en faisant valdinguer la couette au pied du lit king size.

- Eh fait attention ! hausse de la voix Martijn. Tu as failli renverser le plateau sur le lit.

- Le petit-déjeuner au lit, carrément ?

- Pour la fête des couples c'est un minimum Darling.

- On est le 14 février ?

- Ouaip, sourit mon homme de toutes ses dents. Et c'est dimanche aujourd'hui !

- Ah oui c'est vrai !

- Tu veux manger ou bien ? demande Martijn.

- Disons que je n'ai pas trop faim de nourriture... avoué-je en l'embrassant délicatement.

- Oh dans ce cas-là on peut remédier à ton ptit problème, dit-il en déposant le plateau près de la cheminée éteinte.

Intérieurement c'est ma déesse qui est ravie et qui danse la java à ne plus s'arrêter, je sens qu'on va passer une journée géniale aujourd'hui !

🍋 Moment citron 🍋

Martijn revient avec un regard de braise et un sourire salace alors que moi j'enlève la couette, me mets debout sur le matelas et marche vers lui en sautillant. Arrivée à sa hauteur je positionne mes mains sur ses épaules et me penche afin de l'embrasser passionnément tandis que le beau brun met ses paumes sur mes hanches et les remonte le long de mes flancs. Après notre baiser captivant, il me prend les hanches et me fait tournoyer afin que j'atteigne la terre ferme. À terre je me jette dans ses bras et l'embrasse férocement mes mains autour de son cou pendant dans son dos et les siennes aux creux de mes reins. Chaque seconde qui passe représente un degré de plus dans la grande pièce, soudain Martijn déclare d'une voix rauque :

- Mais dis-moi il est carrément sexy ce pyj' blanc en dentelle.

- Je sais je sais, lui réponds-je en l'embrassant furtivement.

C'est alors que sans me prévenir, il parsème de furtifs baisers le long de mon cou ce qui me provoque frissons et plaisir et m'arrache des petits grognements de bonheur. Un puis deux nouveaux suçons vont apparaître dans ma nuque redevenue vierge. Sa mission petits baisers menée à bien je fais de même avec son lobe d'oreille et son cou apparent, en effectuant ces petits gestes pas si anodins que cela mes mains caressent son torse musclé. Je reviens à sa bouche alors que lui me mordille les lèvres, nos langues se rencontrent de nouveau et dansent ensemble sur une chorégraphie composée par Lucifer en personne. Les mains de mon patron quittent mon visage pour venir soulever et enlever le petit haut blanc que je portais jusqu'à maintenant, nous voilà à égalité.

Martijn me regarde et dans un autre baiser tout aussi puissant et fougueux son corps heurte le matelas suivi de très près du mien. Je me débarrasse de mon shorty et lui de son short de pyjama, nous laissant tous les deux en bas de sous-vêtement. Nos lèvres se rejoignent encore et comme pour me protéger il entoure de ses bras le haut de mon dos, nous roulons dans le lit jusqu'à ce que nous nous retrouvons au milieu de ce dernier, lui en dessous. C'est ainsi que sa main droite se loge une fois de plus dans ma main gauche et nous nous embrassons avec ardeur et envie. Plusieurs secondes plus tard il passe ses mains sur mon bassin et les remonte le long de mes flans et les redescend tandis que nos baisers se font tous aussi torrides, mes doigts eux sont dans son dos si musclé et le griffe involontairement. Soudain il nous retourne et je sors un cri sous la surprise, le voilà au-dessus de moi en train de rire légèrement. Trente secondes de blanc viennent s'intercaler, pendant ce moment si fusionnel nous nous fixons et nous nous redécouvrons comme si nous sommes en train de vivre à nouveau notre première fois. Ce moment si calme mais brûlant se termine par des baisers qu'il effectue sur ma poitrine dévoilée et mon ventre, ma tête heurte l'oreiller et agrippe le drap house puis son dos, encore meurtri.

Can't Escape From Love | Martin GarrixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant