Chapitre 6

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     L'homme aux fouets était en prison, dans sa cellule entrain de jouer avec le lavabo, lorsqu'un policier arriva avec son plateau repas. L'homme aux fouets se dirigea vers celui-ci afin de prendre son plateau. Il souleva son verre afin de boire mais il vit un papier en dessous de celui-ci. Intrigué, il alla jusque son lit, déplia le papier et lu ce qu'il y avait écrit sur le papier. « Profite des patates », c'est ce qu'il y avait marqué sur le papier. Intrigué, il prit la patate en main et il découvrit que ce n'était que de la pâte, à l'intérieur se trouvait une bombe. Un autre policier arriva, ouvrit la cellule et fit entre un homme qui était un autre détenu. Le nouveau détenu, avait un peu les même airs que lui, grand les cheveux longs attaché, mais ce qui perturba le plus l'homme aux fouets, c'est que les deux détenues avaient les même numéros d'immatriculation, 6219. Et c'est là qu'il comprit, quelqu'un était entrain de l'aider à sortir d'ici. L'homme aux fouets claqua la tête du nouveau détenu contre le lavabos et celui-ci tomba inconscient. L'homme aux fouets vit une clé, sur le sol. C'était la clé de sa cellule. Il colla la bombe sur le mur de la cellule, l'enclencha puis sortie le plus vite possible de la cellule en se faisant discret.

- Et toi où tu vas ?

Il s'était fait choper. Un policier l'avait vu entrain de marcher. Alors que le jeune policier posa une main sur l'épaule de l'homme aux fouets, celui-ci attrapa son bras et lui mit des coups de poing, puis il lui craqua la nuque. Le policier tomba, mort. Alors qu'il reprit sa marche, il entendit un «boom», la bombe venait d'exploser. Sachant que beaucoup d'autres policiers allaient arriver, l'homme aux fouets transforma sa marche en course. Sauf qu'il fut arrêté dans son élan par deux policier, qui lui mirent un sachet sur la tête et le transportèrent jusque dans un camion. L'homme aux fouets ne comprenait pas pourquoi la police l'avait enfermé là dedans mais surtout où allait-il ? D'un coup, le camion s'arrêta et on lui enleva le sac qu'il avait sur la tête. Les deux policier le firent descendre du camion et il découvrit où il était. On aurait dit un aéroport privé sachant qu'il y avait un jet. Une personne était assise, entrain de manger devant le jet avec des gardes du corps à ses côtés. Cette personne était Justin Hammer.

- Ah le voilà, fit Justin en posant sa serviette et en se mettant debout, le voilà. C'est véritablement un plaisirs, bienvenu. Anh bonté divine vous pourriez retirer ses menottes à mon ami. Navré pardonne moi. Je suis un de tes plus grand fan. J'aurais aimé soigner la première impression. C'est pas un animal voyons, fit Justin au policier qui était entrain de s'acharner sur les menottes, c'est un être humain. Merci, allez laisse nous.

- Je vous laisse pas avec lui, répliqua le policier.

- Laisses nous.

- Je vous laisse pas avec lui, il est dingue.

- Oui oui aller dégage c'est bon.

Le policier partit contre son gré, et Justin et l'homme aux fouets se mirent assis à la table.

- Je m'appelle Justin Hammer, dit-il en serrant la main de l'homme. Ça m'intéresserait qu'on fasse affaire tous les deux.

Depuis le début, l'homme aux fouets n'avait pas parlé. Il voulait d'abord laisser Justin parler pour voir s'il était digne de confiance et savoir ce qu'il lui voulait, savoir pourquoi il l'avait fait évadé de prison. Un homme amena un carpaccio de saumon à l'ancien détenu de prison. Justin voulait vraiment lui montrer, enfin lui faire croire que c'était son ami.

- Tout ce qui te feras plaisirs on l'a, commença Justin, j'ai un faible pour le sucre. Mais apparemment le tiens c'est Tony Stark. Quand j'ai vu ce que t'as fait à Tony Stark sur cette piste, quand je t'ai vu marcher avec sa fille devant lui, devant dieu, devant le monde entier je me suis dit : Wouaw. Ce que tu lui a fait m'a parlé. Et je sais que tu sais que j'étais prêt à écouter. J'aurais pas supporté qu'on t'envoi à perpette. On gâche pas un talent pareil. Mais si tu me permets une suggestion, l'essentielle c'est pas d'essayer de tuer ce Stark. Je crois que, si je puis me permettre, je crois que ce qu'on veut c'est son héritage voilà ce qu'il faut tuer. Toi et moi on a des tas de choses en communs. La seule différence entre toi et moi c'est que je dispose de ressource et je crois, si tu permets, que tu as avant tout besoin de mes ressources. D'un bienfaiteur. Un rôle qui me conviendrait.

L'homme aux fouets commença à rigoler puis à parler en russe, sa langue natale. Justin Ne comprenait absolument rien.

- Si tu le dis, répliqua Hammer. Est-ce que tu parles notre langue car j'ai un interprète sous le coude. Je serais désolé de parler dans le vide, est-ce que tu m'as compris ?

- Tout compris.

- Tu as tout compris, fit Justin soulagé.

- Et je veux mon perroquet.

- Perroquet ? Quoi tu veux un perroquet ?

- Je veux mon perroquet.

- Je t'en trouverais un, dix même.

- Je veux mon perroquet, fit-il en tapant la main sur la table.

- Bon d'accord, rien n'est impossible, j'ai qu'à envoyé une personne en Russie.

- Très bien. C'est quoi le plan ?

- Le plan c'est qu'à nous deux, on construit une armure digne de celle de Tony Stark pourquoi pas encore meilleure que la sienne. Je la présenterais à la Stark Expo et je créerais un problème qui tueras accidentellement Lola Stark. Sa seule héritière sera morte et moi je pourrais probablement récupérer Stark Industrie. Marché conclue ?

- Marché conclue.

Et c'est ainsi que deux hommes avaient fait un plan contre Tony Stark, afin de l'anéantir et de lui prendre tout ce qu'il a.

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Petit chapitre, mais nécessaire.

Pour compenser ce petit chapitre, j'en publierais un nouveau demain.

J'espère que ça vous aura plu.

Laissez des coms ;) 

XOXO

La fille StarkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant