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Senegal
Alpha Ndiaye

On se réunit tous pour dîner. On entendait qu'elle cette gamine insolente. Elle frapper la porte et crier ouais. Elle dérange tout le monde. J'ai dit à Demba d'aller l'attacher.
Il revient et on continue à manger ALima ne me connais même pas. Je garderai sa fille ici et la connaissant elle sera obligé de venir. Comme ça je vais les tuer toutes les deux. Et parler pas de police je m'en fou. En plis elle n'est pas bête, si elle veut revoir sa fille, elle n'avertira pas la police.

J'attends le lendemain, après la prière de l'aube, et je l'appelle : 

Alima: Alpha ?

Moi: Tu veux revoir ta fille ?

Alima: Comment ?

Moi: T'inquiète on prend bien soin d'elle.

Et je ne la laisses même pas répondre. Je mets fin à la pelle. Je ne la vois pas, mais je sais qu'elle panique.

Après le petit déjeuner j'allais sortir, je passe devant la chambre où j'ai enfermé Coumba et je vois la porte entrouverte.

J'entre dans la chambre et y trouve la fille de ma sœur Fatoumata, la petite avait apporté de la nourriture à Coumba. Sans hésiter, j'ai pris le plateau et je l'ai giflé. Fatoumata est directement sorti de la chambre.

Moi: Audacieuse ! Qui t'as envoyé ? Imbécile.

Je me retourne vers Coumba et la voix inconsciente. Je ne calcule même pas elle sort avec la nourriture. Cette gamine n'a rien vu, ça sera sa punition pour m'avoir déshonoré.

France
Aziz Ndiaye

Moi: Donc on est obligé d'aller au Sénégal ?

Maman : oui, il faut que vous soyez présents. Il s'agit quand même de votre héritage.

Moi : d'accord

Après cette petite réunion. Ma mère sort du salon avec mon oncle et me laisse avec Soda. On se fixe puis on se met à rire.

Moi: Dangua niake fayda ioe
*tu es trop immature
En lui lançant un oreiller.

Je n'attends pas le repas, je rentre chez moi, faut que je préviens les Absa j'arrive et ils étaient en train de manger le repas, je l'ai rejoint après je l'aide à débarrasser. Je la taquine. Elle rigole. Depuis notre discussion de la fois dernière, les choses redevienne comme avant petit à petit.On a parlé, on s'est compris, et maintenant on va essayer de tout oublier à fin de la devenir comme avant.

Bon, c'est dans la cuisine quand nous faisons la vaisselle que j'en ai profité pour lui annoncer la nouvelle :

Moi : tu sais, soda et moi depuis le décès de notre père n'avons pas reçu nos parts de l'héritage.

Ndeye  : et pourquoi ?

Moi : la famille du côté de mon père... Ils sont... Tu comprends ?

Ndeye: Oui oui j'ai saisi

Moi: Voilà, et maintenant ils ont voulu vendre une maison de mon père sans même nous en parler.

Ndeye : mais non ?

Moi : je t'assure, c'est un oncle qui n'était pas d'accord avec eux, il a informé ma mère et c'est pourquoi on va partir au Sénégal.

Ndeye : je comprends. En plus, il faut que vous soyez présents ce qu'ils ont voulu faire est un juste.

En prenant un torchon pour essuyer ses mains, vu que nous avons terminé la vaisselle.

Moi : la vérité. Maintenant on va bientôt partir.

Ndeye: D'accord

Moi: J'en suis sure, on va pas durer là-bas. Une fois ce problème réglé on revient donc c'est pas la peine d'amener beaucoup de bagages. Je vais de ce pas acheté les billets et prévenir Yacine.

Ndeye : non, je préfère qu'on lui fasse une surprise. Ça fait quatre ans. Maintenant elle va être trop contente.

Moi : d'accord ça marche.

Aziz termine d'acheter les billets d'avion. Il amène les enfants au parc. Ils laissent Ndeye Absa et Soda, à la maison préparer le dîner. À leur tour après le dîner ils se sont tous se réunit. Ils ont joué, rigolé y avait une ambiance très agréable. Surtout Azize et Ndeye Absa qui réussissent petit à petit à retrouver leur complicité d'avant. Ils se parlaient normalement Soda y a passé la nuit.

CHRONIQUE SÉNÉGALAISE: Ndeye Absa Où les histoires vivent. Découvrez maintenant