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[Le présent]
Le son du réveil strident ôta Felix de sa somme, ses paupières gonflées par le sommeil accentue la frimousse adorable qu'il avait, une injustice presque de posséder un visage d'une joliesse si délicate. À la proche des vingt-cinq celui-ci on faisait toujours seize. Face à son reflet devant le miroir, le temps de sa toilette, le jeune homme ne se rendait pas compte à combien sa beauté ferait rêver plus d'un. Il n'était pas très grand, ses petits doigts se voyait subir des compliments tantôt des moqueries, tandis que sa corpulence, elle est étiré de muscles svelte. L'air d'une vénus qui paraissait fragile, s'y cachait une force mordante, un physique époustouflant dirait-on. La matinée se commence d'une routine commode, presque machinale. Arroser ses plantes sur le petit repos de sa fenêtre, le petit café chaud, une tartine et c'était tout bon. Il avait beau grandir en Corée, grâce ses parents australiens, c'est d'un petit déjeuner sucré qu'il aimait débuter sa journée. Les écoutes dans l'oreille, branchant une chanson qu'il aime bien, beaucoup, voire trop. C'était tout les matin qu'il quittait son appartement avec la même chanson, comme un rituel même si il ne définirait pas ainsi. Ça y es, il était maintenant parait à partir, "A Little Braver" de New Empire dans ses oreilles, il fermait la porte de chez lui.
Dans le bus les rues de Séoul défilait sur la vitre, mais le paysage était néanmoins la dernière chose qui l'intéressait, Le blond parcourait ses mails, et les programmes qu'il devait organiser à son travail. Voilà une chose qui l'aimait, son travail. Il est responsable de collections dans un musée d'art à Cheonjju. Son amour depuis longtemps, le menait à le côtoyer tout les jours. Un travail qui consiste à gérer la conservation, l'enrichissement, l'étude, la valorisation et la gestion des collections. Il n'avait certes était béni du talent de savoir créer une œuvre de ses doigts, mais sa sensibilité et son expertise n'était pas à en découdre. C'est d'un blazer taupe assez fluide, de son pantalon de la même couleur accompagné un col roulé blanc qu'il allumait les différentes pièces. Cette aromatique ambrée presque archaïque qui dégageait de plusieurs espaces était son favori. N'étant pas fan des odeurs fort et fruitées, cette odeur de nouveau livre remémorait à Felix la maison de sa défunte grand-mère en Australie.
Il arrivait toujours le premier, l'ouverture était pourtant dans deux heures, soit neuf heures, mais préférait venir plus tôt, pour inspecter les salles et mirées les tableaux qui l'apaiser. L'art reflète en lui la beauté et la complexité des mots, des émotions qui ne peuvent être dites à haute voix, mais ressenti dans le cœur. Le seule domaine ou sa vulnérabilité n'était pas pudique à se révéler. Devant la partie conservation des prochaines œuvres d'exposition, il regardait un tableau qu'il avait reçu récemment, une pièce authentique de Min Jung-yeon, " l'esthétique du silence" qui était une splendeur de l'intérêt fort du mouvement abstrait monochrome. Il adorait sa dimension méditative, une œuvre pétries de considérations spirituelles révélant une forme de rituel cosmogonique conduisant à une harmonie sincère avec la nature et calme silencieux de l'âme. Elle était splendide, sourit il. Il ne regrette pas d'avoir proposer lors de la réunion, cette artiste au talent effarant pour faire partie de la prochaine exposition" l'art moderne du pays du matin calme" que lui même gérer. Une initiative pour les artistes du pays où l'art croissante était inconnu encore à l'étranger. C'est un événement très important et il y mettrait tout pour menait le bien avec l'aide de ses collègues.
