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( TW : SCÈNE À CARACTÈRE SEXUEL )

Neïla

Jusqu'à une heure du matin, je me déhanchais sur la piste avec Aurora, Alvarez avait abandonné, il n'arrivait pas à suivre son rythme.

J'eus le temps de complétement dessouler, car Ezio m'avait interdit de reprendre un autre verre, et il ne m'avait pas lâché du regard, c'était donc impossible de boire sans se faire prendre.

Je m'étais aussi rappelée notre petite altercation, si je voulais arrêter de me sentir mal à l'aise face à lui, je devais continuer notre petit jeu.

Et de toute façon, je le voulais autant que lui.

C'était l'heure de partir, Ezio et moi étions les seuls à être encore clair d'esprit, tous les autres étaient sous, nous fîmes plusieurs aller-retour pour les installer dans le van, puis nous attachâmes leur ceinture.

Je soufflais enfin de soulagement, une fois que j'eus fini d'attacher Alexeï, qui avait la braguette ouverte.

Je montais du côté passager, Ezio lui côté conducteur, il démarra rapidement la voiture, et nous mirent en route.

Villa, Naples
1h30

Nous arrivâmes, et ils avaient pratiquement tous retrouvé leur esprit, ils pouvaient au moins marcher seuls sans problème.

Mes pieds étaient douloureux, je me pressais donc de rentrer et d'enlever mes chaussures, ensuite, je montais les escaliers, j'allais rentrer dans ma chambre quand un miaulement m'en empêcha.

C'était Hélios qui était devant la porte de la chambre d'Ezio.

Je courrais vers lui, les talons dans les mains, puis je plisser mes genoux pour pouvoir le caresser.

« Tu m'as manqué aussi mon petit chat. » chuchotais-je.

Je me relevai ensuite, prête à repartir, mais je croisais Ezio, toujours sourire aux lèvres.

Je ne me dégonflais pas et continuais de le fixer.

Il se rapprocha, ce qui me fit reculer jusqu'à ce que mon dos se colle à la porte de sa chambre.

« Tu vas m'empêcher de rentrer dans ma chambre ? » demanda-t-il, sur un ton joueur.

« Pourquoi pas ? » rétorquais-je sur le même ton.

On se regarda dans le blanc des yeux un instant, puis, il marmonna quelque chose d'incompréhensible, avant de plaquer ses lèvres brulantes contre les miennes et de les embrasser fougueusement.

Je répondis immédiatement à son baiser, en enroulant mes bras autour de sa nuque.

Il ouvrit la porte derrière moi, ce qui me fit basculer en arrière, mais ses mains sur mes hanches m'empêchèrent de tomber.

Il rentra dans la chambre et referma la porte derrière lui, en continuant de me manger les lèvres.

Il me poussa sur le lit, et enleva son teeshirt à une vitesse fulgurante, qu'il balança quelque part dans la pièce.

La Voleuse DéchueWhere stories live. Discover now