Tomber love de mon cousin

Partie 25

Mon cœur, mon pauvre petit cœur qui ne demandait rien de plus que d'être aimé, se retrouve découpé en millier de morceau. J'ai la gorge nouée, les mains tremblantes.

J'enlève machinalement les chaussures, remet les miennes et me lève. Je regarde Samir dans les yeux et lui lance un regard de dégout, parce que oui, tu me dégoute du plus au point.

- Moi (les larmes aux yeux) : Tiens je te les passes, je m'en trouverais d'autre. (donnant les chaussures à la meuf) faut, faut que tu sois parfaite pour ton homme (baissant la tête)

Je partie à toute vitesse avant que la fille ne puisse dire quoi que ce soit.
En rentrant chez moi, je me suis effondré en larme dans mon lit. Je le déteste de me faire du mal comme ça, je le haie de me faire aimer comme ça.

Je voudrais tellement revenir en arrière, que mon père ne meurt pas, que mon frère ne change pas, que je ne déménage pas, que je ne tombe pas amoureuse de lui, mais évite tout cela relève de l'impossible.

J'ouvre les yeux petit à petit, je mettais endormie entièrement habillé. Je regarde mon téléphone, 19hoo et j'avais 2 nouveaux messages et plusieurs appel manqué de Samir

Samir_17h00 « Faut qu'on parle, répond à ton téléphone, fais pas la meuf»
Samir_18h27 « Je suis passé chez toi, j'ai vue que tu dormais... Faut je te parle »
Moi_ 19h06 « On a plus rien à se dire. Bonne soirée avec t'as Nina »
Samir_19h15 « Fais pas comme ça merde. Ce Soir je passe chez toi »
Moi_19h17 « Casse toi. Reste avec t'as meuf, miskina elle sait fait belle pour toi . Salem »
**
Avec Yousef on est allé manger dans un restaurant chinois, et moi je suis fan du chinois donc j'étais contente. On parler de tout et de rien.

Il était magnifique surtout avec ses yeux. Sur le chemin du retour, il devait être presque 23h00, le trajet se fait en silence.
Arriver sur le parking du garage, on descend tous les deux et nous nous dirigeons vers ma voiture. J'avais

ouvert ma portière mais resta devant celle-ci fasse à yousef .
- Moi : Merci, j'ai passé une bonne soirée wallah
- yousef (souriant) : Pas de souci, y en aura d'autre
In sh Allah
- Moi : In sh Allah... Ah enfaite, pour la voiture
- yousef : J'avais zappé wallah. Bah euh chepa, donne moi juste 500 euros
- Moi (choqué) : Mais elle vaut bien plus que ça t'es fou
- yousef : Non mehlich, c'est pour toi la caisse
- Moi : Mais Yousef , on se connait que depuis quelque jour, t'es un grand malade
- yousef: Je sais mais tranquille wesh
- Moi : Non, non je veux

Il me coupa dans mon élan en m'embrassant. Il m'avait posé un petit smack et j'avais direct arrêté de parler. Je le regarde perdu, essayant de chercher à comprendre son geste, il avait l'air tous aussi perdu que moi.
Faut que je l'avoue. J'avais aimé, j'ai aimé qu'il met smaké et j'ai honte de m'avouer que je voulais qu'il
Recommence

On se rapprocha l'un de l'autre, comme s'il sentie mon envi de toucher ses lèvres. Mes mains contre son torse, ses mains sur ma taille, il me pousse contre ma voiture et m'embrassa. Ses baisés était violent, comme s'il attendait ça depuis le début et je répondais à ses baisées de la même manière que lui me les donnais. C'était chaud, extrement chaud...

Au bout d'un moment, on sait arrêter. Il avait son front collé au miens, sa respiration s'était accélérer, ainsi que la mienne. Ses deux mains posé ses mes joues j'en suis devenu rouge de honte, tandis que lui affichait un magnifique sourire au coin de la lèvre, il me dit :
- yousef :....