Partie 73

35 2 0
                                    

Dans la peau de Elif

Je les supporte plus toute ses mauvaise langues de à savoir qui à fait quoi, qui à lâcher qui, pourquoi du comment. Elles ne peuvent pas se mêler de leur dos en sah. Elles m'ont blazer.

Je dis en revoir au fille et décide de sortir prendre l'air. J'essayais de voir si je trouvais Nayla pour lui rendre son sac mais elle était introuvable.
Je marche en direction de ma voiture, m'apprête à ouvrir ma portière quand le téléphone de Nayla se met à sonner. Curieuse que je suis j'ai sorti son téléphone, pensant bien faire.

Le nom qui s'affichait était celui de ibra. Mes mains ont commencé à trembler, mon cœur palpitait, j'étais trop mal, alors que c'était juste un appel. Il a dû appeler 3 fois avant que je réponde

- ibra : La con de t'as race, tu fou quoi pour pas répondre ?!
- Moi :..
- ibra : (Criant) Nayla la con de t'as race !
Je me suis mise à pleurer. Le simple fait d'entendre sa voix me met dans un sale état. Tous mes sentiments reviennent. Haine, rage, colère, tristesse, trahison, abandon.

Je me tenais à la voiture, une main sur ma bouche pour étouffer mes pleures, pour étouffer mon malheur. J'avais besoin de lui plus que tous. Besoin qu'il me rassure, qu'il me prenne dans ses bras.
J'avais besoin de ma moitié...

- ibra (Silence). Elif ? C'est, c'est toi ?
- Moi (Tout bas) : ibra...
- ibra : Ca, ca va ?
- Moi (En pleure) : Non, non ça ne va plus
- ibra : Pourtant Sa(le coupant)
- Moi : Et tu as vraiment cru ce que Nayla te disait ?
- ibra : (Silence)
- Moi : Revient ibra

- ibra : Je peux pas Elif
- Moi (Cachant mes yeux) : Pourquoi tu, tu me fait ça...
- ibra : C'est pour toi que je le fais.
- Moi : Mais je veux pas ça ! Je veux que tu reviennes, je te veux toi
- ibra (frappant quelque chose) : NON JE PEUT PAS, PAS MAINTENANT !

- Moi (explosant en pleure) : Je, je vais partir d'ici. Je vais bouger de la ville.... C'est décidé
- ibra : (Silence)
- Moi : Tu m'as entendu ?
- ibra : (Soufflant) Oui...
- Moi : Tu, tu t'en fou ? Dis le moi. Dis moi de rester pour toi, dis moi de t'attendre et wallah je t'attendrais. Sinon je pars, wallah que je pars ibra et tu ne seras pas ou me trouver. Wallah que personne le sera, personne pourra te dire ou je suis ibra
- ibra : (Silence)

- Moi : J'ai, j'ai compris. Tu me prend pas au sérieux c'est ça? Tu crois que je bleuf? Mais quand tu sera rentré je serais plus la t'as compris? (Silence) Je, je t'aime ibra (Raccrochant)

C'est décidé, je vais partie.

Ce que je ressens maintenant ? Je ne peux même pas vous le décrire. Il ma anéantie. Il m'a prouvé qu'il ne tenait plus à moi, que même si je partais il s'en foutait.
Au début j'avais dit ça pour voir sa réaction mais tout compte fait je vais partir.

Pas pour de bon, mais pour un moment. Pour sortir la tête de l'eau, revenir plus forte. Je reviendrais quand j'aurais accepté ma séparation avec ibra.
Mais le souci c'est nayla. Je sais quel ne voudra pas que je parte, qu'elle me laissera pas partir et encore moins partir sans lui dire ou je vais. Je veux que personne ne le sache, que je me coupe du monde pour prendre du recul. Mais elle comprendra, elle finira par accepter ma décision.

J'étais assise sur le sol, contre la voiture. J'ai pris la décision de partir ce soir, tant que je peux, tant que j'ai le courage. Je sèche mes larmes, rentre dans la salle, dépose le sac de Nayla à Yasmine et pars avant de croiser Nayla. Il devait être 22h00 quand je suis rentré chez moi.

Ma mère m'a ouvert la porte, ma regarder avec inquiétude et j'ai pas pu m'empêcher de fondre en larme dans ses bras. Je suis carrément tombé sur mes jambes. J'avais besoin de ma mère, de ses bras, de ses mots. Qu'elle me réconforte et quel apaise mon cœur.
J'osais pas lui avouer, lui dire que je suis tombé amoureuse du frère de ma meilleurs amis...

et qu'il m'a quitter par fierté juste après mettre fait planter pour lui sauver la vie. Je voulais pas quel sache que sa fille sait fait lâcher par un homme, quel voit que sa fille pleurer pour un homme.
Pourtant elle m'a toujours mis en garde contre eux, contre leur vice et leur intention. Mais quand on tombe amoureuse, les trois quart de nos principe ne compte plus, je mettais promise de ne jamais tomber amoureuse,

de ne jamais me rendre faible.
- Moi (En pleure) : Appel khalti yemma, appel la. Je veux, je veux partir
- Yemma (me serrant contre elle) : Saha benti je l'appeler. Que dieu apaise ton cœur benti, qu'il l'apaise...
Mais malgré mon silence, ma mère avait compris ce
qui se passait...

Elle me relève avec ses petit bras et me pose dans ma chambre. Elle me sortit deux grandes valises et me dit de préparer mes affaires pendants quel appel ma tante.
Je rangeais du mieux que je pouvais, j'essayais de ne rien oublier.

Tomber love de mon cousin Where stories live. Discover now