Partie 75

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- Moi (Rigolant) : Bah bonne chance
- Asma: je l'aurais, tant fait pas (en partant)
- Moi : L'espoir fait vivre !

Trop chelou cette fille wallah. J'avais pas envie de me casser la tête avec qui elle voulait être . J'appelais sans cesse Elif mais elle ne répondait pas. Samir est sortie de la salle pour fumer sa clope. J'attends qu'il me regarde et lui fait signe de venir

- Samir : Je t'avais dit de pas sortir de la salle Nayla
- Moi : Je sais mais Elif est introuvable. J'ai regardé sur le parking et sa voiture y est plus
- Samir : Elle doit être chez elle surement
- Moi : Pourquoi elle me répond pas alors ?
- Samir : Je sais pas wallah. Mais je suis sur qu'elle a du rentrer chez elle.

- Moi : Mmh... Elle aurait pu me prévenir.
J'avais plus le gout à m'amuser. J'ai décidé de rentrer avec samir. Mais je trouvais sa bizarre, j'avais un mauvais pressentiment. Je sentais qu'il se passait quelque chose de mauvais.
Je rentre chez moi, il était tard déjà, je rentre sans
faire de bruit mais pour rien.

Ma mère était assise dans le salon, à m'attendre. Je me dirige vers elle, prête à lui dire quelque chose mais elle m'en empêcha
- Yemma : C'est à cette heure-ci que tu rentres ? C'est l'auberge de jeunesse la maison oula ?

- Moi : Mais Man, j'étais avec Elif et Samir !
- Yemma : Belhi Fomok ! Je m'enfou avec qui tu étais.
- Moi : Mais t'es sérieuse Yemma ?
- Yemma : Très sérieuse! Tu veux que les gens dise quoi en te voyant rentré à cette heure-ci ? Que ma fille c'est une chienne c'est ça ?! Lah lah lah moi je n'accepte pas
- Moi : Je m'en fou de ce que pense les gens ! Je sais ce que je vaux et tant que toi aussi, je m'en fou des autres
- Yemma : Khass, tu sors plus tard comme ça. J'en ai marre ! J'ai un fils qui déserte, qui donne aucune nouvelle et une fille qui fait sa vie à croire elle est marié !
- Moi (Soufflant)
- Yemma : Arrête de souffler, je suis pas t'as shab saha? Maintenant dégage dans t'as chambre

C'était rare que ma mère pete des crises comme ça.
Vu qu'on était tous grand, elle se prenait moins la tête avec ça. Mais depuis que ibra est partie, elle le vie mal. C'est normal puisque c'est son fils, mais c'est aussi son seul fils. Hassoul, je pars dans ma chambre en tentent d'appeler Elif mais elle ne répond pas.
J'irais chez elle le lendemain....

Lendemain matin

Avec ma mère c'était froid. Elle me calculait même pas et franchement ça fait mal. J'ai même pas déjeuné, je voulais même pas rester chez moi. J'ai pris mes clefs et je suis parti.

Je me suis posé sur une terrasse et j'ai commandé un café. J'avais tenté de joindre Samir mais il devait surement dormir. Le téléphone de Elif était éteint maintenant, super.

J'avais reçu un nouveau message de l'expéditeur inconnu « T'aurais pas dû me faire ça nayla ».
J'essaie d'appeler mais ça ne répond pas. Je ne connaissais même pas le numéro, j'envoie un message pour savoir qui c'était encore mais on me répond pas. Je commence à trouver ça bizarre.
« 11h00 »
Je me lève, monte dans ma caisse et roule direction

chez Elif. Je marche dans le hall, salem les teneurs de mur et grimpe chez Elif. Après avoir frappé, sa mère m'ouvre la porte. On aurait dit qu'elle m'attendait, qu'elle savait que j'allais passer la voir.
Elle me fait rentrer, referme la prote derrière elle et me dit

- Khalti : Benti, elle, elle est partie
- Moi : Co, comment ça ?
- Khalti : Hier soir elle est rentré en pleurant. Elle est partie chez sa tante, se reposer un peu
- Moi (Les larmes aux yeux) : Pourquoi elle m'a rien dit
- Khalti : Je sais pas benti
- Moi : Elle est où exactement ?
- Khalti : Je peux pas te le dire semhili
- Moi (En pleure) : Pourquoi ?
- Khalti : Elle m'a fait jurer de rien dire
- Moi : Elle avait pas le droit de partir sans rien me dire, j'aurais compris wallah j'aurais compris (En pleurant)
- Khalti (Me prenant dans ses bras) : Pleure pas ma
fille. Elle aurait du t'appeler je suis d'accord avec toi, mais elle voulait pas te voir aussi mal je pense.

- Moi : Mmh.. Dit lui juste quelle m'appelle Khalti saha ?
- Khalti : Oui pas de souci. Aller sèche t'es larmes.
Garde ton téléphone près de toi, quand elle m'appel je lui dirai
- Moi : Merci Khlati. Je, je vais y aller
Alors comme ça elle est partie. Elle est partie sans me prévenir, sans me laisser un mot ni même un texto.

Elle préfère me laisser dans l'insouciance, que je m'inquiète... D'un côté je lui en veux et d'un autre non, je comprends qu'elle est partie, qu'elle en avait marre. Mais ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi hier soir, sur un coup de tête...

Tomber love de mon cousin Where stories live. Discover now