Tomber love de mon cousin

Partie 91

Moi : Ouai, je peux pas laisser trainer. Comme ça après j'en parlerais à ton frère
- nayla: T'es prêt ? (Souriante)
- Moi : Oui, stressé mais prêt
- Nayla: Samir, s'il accepte pas, comment on fait ?
- Moi (soulevant son menton) : Je te lâcherais pas. Je reviendrais tous les jours à la charge
- Nayla: T'as intérêt wallah. Je commence déjà à avoir peur
- Moi (la prenant dans mes bras) Sa va aller

Dans la peau de Nayla

Après ce petit moment avec samir j'ai décidé de parler à ma mère.
Mes mains étaient toute moites, je stressais de trop.
J'arrive dans le salon, elle était posé et regardait la télé. Je me pose à coté d'elle, cherchant comment aborder le sujet. Je vois qu'elle éteint la télé et se retourne vers moi.

Ah ma yemma qu'est ce que tu es belle. Elle me sourit et tapote la place juste à coté d'elle. Je me rapproche
d'elle, quand elle me prend les mains dans les siennes

- Yemma : Je sais ma fille... Et oui, je suis d'accord pour que vous puissiez vous unir (me souriant)
- Moi : Euh, co, comment tu sais ?
- Yemma : Khalti qui me la dit
- Moi : Mais elle devait rien dire
- Yemma : Tu connais t'a tante Nayla
- Moi : Oui c'est vrai... Mais Yemma, pourquoi tu m'as pas dit que tu savais ?
- Yemma : J'attendais que tu viennes me le dire de toi-même
- Moi (Souriant) : Merci Yemma
- Yemma : Maintenant il ne reste plus qu'à en parler à
Ibra
- Moi : Mmh. Je vais aller en parle à Samir

(Au téléphone)

- Moi : Samir je te dérange ?
- salir : Non t'inquiète. Alors tu lui en as parlé ?
- Moi : Oui elle est d'accord (Souriant) Tu savais que t'as mère l'avais déjà tenu au courant
- Samir : Oua Hella ! Mais non sah ? Ma mère elle arrivera jamais à garder quelque chose pour elle (Rigolant)
- Moi : Mehlich, tant qu'elles sont d'accord, je suis contente
- samir : Oui c'est vrai. Bon, il me reste plus qu'à en parler à ton frère
- Moi : Tu vas lui parler quand ?
- Samir : Quand je vais le voir. Vas-y je te rappels.
- Moi : Saha. Fais attention à toi, oublie pas de m'appeler
- Samir : T'inquiète poupée, stress pas (raccrochant)

Dans la peau de Samir

J'appels ibra lui demandant ce qu'il fou, il me dit qu'il est posé dans un local près de la ville, tout seule.
Je lui dis de pas bouger que j'arrivais pour lui parler.

Il ne cherche pas à en savoir plus donc il raccroche.
Sur la route je réfléchissais, j'avais l'impression de le trahir. Pourtant chez nous la règle est simple ; on ne touche pas aux sœurs des frères. Mais comme je l'ai répéter mille fois, une fois qu'on tombe amoureux, tous nos principe, nos règles ne valent plus rien.

Plus rien ne compte à part celui ou celle que vous aimez.
J'arrive au local. Une fois à l'intérieur, il était posé et jouait à la play. J'ai la boule au ventre, je me sens pas bien. Je m'assoie à côté de lui, j'étais ailleurs, je cherchais comment lui avouer que j'étais tombé in love de sa sœur et que je souhaite demander sa main

- ibra (posant sa manette) : T'as des problèmes gros
?
- Moi : Non, non c'est pas ça (frottant mon visage)
T'as vue je suis clin maintenant
- ibra : Ouai
- Moi : Je bois plus, je fume plus. Pour moi les resoi c'est du passé, je veux construire ma vie maintenant
- ibra : Bien frère, Ma sh Allah je suis frai pour toi
- Moi : Merci. Et je veux me poser avec ma femme, allé demander sa main
- ibra : T'as raison, laisse pas trainer. C'est qui son frère, tu veux je viens avec toi ?
- Moi : ibra

- ibra : Il s'appelle comme moi en plus dahka (rigolant)
- Moi : Non, c'est toi son frère...
- ibra (perdant son sourire) : Quoi ? Répète un peu
?
- Moi : Je veux épouser t'as, sœur. Je veux qu'elle devienne m'a femme.

"Mon coeur à ses raisons que mon grand-frère
ignort"

La rage ? C'était bien pire que ça. Il avait les traits du visage tiré, sa mâchoire contracté, on aurait dit que sa veine allait exploser.
Il me prend par le col de ma veste et s'adosse au-dessus de moi. On était posé sur un vieux canapé.
Moi je restais calme. Je le comprends. Si on m'annonçait qu'on voulait se marier avec ma sœur,
, j'aurais réagis pareil, surtout venant d'un frère

. Je sais qu'il se sent trahi. Que je l'ai déçu mais ça à été plus fort que moi, je suis tombé raide dingue de sa
sœur

- ibrz : Répète pour voir ? Dis moi que tu rigoles ?
- Moi (posant mes mains sur les siennes pour les enlever) : Non je suis sérieux. Je suis tombé amoureuse d'elle, je l'ai toujours respecté, wallah je (me coupant)
- ibra : Sa dure depuis quand ?
- Moi : (Silence) Un moment
- ibra : Salle fils de chien ! Je t'ai confié ma sœur.
J'avais confiance en toi, son cousin mais j'avais tous faux! Tu t'es bien foutu de ma gueule, t'as bien profité d'elle connard!
- Moi : J'ai rien profité d'elle. On s'aimes ibra, tu peux rien faire pour ça
- ibra : Si je peux faire quelque chose !
- Moi : Tu vas faire quoi ? (le poussant) M'interdire de la voir ? De lui parler ?
- ibra : Ouai et je vais aussi t'interdire de l'épouser

- Moi (me mettant face à lui) : T'es jaloux enfaite c'est ça ? (rigolant nerveusement) Tu ne veux pas que les autres goutent au bonheur. Tu veux que tout le monde souffre comme toi tu souffre

Il sait frotté le visage et ma décollé une droite dans la mâchoire. J'ai hésité deux seconde, j'allais lui en remettre une mais je me suis retenu. Si je veux sa sœur, c'est pas comme ça que je dois agir.
Je pissais le sang de la lèvre mais rien à foutre.

Ibra avait déjà filé. Je m'assoie sur le canapé, tête entre les mains et je viens de me rendre compte que je me suis mis dans un sale merdier.
Que de pouvoir me marier avec elle allait vraiment être compliqué.
Et je venais aussi de me rendre compte que ibra était partie voir Nayla. Oh puree vite, Nayla
.
Dans la peau de Nayla

Je tenais plus en place, j'ai appelé Elif pour la prévenir elle m'a dit qu'elle arrivait tout de suite.
Y'avais personne chez moi, j'appelais sans cesse
Samir mais il ne répondait pas.
Je tourne en rond dans ma chambre quand j'entends la porte d'entrer claquer.
.