Partie 94

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, je te jure sur la tête à mama que je te déteste
- ibra : C'est bien, je m'en bas les rein
- Nayla: A, allo c'est Nayla
-.....
- nayla : J'a, j'appels pour, pour vous dire que je ne viendrais plus bo, bosser
-....
- Nayla: Oui, je suis, je suis sur (baissant la tete)
....
- ibra : Vas-y abrège
- Nayla : Oui, je vais vous laissez. En revoir (raccrochant)
- ibra : Donne ton téléphone.. A et comme tu le sais, les sortie c'est fini. A pars maison et maintenant tu mettras jamais le pied dehors (en sortant)

Une fois qu'il est sorti, Nayla c'est effondrer en larme. Elle a réellement explosé en sanglot, elle sait mise à tous casser dans sa chambre.

Elle frappait ses poings contre les murs, criait, extériorisait sa haine. Je me suis mise à pleurer, j'avais mal de la voir comme ça, de la voir se détruire.
Elle finit par s'écrouler au sol, tout en pleurant.
Je la prends dans mes bras mais rien ni fait, sa peine est toujours là.

Dans la peau de Nayla

Deux semaines que je n'ai plus de nouvelle de toi.
Pourtant tu m'avais promis de toujours être là, que jamais tu n'abandonnerais. Que quoi qu'il arrive tu feras de moi la tienne, mais tu m'as menti. T'as préférer fuir que de te battre.

Deux semaines aussi que ibra m'ignore, il ne m'adresse la parole que pour m'insulter et me rabaisser à longueur de journée. Je ne supporte plus rien, je me sens mal qu'il me voit comme une chienne, comme une traitresse, une ennemie. Ma seule liberté est ma fenêtre.

J'attends désespérément de voir Samir mais chaque jour est une déception de plus. Aujourd'hui ibra n'est pas sortie.

Il se prépare pour son braquage, y'a de l'agitation au quartier, je le sais puisque j'habite au première étage.
J'avais jamais pensé auparavant de me mettre à la fenêtre et d'écouté ce que dise, t'en apprends
beaucoup.

Hassoul, j'étais posé contre ma fenêtre. J'avais rien d'autre à faire puisque je ne pouvais plus sortir. Je devenais vraiment folle, ne plus pouvoirs bosser ma rendu ouf.
- Oh !
Je baisse la tête et j'aperçois Asma, vous vous souvenez d'elle ? La chienne de Samir, enfin, la chienne de tout le monde faut dire

- Moi : Tu veux quoi ?
- Asma : Alors c'est comment ?
- Moi : De quoi ?
- Asma : la vie entre quatre murs ? (Rigolant)
- Moi : Casse toi wallah
- Asma : Sinon quoi ? Tu vas descendre me casser la gueule ?
- Moi : .
- Asma : C'est bien ce que je me disais. Maintenant il est à moi. Je te l'avais bien dit, samir sera à moi

- ibra (sortant sa tête de la fenêtre) : nayla je vais te
niquer, rentre t'as tête
- Asma : Tiens écoute ton frère un peu
- Moi : Mais dis voir, on ne serait pas en train de t'attendre dans la cave ? T'es en repos aujourd'hui ?
Bah oui, les chienne ça taffe pas le dimanche (Souriant)
- Asma : ton père le gros batard salle chienne
Mon père? Un gros batard ? J'ai automatiquement regardé ibra, qui lui avait les nerfs.

J'ai pas cherché à comprendre, j'ai enfilé mes chaussures et je suis descendu. Elle était toujours en bas de ma fenêtre. Je l'ai attrapé par les cheveux et je l'ai dérouillé. J'ai défoulé toute la haine, toute la colère que j'avais en moi. Elle venait d'insulter mon père, lui qui était un homme bon, pieu, merveilleux.

Ca a triplé ma rage, elle me criait d'arrêter, me suppliait de la lâcher mais j'étais incontrôlable. Il a fallu que quelqu'un me soulève pour me séparer d'elle.
Je suis pas une fille qui se bagarre pas mais elle l'avait chercher. Je pleurais comme une malade, je criais que personne avait le droit d'insulté mon père, que personne devait parler de lui, personne devait salir son nom ça non, jamais.

Je me suis retiré de la personne qui me tenait et j'ai regardé vers chez moi. Ibra était à la fenêtre. Il me
regardait sans aucune expression distinctive. Je suis monté chez moi à toute vitesse et me suis effondrer en larme dans mon lit.

Papa, si tu serais encore la rien de tout ça ne se serait passé. J'aurais pas aussi mal, pas aussi souffert. Je me rends compte que t'as mort nous as bouleversé, elle a bouleversé les chemins qu'on pensait prendre.

- ibra : Je t'avais dit quoi ? De pas sortir t'as putain de tête de la fenêtre !
- Moi : ...
- ibra : Dis quelque chose la con de toi
- Moi (croisant les bras)
- ibra : Ouai bah parle plus et met plus les pieds dehors. J'ai pas envie que tu me salie avec t'es histoire
- Moi : Je te déteste
- ibra : Tu veux vraiment te marier avec lui ?
- Moi :: Tu sais très bien ce que je veux
- ibra : Mari toi avec
- Moi (Le regardant) C'est vrai ?

- ibra : Mari toi avec mais oublie moi. Choisi
- Moi : T'as pas le droit de me faire ça (les larmes aux yeux)
- ibra : J'ai tous les droits

Il m'a encore plus achevé, il a littéralement détruit toutes mes chances. Il m'a imposé la chose que je redoutais le plus ; choisir. Et il sait que je ne pourrais jamais renoncer à lui, à mon frère, mon propre sang.
Pendant 1 an on ne se parlait plus et j'en ai souffert, je ne veux pas souffrir tout le reste de ma vie et il le sait.
Il est resté deux minutes à me voir me vidée de mes larmes et à décider de sortir.

Ma mère restait impuissante face à ça, elle sait très bien qu'elle ne peut pas le faire changer d'avis. Elle nous voit nous pourrir sans rien pouvoir faire et je sais qu'elle en souffre.

(2 jours plus tard)

- Yemma : Benti, y'a Elif qui monte
- Moi : Saha, merci
- elif (ouvrant mon placard) : Faut vraiment que tu te rachète de la sape toi)
- Moi : Salem tu vas bien ? Bah moi toujours la même
hamdouleh
- Elif : Habit toi, on sort
- Moi : Je peux pas et tu le sais
- Elif (me lançant des fringues) : Aujourd'hui si.
Aller, habit toi
- Moi : Et si ibra rentre. Il va m'égorgé la et non merci
- Elif : Il est pas là, il rentre que demain
- Moi : Comment tu sais
- Elif : Qu'est ce que tu crois, j'ai mes sources.
- Moi (m'habillant) : Ouai bah j'espère qu'elles sont fiable t'es sources
- elif : T'inquiète. Bon je t'attends dans le couloir (en sortant)
Je m'habits avec ce qu'elle m'a donné.....

Tomber love de mon cousin Where stories live. Discover now