Tomber love de mon cousin

Partie 29

- Moi : Non (soulevant mon haut) Ca me fais super mal
- Yousef (choqué) : C'est ton frère ? comment un frère peu faire ça... Attend ( il détache ma ceinture) je vais te porté
Il passe sa main en dessous de mes jambes et l'autre derrière ma nuque. Il me dépose coté passager et monte à l'avant.
- Yousef : il habite où ton frère?
- Moi : A ****
- Yousef: Sah ? Je n'habite pas loin en plus. (sortant son téléphone)
- yousef : Ouai gros allo ?
-....
- Yousef : rend moi service. Va chez moi et demande à Karim les doubles de clef de voiture. Je l'ai laissé
sur le parking***
- :...
- Yousef: je t'expliquerai. Vas-y gros tu gère.

Sur la route

- Moi : On sait pris la tête. Enfin ça dur déjà depuis un moment (je lui raconte)
- Yousef: C'est pas une raison pour te défoncé comme ça. Ton frère c'est mon sah mais non, ce qu'il t'as fais ça se fais pas meme si tu aurai jamais du lui craché dessus

- Moi : Il m'a chercher. Maintenant il va se faire foutre
- Yousef: Mmh..
Moi : Yousef , je, pour le baisé, je
- Yousef: Oui, il signifie rien, j'ai compris t'en fais pas
- Moi : C'est compliqué (baissant la tête) : Quand tu m'as, quand on sait embrassé, j'ai ressentie des trucs et ça ma fait peur

DANS LA PEAU D'ELIF

Quand Samir poussa ibra, il lui décolla une droite et ont commencé à se battre. Nayla était dans un sale état, comment ibra peut la frappé comme ça,
elle qui est si chère à ses yeux, il l'a détruit petit à petit...

Je suis accroupie face à elle et la relève. Du sang coule le long de son visage, elle se tenait le ventre recroquevillé sur elle-même, je me met à pleurer, débordé par la situation ne sachant que faire

- Moi (pleurant) : Tu vas bien ? Je t'emmène si tu veux. Purée il t'a pas loupé...
- Nayla: Hbiba arrête de pleurer. Je, je vais bien (se touchant le ventre) Aie... Elif reste avec lui, essaie de le calmer, il peut faire une bêtise, je t'appel dès que j'arrive d'accord

- Moi : purée même quand il te fais du mal tu prend
soin de lui... Appel moi.

Elle démarra à toute vitesse et partie. Je me retourne et les gars ne se frappaient plus. Samir avait l'air vraiment inquiet, il tournait en rond, dépassé lui aussi par la situation. Mais mon coco, si t'aurai pas fait ton batard avec elle, sa se serait surement passé autrement.

- ibra (me prenant par les deux bras) : ELLE EST PARTIE OU ?
- Moi : J'en sais rien ! Lâche moi
- ibra : Arrête de me mentir (me secouant) : Elle est ou ? Dis moi avant que je parte en couille
- Samir (le poussant) : T'en prend pas à elle. Même si elle sait, elle ne te dira rien
- ibra : BORDEL
!
Il est partie dans une colère noire. Il sait diriger devant la première caisse et a commencé à frapper. Je lui criai de se stoppé,
je me suis remise à pleurer mais il ne me calculait plus. Avec sa main droite il brisa la vitre et se stoppa.
- SAMIR : Oh kho, calme toi, chouf t'as main, c'est pas comme ça quel va revenir

- ibra : ... Je suis qu'un batard
- samir : Je vais aller faire un tour de vago, voir si je la retrouve
- ibra : Je viens avec toi
- Samir : Non je vais y aller tous seul. T'as assez fais de dégât comme ça. Elif, amène le chez lui, soigne lui sa main s'il te plait
- Moi (J'hoche la tête de haut en bas)
On marchait cote à cote chez lui mais personne ne parlait. Je lui en veux. Je lui en veux de m'avoir prise pour une conne, de m'avoir trompé, insulté, ignorer pendant des semaines et je lui en veux d'avoir détruit sa sœur.

Arriver chez lui, on se dirige dans sa salle de bain. Il s'assoie sur le rebord de la baignoire, la tête ailleurs, sa main pleine de sang. Je prends tout ce qu'il me faut et attrape sa main dans la mienne.

Le simple fait de le toucher me met dans tous mes états, malgré les reproches, je, je l'aime. Sous ses airs de sauvage et de banlieusard, je sais que c'est quelqu'un de gentil, toujours présent pour aider son prochain.

Il me regarde mais moi non. J'arrive pas, il me déstabilise, j'ai peur de craqué, de retourné dans ses
Bras en un seul regard