Tomber love de mon cousin

Partie 27

Moi (regardant) : Oh non ! Y'a mon frère et ses shab et Samir .
- Elif (souriant) : Tant mieux. Je vais même pas le calculer y va voir
- Moi : Moi c'est pas la peine, il me calcul déjà plus.

On arrive devant mon bloc. On monte les marches et une fois dans le hall, ibra nous a regardé en deux fois.

- ibra (enervé) : Monter vite avant que je fasse une connerie
- elif (lui faisant un doigt)
- ibra: Je vais te marave toi attend.

On arrive dans ma chambre, on se regarde et on explose de rire, wallah c'était trop drôle.
- Moi (rigolant) : Oh purée tu vas te faire marave toi

- Elif (rigolant) : Tu penses ? E sah c'était trop bien fais
- Moi : Ouai j'avoue

- JE VAIS VOUS TUER TOUTE LES DEUX !

D'un coup on voit IBRA débarquer dans la chambre.
Il se met face à nous les bras croisée et me dit

- ibra : TOI SALLE CHIENNE DEPUIS HIER JE SAIS MÊME PAS OU TU ES ÉTAIS ! Wallah t'as trop pris la confiance avec moi !

- Moi : Moi une chienne ? Mais tu t'es vue salle chien ! Toujours à me prendre la tête, à me frapper ou à me rabaisser quand sa touche ton honneur ou t'as purée de fierté !

Toi tout ce qui compte c'est que tu puisses marcher la tête haute, le reste tu t'en bas les rein !

Il m'a donné une gifle de cow-boy que j'en suis tombé par terre.
Elif cria, sur sa bouche tellement sa a claqué fort. J'en revenais pas,
j'arrive même pas à me lever tellement il m'a fait mal. Elif m'aide à me lever. Ibra, les points serrer, me regarde de travers.
Aucun regret, aucune pitié. Que de la rage...

- Moi (la main sur ma joue) : La vérité fait aussi mal que ça ibra ?
- ibra (me faisant une balayette) : Ferme ta gueule salle chienne.
- elif : (le noussant) : T'es un grand tarer. laisse la
tranquille !

- ibra : Ta gueule toi si tu veux pas finir comme elle
- Moi (me relevant) : VA TE FAIRE FOUTRE SALLE
CHIEN! (le poussant) PLUS JAMAIS ! PLUS JAMAIS TU LEVE LA MAIN SUR MOI T'AS COMPRIS !

- ibra(me prenant par les poignets) : TA GUEULE BOUFONNE ! (me poussant par terre) : Ecoute moi bien, c'est fini les sortie, maintenant c'est taff-maison, maison-taff. Sinon je t'égorge (à Elif ) : Toi je vais te régler ton compte après t'as compris. Je me casse vous m'avez soulé.

Il partit et claqua la porte. Je suis toujours à terre. Ma tête entre mes mains, je suis à bout. 1 larme, puis 2 puis 3 et j'éclate en sanglot dans les bras de Elif

- Moi (pleurant) : Je le supporte plus Elif ...
- Elif(me serrant plus fort dans ses bras) : Vient chez moi quelque temps, ça te changera
- Moi : C'est gentille Elif wallah, mais faut que je bouge de ce quartier, des environs. Je vais aller chez mon frère Sohan

- Elif : il habite ou ?
- Moi : À 1 heure d'ici
- Elif(triste) : D'accord. Je vais t'aider à faire t'as valise.
# Au téléphone#
- Moi : Salem Sarah , je te réveille pas ?(sais ma belle soeur)
- Sarah: Aylecoum Salem, si mais mehlich. Qu'est ce qui va pas ?
- Moi : Ca va plus (pleurant)
- sarah : Calme toi ma chérie, respire. T'es où là ?
- Moi : Je, je suis à la maison... Je peux venir chez toi quelque temps ?
- Sarah : Oui, autant que tu veux. Mais calme toi avant de prendre le volant.et que Sohan ne sois au courant
- Moi : Oui. Merci wallah, j'arrive
- Sarah: In Sh Allah.

Une fois ma valise prête j'allais descendre les escaliers quand elif me tiens par le poignet et me prend dans ses bras

- Elif: T'es entré dans mon cœur en si peu de temps, wallah t'es la sœur que j'ai jamais eu Nayla
- Moi (les larmes aux yeux) : C'est pareil pour moi, sauf que tu es ma deuxième sœur hbiba.
Après se moment d'émotion, je décent le cœur lourd.
J'esperais ne croisé personne et Dieu merci il y avait personne dans le hall.

Arriver sur le parking, manque de chance je repère la voiture de Samir ouverte avec tout les gars posé à écouter la musique. Il était garré à l'entrée du parking et m'a voiture était bien plus loin que la sienne. Je presse le pat pour pas qu'ils me voient mais avec le bruit de mes talons ils nous ont cramé.
- Un gars : ibra c'est pas t'as sœur avec le sac
- ibra (se dirigeant vers moi) : NAYLA JE T'AI DIS QUOI ? TU VA OU LA CON DE TOI !
- Moi (pressant le pat) : JE ME BARRE ! COMME CA T'AURA PLUS DE SOUCI D'HONNEUR