Partie 67

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- Elif : Aiie doucement hbiba (Touchant son ventre)
- Moi : Oh désolée, désolé ma belle (pleurant) Tu m'as manqué wallah
- samir (Cachant ses yeux) Et ça recommence
- Elif (Rigolant)
- Moi : Ta gueule Samir
- Samir (À Elif) : Depuis que tu t'es réveiller elle arrête pas de pleurer, pire que quand tu étais dans le coma (À moi) Et redis moi connard tu vas voir
- Moi : Je vais voir quoi s'il te plait ?
- Elif (Explosant de rire) : Des phénomènes vous deux ! C'est quand que vous vous remettiez ensemble
?
On sait regarder dans les yeux, cherchant une réponse à sa question, mais nous même ne savons pas ce que nous faisons, s'il fallait qu'on recommence ou qu'on laisse tomber, de peur de se détruire.

J'ai changé de sujet et lui racontait ce qui sait passer durant les 2 dernières semaines sans parler de Yousef puisque Samir était là. Il se faisait tard et ibra attendait. Je lui ai promis que je revenais demain matin. Je lui embrasse le front et sortie.

Cela faisait 10 minutes que Nayla était partie de la chambre de Elif. 3 heures que Elif attendait la venue de son bien aimé. 10 minutes que ibra hésitait derrière la porte. Il prit son courage à deux mains et frappa. La voix douce de Elif lui disait d'entrer.

Une fois qu'il est ouvert la porte, les sentiments les submergèrent. Ils revivaient tous les deux ce jour atroce. Il revivait le jour ou elle sait mis face à lui, face à cette lame, pour le sauver, pour qu'il reste en vie quitte à laisser la sienne.

Elle n'imaginait pas un instant sans son homme, elle n'imaginait pas une seule second sans pouvoir sentir son odeur, voir son sourire, entendre son rire. Elle ne s'imaginait pas sans lui. Elle avait donc préférer se sacrifier pour lui laisser la vie. Mais grâce à Dieu, elle s'en est sortie qu'avec quelque séquelle.

Chaque pat qu'il faisait vers elle, la rendait folle. Ses yeux piquaient, son cœur accélérait, elle pensait réellement ne plus jamais le revoir, ne plus jamais pouvoir le serrer dans ses bras. 1 larme puis 2 et un flot de larme coula sur son visage.

Elle se lève du mieux qu'elle peut, une main sur son ventre, l'autre essuyant ses yeux. Elle marche en direction de ibra et lui saute dans les bras.
Du haut de ses 1m85, elle paraissait si petite, si fragile. Il avait peur. Peur de la casser, de lui faire mal. Une larme, une seule s'échappa de son œil....

Ibra au caractère si trempé, à l'allure du vieux banlieusard sans cœur, froid et méchant avait changé, elle l'avait changé....

Elle pensait l'avoir retrouvé mais elle ne s'imaginait pas ce qui lui passait par la tête, elle ne s'imaginait pas à ça, surtout pas la décision qu'il avait choisis.

Dans la peau de Elif

J'arrive pas à m'arrêter, à stopper ses stupides larmes. Je suis dans ses bras, je me sens protégé, intouchable. Il ressert son étreint, s'excusant d'un nombre incalculable. Je ne disais rien, j'essayais de me calmer mais je n'arrive pas. J'avais tellement eu peur d'être séparé de lui.
Quand je me suis mise devant lui, je n'ai pas réfléchis, j'ai foncé.
- ibra (Me reculant) : Tu, tu m'as fait une de ces peurs wallah je suis devenu fou. T'aurais jamais du te mettre devant moi
Elif : Si et je suis contente de l'avoir fait. Je, je ne voulais pas qu'il t'arrive quelque chose
- ibra : Et moi tu crois que je veux qu'il t'arrive quelque chose ? Depuis que tu es avec moi, il t'arrive que des couilles...

- Elif (Les larmes aux yeux): Tu veux dire quoi par là
?
- ibra (Se frottant le visage) : T'as fini à l'hôpital purée et ça jamais, jamais je me le pardonnerais !
- Elif : Mais moi je te pardonne ibra, je, je t'en ai jamais voulu wallah
- ibra : Mais moi je m'en veux (Baissant la tête)
- Elif (S'asseyant sur le lit) : Et tu comptes faire quoi
?
- ibra : Faut que je m'éloigne de toi
- Elif: Ne me fait pas ca (Sanglotant)

Poupée, t'as désiré le coup de foudre, t'as dit bonjours à la tempête poupée

- ibra : Si tu restes avec moi, je ne t'apporterais rien
- Elif (En pleure) : Si tu m'apporte beaucoup ibra.
T'as pas le droit de m'abandonner, de me laisser comme ça. Je, je peux pas, je, je veux pas

T'as vue en lui ce que seul toi pouvais comprendre, t'étais petite il était grand, il était tendre je sais...

- ibra : C'est mieux pour toi... Je ne veux que ton bien

Tomber love de mon cousin Where stories live. Discover now