Partie 93

24 1 0
                                    

J'ai juste eu le temps de me retourner face à ma porte que mon frère entra, les nerfs à vif m'agrippe par les cheveux et me jeter par terre.
J'avais déjà compris ça réponse. Qu'il n'était pas d'accord, qu'il ne comprenait pas comment on est pu lui faire ça.

Il tournait en rond, comme si il réfléchissait à ce qu'il allait faire. Moi j'étais par terre, j'osais plus bouger, j'osais même pas le regarder.

ibra : T'es qu'une, t'es qu'une petite chienne (me donnant un coup de pied) Il t'a sauté c'est ça ? tfou tu me dégoute (me redonnant des coups de pieds)
- Moi : Arrête ! Arrête ibra ! On, on a rien fait wallah qu'on a rien fait (mettant mes mains sur mon visage)
- ibra : (Criant) Comment t'as pu me faire ça ? Avec ton cousin ! Ho ton cousin !
- Moi (en pleure) : Et alors ? On a le droit !
- ibra : Je vais te montrer moi si t'as le droit salle chienne (remontant ses manches)

Je reculais du mieux que je pouvais mais une fois contre le mur, je ne pouvais plus lui échapper.
Une fois de plus il m'a tabassé. Il m'a crié toute les horreurs, toutes les méchancetés du monde. Il me disait que plus jamais je sortirais, que plus jamais je
ne pourrais être avec Samir

, que jamais je ne serais à lui et lui à moi. Je venais de voir mes rêves se briser.
C'est Elif qui à réussis à le stopper, je saurais même pas vous dire comment elle a fait. J'étais allongé à même le sol, sur le dos avec seulement mes yeux pour pleurer. J'arrivais plus à bouger, physiquement comme mentalement.

Je ne ressentais aucunes douleurs de mes blessures, sauf celle de mon cœur. Celle la je la sentais, elle était pire que les autre. Et aucune crème, aucun médicament ne peut la guérir. J'entendais la voix de Elif me parler mais je n'écoutais rien. Je sentais de l'agitation et en tournant la tête, j'ai vue Samir, apeuré en me voyant.

J'ai vu qu'il avait eu peur, qu'il était impuissant, désolé d'être impuissant. Il voulut s'approcher mais ibra le prit par le col et il disparue tous les deux de ma chambre.
Elif m'aide à me relever du mieux qu'elle peut et m'allonge dans mon lit. J'ai finit par m'endormir sous les caresses de Elif.

Dans la peau de ibra

J'ai trainé ce batard jusqu'en bas. Alors comme ça il se tape ma sœur. Il est ou le respect. J'ai reçu un sale couteau dans le dos, ! Comment ça on touche à ma sœur. J'ai les nerfs, j'ai envie de le tuer sur le place et c'est ce que je vais faire.

A peine avoir posé le pied dehors que je lui ai sauté dessus. Au début il se défendait pas mais après il a commencé à rendre les coups. Ca devenait violant, incontrôlable. Nabil et d'autre gars essaye de nous séparer. On avait ameuté tous le quartier, tous les commères, les chienne étaient la mais je m'en battais les rein
.
Nabil et un shab ont réussis à me tenir mais wallah je voulais encore ça peau, j'en avais pas finit

- Moi : Regarde moi bien ! Jamais t'as compris ?
Jamais je te laisserais te marier avec ma sœur (crachant par terre) Entre pote et chienne l'écart est mince wallah (me secouant) C'est bon lâcher-moi, je vais pas le toucher

- Nabil : Non gros, je te connais
- Moi : HO lâche moi, je vais rien faire wallah
- Nabil(me relâchant) : Saha
Samir était déià partie je ne sais où. Je monte dans
ma caisse, démarre à toute vitesse et me barre. Je sais pas où je vais mais je m'en bas les rein
.
comment ils ont pu me faire ça. Mon frère et ma sœur ! Mais c'est fini, j'ai plus de frère, ni de sœur. Ils me l'ont bien mise à l'envers, j'en reviens pas. Mais ce qui est sur c'est tant que je serais en vie, jamais il l'épousera.

Dans la peau de Elif

- Khalti : Yeh wili wili, il sait passé quoi ici ?
- Moi : C'est ibra. Samir lui a parlé
- Khalti (s'asseyant sur le canapé) : Ils vous finir par me rendre malade wallah
- Moi : Je vais essayer de parler à ibra
- Khalti : Oui, toi il t'écoutera ma fille
- Moi : Je ne sais pas, je verrais bien
- Khalti : Si je le sais (me prenant la main) Je sais qu'il est amoureux de toi ma fille. Même s'il me dit rien, je le sens, je le connais par cœur

- Moi (baissant la tête)
- Khalti : Vous avez eu des problèmes c'est ça ?
- Moi (hochant la tête)
- Khalti : Mehlich, passe au dessus de ça ma fille, ce ne sont que des épreuves. Ouvre lui ton cœur, ne le laisse pas se perdre d'avantage. Il est aveuglé par la haine
- Moi (lui souriant) : Oui khalti je vais lui parler, j'irais lui parler...

1 semaine était passé et depuis, aucune nouvelle de ibra ni de Samir. Nayla était tombé dans une salle déprime, ibra lui avait pris son téléphone en plus et je n'ai toujours pas eu le temps de lui parler.
Elle ne mangeait plus, ne sortait que pour le boulot.
De léger bleu apparaissait sur son visage, elle me faisait mal au cœur.

On est posé dans sa chambre, enfin, elle est allongée sur le lit à fixer le mur, tandis que je regardais par la fenêtre. La porte d'entrée sait ouverte.

On se regarde dans les yeux, sa mère n'était pas censé rentrer maintenant, on attend 5 minutes quand on voit ibra ouvrir la porte et nous regarder à tour de rôle. Nayla baissait la tête, elle n'osait pas le regarder. Lui il la regardait avec dégout, comme si

elle l'avait déshonoré alors qu'elle était simplement tombé amoureuse.
D'un coté je suis contente de ne pas avoir de grand - frère mais d'un autre ça m'aurait bien servis.
Hassoul, j'avais les bras croisée, lui montrant que moi aussi je n'étais pas d'accord avec lui, que je n'approuvais pas son choix, il me regarde de haut en bas referme la porte mais la re-ouvre et dit à Nayla

- ibra (lui lancant son phone) : Tiens appels ton taffe
- Nayla(avec la gorge nouée) : Pourquoi faire ?
- ibra : tu démissionnes
- Nayla (choqué) : Quoi ? Non, non c'est tous ce qui
me reste
- ibra : Ta gueule ! Appels maintenant
- nayla (en pleure) : Non !
- ibra (La giflant) : Appels la con de toi
- Moi (le poussant) : Mais t'es malade !
- ibra : T'en veux une toi aussi ?! Nayla appels
- Moi : Ppff
- nayla (composant le numéro) : Je te déteste,

Tomber love de mon cousin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant