𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 35

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📅 samedi 08 février

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📅 samedi 08 février

- 𝐂𝐚𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞 -

Je ne sais pas comment Fermin et moi nous sommes retrouvés dans une position pareille, mais à peine sommes nous arrivés chez lui, que nous voilà désormais sur son lit, lui au dessus de moi.

Il y a une attirance inévitable entre nous, il suffit de le voir lorsque ses yeux plongent dans les miens. Il y a un silence parfait à ce moment précis, et je n'ai qu'une envie : qu'il me fasse l'amour toute la nuit. Et merde. J'en suis là.

- Est ce que tu es sure que c'est une bonne idée ? je demande, mes mains sur ses joues.

- La question ce n'est pas de savoir si c'est une bonne idée Camille, c'est plutôt de savoir si tu en as vraiment envie ?

La délicatesse de Fermin m'impressionnera toujours. Et je sais que si je refuse que l'on couche ensemble ce soir, il ne m'en voudra pas et ne le prendra pas mal. Et le fait qu'il me pose la question me rassure quant à son état d'esprit à mon égard.

- Je suis désolé Cam, j'avais peur être trop d'ambition... dit-il prêt à se relever.

- Non... répondais-je en le retenant.

- Non ?

Pour unique réponse, je l'attirais plus à moi jusqu'a ce que ses lèvres viennent s'écraser sur les miennes. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, je n'avais pas ressenti ce sentiment depuis six mois, depuis lui.

Les lèvres de Fermin étaient délicieuses, aussi douces qu'à l'époque où nous étions encore ensemble. Et ce simple contact suffisait à me faire ressentir les papillons dans le ventre, qui avouons le, m'avais tant manqué.

Je reprenais plaisir à me sentir vivante près de lui, et ce contact physique entre nous, n'était que le début d'une nuit torride qui nous attendait.

- Camille... dit-il entre deux baisers fougueux. Tes lèvres...

- Les tiennes aussi m'ont manqué... avouais-je.

Son sourire était terriblement beau, mais à nouveau, ce regard entre nous était d'une puissance, que jamais je ne pourrai y mettre de mots dessus.

Ensuite, je souriais lorsque ses baisers venaient chatouiller mon cou. Je caressais son dos, encore vêtu d'une belle chemise, puis je plongeais ma main dans ses cheveux, que j'aimais tant.

𝐅𝐈𝐃𝐄𝐋𝐄 - 𝐅𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧 𝐋𝐨𝐩𝐞𝐳Where stories live. Discover now