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Ma tête se trouvait coller à la façade du bureau, et j'étais quasiment ou totalement sur que Monsieur Styles la meilleure vu qu'il soit..
Je ne savais absolument pas ce qui me terrifiais le plus, le fait qu'il avait entre les mains  une ceinture en cuire très fine, ou le fait que j'étais contre mon bureau le cul à l'air prenant le risque qu'une personne rentre ici a tout moment. J'avais fermer la porte à double tour comme me l'avait suggérer mon patient mais mes supérieurs avaient la clef de mon bureau alors...

Il était fort probable que soit actuellement effrayé par la situation, qui ne l'aurais pas été de toute façon ?

J'avais essayer de relever la tête afin de pouvoir aperçoit une issue de secours ou peut être même apprécier les traits dur de son visage à cet instant même. Mais la main épaisse de mon partenaire de jeux avait doucement reposer ce gros crâne sur le bureau.
J'aimerais diable que l'on m'explique pourquoi j'avais accepter de jouer à ce jeu stupide et pourquoi j'avais signer cette fichu feuille ? Tu trouvais ça fun, me répondît ma conscience. Tais toi conscience ! grognai-je silencieusement.

Un soupire c'était échappé de ma vie et tout pensées fut évaporé une fois que le cuire m'avait atteint.
Il l'avais fait sans même me prévenir.

J'essayais d'avaler le cris qui s'apprêtait à sortir de ma bouche, me tortillant sous la douleur à la fois épique mais agréable.
Que dis-je ?

- Répète Daisy, je.

- Je, m'exécutai-je en essayant du mieux que je pouvais de reprendre mes esprits.

Je me demandais comment s'était possible qu'il apprécie ce moment jusqu'à ce que je me rende compte qu'il n'était pas le seul.

- Suis, chuchote-t-il à mon oreille.

Pouvait-on entendre mes gémissements ?

- Aller répète Daisy.

La ceinture avait une nouvelle fois atterri sur mon fessier, de ce fait il était évident que mes mains serrait fortement le bois de mon lieu de travail.

-Suis, répétais je avant que cela ne recommence.

- Désolé, finit-il.

Mais cette fois-ci je n'avait reçu aucune douleur, étonnement à la place j'avais eu droit à un tendre baiser sur ma colonne vertébrale.

- Désolé, repris-je en me redressant.

- Tu as compris maintenant ? Il me dis entre quelques smacks se serrant contre moi.

- Oui, m'empressai-je de dire n'ayant pourtant pas repris mon souffle.

Il remontait peu à peu ma jupe se collant encore plus à moi, je pouvais sentir son excitation et j'espérais qu'il puisse sentir la mienne.

- Je ne te toucherais pas ma belle, chuchotait-il doucement à mon oreille. Ne doute pas de mon envie de te prendre sur ce bureau mais Je préfère que tu garde ton énergie pour demain, car ça va être une très longue journée.

- Que voulez vous dire par là ? Dis-je en me retournant pour voir son beau visage.

Une grande frustration s'était emparée de moi, j'imaginais déjà nos corps s'entre mêlée ici même, alors que mon cerveau me crierait d'arrêter. Mais il était si beau, ses cheveux retombaient sur son front, ses lèvres charnues était pincé en coeur, et ses yeux verts profond me regardaient intensément, et comme d'habitude ses sourcils étaient froncés.

J'avais mon index entre ceux ci afin de les déplisser car je ne pouvais pas m'en empêcher j'observais le petit rictus qui s'affichait déjà sur son visage, et admirais encore une fois le mélange de douceur et de dureté que présentait son visage.

- Est-ce que ça t'excite de faire ça ? Il me demande en riant.

Ce son était magnifique.

- Arrête de m'admirer.

- Je ne vous admire pas, disons que je vous observe.

- Donc tu m'admire, il persiste en roulant des yeux, je sais que je suis beau mais quand même Daisy, retiens toi.

- Je vous observe.

- Tu m'admire.

- Je vous observe, j'insiste en plaçant mes mains sur chaque côté de mes hanches.

- Tu m'admire, admet le Daisy que tu me trouve beau.

- Je vous observe.

- Tu admire ma beauté Daisy, il continue en chantonnant.

- Non, je la cherche encore.

Il place sa mains sur son coeur faisant mine d'être à la limite traumatisé.

- Je suis offusqué, comment oses-tu Daisy ?

Je pourrais presque penser qu'il était actuellement en train d'imiter Chantal.

- Je vous présente mes plus plates excuses très chères. Je dis en imitant la voix qu'il avait fait auparavant.

- Seigneur, tu devrait mieux fermer ta gueule Daisy j'ai l'impression d'avoir Chantal en face de moi.

La pure et simple histoire de ma vie.

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Les choses changeront bientôt dans les chapitres suivant mais je préfère ne pas vous en dire plus.

All the love Xx.

S with my psychotic patient || H.SWhere stories live. Discover now