S with my psychotic patient || H.S

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Ne perds jamais ce que tu es et sois toujours vrai avec toi même. C'est vrai qu'il est parfois difficile de suivre son cœur, pourtant certains ont plus de facilité à suivre le leur. J'aurais dû suivre le mien et fuir quand il était encore temps, m'en aller quand j'en avais l'occasion. Au lieu de ça j'ai préférer m'accrocher à l'impossible, il était très probable que je me soit inventer cette histoire de revanche pour voir si il y avait peut être un espoir. Tout cela n'avais aucun sens, qu'est ce qui clochait avec moi ?

Il avait laisser toutes ces cicatrices me bouffer l'esprit, elles me dévorent de l'intérieur, me consument, et je suis incapable de faire quoi que ce soit car je ne suis qu'une personne faible et inapte. J'avais envie de crier a l'aide, mais à qui ? Je n'avais plus rien, plus personne, ma mère avait disparu de toutes circulations, et Luke... je l'avais déjà assez pourris avec tout mes problèmes.

Je continuais à remballer mes paquets, en pensant sans arrêt, j'avais l'impression qu'on m'avait jeter une brique sur le crâne, c'était celle d'Harry Styles, il avait laisser un feu bruler dans mon cœur, et m'avais exploser la tête.

L'ascenseur c'était ouvert et en me dirigeant vers le salon je ne savais absolument pas à quoi m'attendre, cependant ce qui m'y attendait n'avait attirer aucune émotion sur mon visage démolie par une ramassé de colère et de tristesse.

- Qu'est ce que tu fais la ? dis-je.

- Il m'a donner le pass partout, il répondit en me montrant la carte.

Il avait cette air de compassion qui me donnait envie de vomir, je n'avais besoin de la compassion de personne surtout de sa part

- Il m'a dit... Il continua en se raclant la gorge, il m'a dit de te dire que la voiture t'attendait en bas et il m'a aussi donner ça pour toi. Il sortit de sa poche un grande enveloppe, c'est ton billet d'avion pour retourner a Brooklyn, finit-il.

- Ok, je lui avais dit avec un sourire un coin de bouche.

A quoi m'attendais-je ? Le grand Harry Styles n'a aucun temps à perdre, même avec moi.
Il n'avait pas besoin de me dire au revoir.
Mais de toute façon je n'étais rien, juste un paste temps comme il me l'avais si bien dit.

- Ecoute Daisy je-

- Je n'ai pas envie de t'entendre Zayn, lui coupai-je la parole, je ne veux pas savoir ce que tu as dire, je ne veux pas savoir a quoi tu penses, je ne veux pas entendre un soupçons de ce qu'il a pu te dire de me transmettre... Quoi que ce serait étonnant qu'il puisse m'adresser un mot. En fait, je vous emmerde tout les deux, allez vous faire foutre.

Je m'étais approcher de lui pour lui arracher cette foutue enveloppe des mains, je sentais ma gorge se serrer, mes lèvres trembler et les larmes monter.

- Il m'a rien dit de te transmettre, et même si tu ne veux pas l'entendre je te le dirais quand même. Vous le saviez tout les deux que cette histoire n'allait vous mener nul part, c'était perdu d'avance.

- Tu te trompes, VOUS étiez au courant que tout ça n'était qu'une supercherie, moi je ne savais absolument rien !

j'essayais par tout les moyens de retenir mes larmes, j'avais assez négliger ma dignité.

- Je n'y suis pour rien.

- Tu mens ! le ton de ma voix était monter d'un cran et j'allais bientôt ne plus pouvoir respirer, tu savais absolument tout ! continuai-je, tu savais que ce n'était qu'un jeu pour lui et tu l'a laisser faire ! T'a été complice Zayn, tu as oublier comment on s'ést rencontrer... ?

Il avait l'air complètement dépité, mais je n'oubliais pas qu'il était l'ami du diable, ils avaient tous en eux cette capacité de pouvoir jouer le rôle qu'il voulait : le psychopathe, l'ami inquiet du malade, le patron, l'attentionné. Ils étaient tellement démoniaque...