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Nous étions en train de marcher à l'intérieur du restaurant, la plupart des employés du grand Mr Styles le regardait comme si il était un dieu tout puissant, Je ne savais pas ce qu'il avait pu faire pour qu'on le considère comme tel, peut être avait-il un don? Car si je m'en rappelle, j'ai été semblable à tout ces serveurs et chefs de salle présents dans cette immense pièce : complètement aveuglé, dans une total léthargie.

- Suis-moi, me dit-il.

- C'est ce que je suis en train de faire... Je n'avais pas pu m'empêcher de rouler des yeux.

- Tu es vraiment agaçante, il répond en ajustant sa veste. Je n'avais pas remarquer toutes ces mimiques avant. Il avait sans doute raison je ne le connaissait pas.

Nous nous dirigieons au fond de la salle vers une table complètement isolée, étrangement-avec un soupçon d'ironie- une serveuse était venu a nous malgré le fait qu'il y avait une foule de gens attendant d'être servis.

- Bonjour Monsieur Styles, que désirez-vous aujourd'hui ?

- Bonjour Mme Farley, chuchotais-je, et moi alors j'étais invisible ?

Gênée la serveuse s'est racler la gorge et a continué de regarder son patron avec des étoiles pleins les yeux.

- La même chose que d'habitude mais pour deux. Je suis pressé.

Pendant que la serveuse s'était en aller avec une rapidité inimaginable comme si ça vie était en jeu (ce qui était peut être le cas) je n'avais pas pu m'empêcher de lever le petit doigt.

- Excusez-moi, criai-je presque, je n'ai pas le droit de commander ce que je veux déguster ? Non je dis ça juste comme ça, comme.... Ok...

Elle ne m'avait même pas jeter un petit coup d'oeil.

- Vous ne me faites pas confiance dans mon propre restaurant.

J'avais lancer une des mèches de mes cheveux en arrière et avait prononcer avec arrogance :

- Je ne vous fais pas confiance tout simplement.

Il avait juste sourit, Ô mon dieu ce sourire, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas aperçu, et il était toujours aussi charmant. Il sort un stylo et une feuille de sa veste.

- C'est le contrat, je l'ai fais faire chez Niall.

- c'est votre avocat c'est ça?

Il n'avait pas répondu à ma question.

- Vous devez signer ici et là.

Sans même lire, erreur de ma part j'avais signer ce contrat.

- Vous n'avez pas lu ? Je vous le laisse.

Je me rappelle la première que j'avais dû signer un contrat avec lui, je ne l'avais pas fait, et pourtant j'en avais subit les actes. Face aux pensées des divers choses qui m'était arriver dès qu'il avait apparu dans ma vie, j'avais ressenti d'horribles frissons.

- Vous allez bien ? me dit-il d'un air presque inquiet, j'étais à deux milles pourcents sur que ce n'était pas sincère.

- Pourquoi ?

- Pourquoi quoi ?

- Pourquoi tout ça ? L'institut de psychologie, pourquoi ?

Je connaissais déjà la réponse, mais le fait de voir son visage se tendre petit à petit m'enchantais.

- Je...hum, il se racle la gorge, en hommage à ma soeur, il finit gêné.

- Que lui ai-t-il arriver ? Continuai-je.

- Elle avait besoin d'aide, je ne l'ai pas vu, alors..., il souffle et j'avais l'impression que sa gorge commençais à se nouer.

Je ne savais pas pourquoi mais ma main s'était retrouver sur la sienne, il avait regardait celle-ci et je l'avais tout de suite retiré.

- Pardon, dis-je gênée.

Il avait pris ma main et l'avait remise sur la sienne.

- C'est pas grave, il répond avec un sourire.

Qui avait-je en face de moi ? Je reconnaissais son visage, son corps, ses cheveux mais... Lui ? non.

- On m'a dis que j'étais psychologue.

J'ai sentis sa main se tendre sous la mienne, et il l'avait retirée.

- On m'a dit que j'étais psychologue, mais c'est tout ce qu'on a pu me dire.

- Je... Je suis désolé, il l'avait dit d'une telle façon, comme si il ne l'avait jamais dit ou comme si il était vraiment désolé.

Tu n'es pas excusé.

- Hum, il reprend un ton sérieux, je voulais vous dire que vous aller être mon assistante personnelle, vous allez me suivre pendant tout mes déplacements, cela commence mercredi, nous partons en séminaire à Los Angeles.

Assistante personnelle ! Séminaire ! Los Angeles !

- Attendez, je n'ai pas signer pour ça.

Il esquisse un sourire au coin de sa bouche

- Vous venez de le faire.

Je me frappait le front intérieurement, pourquoi je ne lis jamais avant de signer !
Je savais pertinemment ce qu'il essayait de faire, encore une fois, me rapprocher de lui.

Alors j'allais le faire, j'allais rentrer dans son jeu.

Nos plats étaient arrivé et nous avions discuter durant un court instant jusqu'au moment où quelqu'un était passer, et cette personne je l'avais reconnue et lui aussi.

- Daisy, s'approchait-il, wow Daisy ça fait longtemps ! Il m'avait sourit jusqu'à ce qu'il voit qui était en face de moi.

- Qui êtes vous ? Je ne devais rien laissez paraître, je ne pouvais pas tout gâcher.

Il avait longuement froncer les sourcils avant de me répondre.

- C'est moi, Dave... Dave Amilson...

Il continuais de me regarder avec incompréhension, je pouvais le comprendre nous nous connaissons depuis si longtemps maintenant.
Il avait posé son regard sur Harry et allait presque lui sauter dessus.

- Qu'est ce que tu lui a fait enfoiré !

Il se rapprochait dangereusement mais il n'avait pas eu le temps d'aller plus loin, la sécurité l'avait déjà pris par la peau des fesses afin de le mettre dehors.

- Daisy ! Crit-il en s'éloignant, Ne t'approche pas de ce gars ! Il est...

Je n'avais pas pu entendre le reste, il était dehors.

Tout le monde autour de nous nous avais regardé et s'était très gênant.

- Je ne comprend pas, lancais-je, comment me connait-il ? Je... Ce matin dans votre bureau, Mr Tomlinson avait l'air de me connaître, le brun aussi, maintenant cet homme. Et à chaque fois qu'on vous vois avec moi ceux qui prétendent me connaître nous dévisage... Je ne sais plus trop quoi penser.

Évidemment que je sais quoi penser, il a niquer ma vie.

- Je ne sais pas non plus... Je vous l'ai déjà dis nous ne nous connaissons pas, il répond avec certitude. Je pense que c'est le fait que vous ayez tanter de vous suicider qui vous trouble mais je ne sais pas qui était ce gars.... Et pourquoi il m'a attaqué ainsi.

Il avait l'air tellement... Désolé...?

- Je vous ai dis que j'avais eu un grave accident, mais pas que c'était une tentative de suicide... Je ne l'ai jamais dit a personne. Comment...

Il avait pincer son nez en fermant les yeux pour réfléchir. Car il était tout simplement pris au piège.

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Hey ! C'est enfin les vacances, je pense qu'il y aura plus de post.

Désolé!

All the love Xx.

S with my psychotic patient || H.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant