S with my psychotic patient || H.S

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- Et voilà mon chef d'oeuvres ! Dit joyeusement Carolina en me faisant tourner sur moi même, ne me remercier pas surtout sourit-elle.

A ce moment même, tout les regards était posé sur moi, j'étais évidemment super gêné, non pas par Niall mais par Harry qui ne me lâchait pas d'une semelle. Il était vraiment étrange quelque heures plutôt il ne me regardais même pas et maintenant il me dévore des yeux en passant son poussé sur ses lèvres.

Caroline m'avait proposé de me lisser les cheveux -chose que je fais quasiment jamais- et de me maquiller, c'était une artiste dans l'âme et toutes ces robes qu'elle m'avait donnée étaient toute magnifique, en incluant celle que je portais.

- Vous allez continuer à rester planter là sans me féliciter ?

- Merci Caroline, mais on va devoir y aller, tu as fais du bon boulot, il dit en lui embrassant la joue, Niall, on fait comme on à dit, ils se donnent une accolade et nous prenons le chemin de la porte d'entrée.

- Merci et bonne journée, dis-je simplement.

Nous finissons par nous engager vers la sortie, et une fois dehors je m'étais demandé avec quel moyen de transport allons nous retourner à l'immeuble, mes désirs de curiosités allaient vite être assouvis étant donnée qu'une Mercedes nous attendait au bout de l'allée.

Avant même de toucher la poignée un homme d'une trentaine d'années s'était approcher afin de m'ouvrir la portière.

- Madame Styles, il m'accorde un hochement de tête.

Je ne m'étais pas attarder sur le jeune chauffeur mais plutôt sur la réaction qu'Harry avait pu avoir.
Il s'était tout simplement racler la gorge en lançant de violents regard sombre à son employé.

- Hum moi c'est... commencai-je en m'assayant sur le siège arrière avec gène, moi c'est juste Daisy Farley.

- Mes excuses Mademoiselle.

Une fois que nous étions tous présent dans la voiture et que nous étions sur le chemin du retour Harry s'était enfin décider à ouvrir son clapet tout en tapotant les touches de son téléphone.

- Evan, commença-t-il.

Les mains tremblante sur le volant, celui-ci répondit,

- Oui monsieur ?

- Combien d'enfants as-tu à nourrir ?

En observant la conversation je sentais du bout du nez que Mr Evan le chauffeur de voiture : allait prendre cher.

De mes yeux, je m'arrêtais sur chaque faits et gestes des deux hommes, l'un regardait la route attentivement l'air peureux et pensif, l'autre lui avait les lèvres fortement pincées (comme à son habitude) et les yeux concentrer sur son téléphone, il avait l'air quasiment indifférent, et pourtant...

- J'en ai 5 monsieur, répond il de sa voix flageolante. Pourquoi Harry l'éffrayait autant ?

- Rappel où je t'ai trouver, il dit d'un ton ferme.

Je pourrais admettre que si l'on m'adressait la parole d'une telle manière, je pense que j'aurais mouiller le siège au premier mot dit.

- A... A la rue monsieur...

- Pourquoi ?

Pourquoi lui posait-il autant de question ? Ce n'était pas très sage de sa part d'humilier ce pauvre homme.

- Je ne trouvais pas de travail monsieur.

La voix vacillante de ce jeune chauffeur montrer qu'il était sur le point de lâcher une larme, mais en tant qu' homme, la fierté ne permettait pas à cette goutte d'eau de s'enfuir de ses yeux.

- Alors si tu ne veux plus te retrouver à la rue tâchez de ne plus commettre une moindre erreur Monsieur Evan Blake George.

Il avait lâcher son téléphone et employer un ton d'autant plus sérieux qu'il ne l'était déjà.

- Je vous ai tout offert, aujourd'hui vous ne manquez de rien je vous offre un salaire conséquent qui vous permet de combler le vide de votre femme, je vous ai payer une formation dans une prestigieuse école , vous êtes mon majordome Monsieur George, je ne permettrait plus des erreurs comme celles que vous avez commises. La discussions est close, nous changeons de destination dirigée vous vers le palace.

- Vers le palace ? Demandai-je, je n'ai pas trop eu l'impression d'avoir travailler aujourd'hui, et pourtant-

- Du moment que tu es a mes côtés considère que tu travaille.

- D'accord...

J'étais actuellement en pleine réflexion, était-il en train de jouer un rôle ou cette fois, avait-il décider de montrer son vrai visage ?
J'étais extrêmement perplexe sur la question... Perdu.

Encore une fois, depuis ses derniers mots prononcés Harry avait décider de rester muet, il tapotait sans arrêt les touches de son téléphone. Je me demandais : mais que diable son téléphone avait de plus que moi !

- Je veux faire pipi.

J'ai envie de faire pipi ?! tu n'as rien trouver de mieux idiote.... Je m'étais dis.

Au moins j'avais obtenue une réaction de sa part, il avait lever un sourcils, me regardant du coin de l'oeil tout en souriant.

Il m'avait charmé et à vrai dire j'étais gênée.

- Hum, je veux dire... Je..

- On arrive dans combien de temps demande-t-il au chauffeur.

- Maintenant, Sourit-il, depuis la rénovation c'est encore mieux monsieur Styles.

Dans l'incompréhension je jettais plusieurs coups d'oeil au centaines  d'immeubles en cherchant ou pouvait se trouver ce fichu palace.
Dès lors, j'avais sentis une petite tape sur mon épaule, je m'étais tourner pour tomber encore une fois sur le sourire narquois de Mr Styles, il avait sûrement lu dans mes pensées étant donné qu'il avait pointé du doigt a travers la vitre un immense immeuble blanc sur lequel était inscrit sur la façade les lettres : PSE en couleur or.
Pas du tout bling bling celui la.

- PES...? chuchotais-je.

- Non, c'est PSE, me corrige-t-il, descendez de la voiture.

Un instant il me tutoie l'autre instant il me vouvoi, un instant il est cool l'autre instant il vache. Il va falloir se décider Monsieur Grognon, je m'étais dis tout en roulant des yeux.

- Pour une première journée vous donner de vous une très belle image a votre employeur Madame Pompette.

La prochaine fois je devrais fermer ma bouche avant de penser, les mots ont une sale tendance à sortir tout seuls.

- Qu'allons nous faire à PES ? Je ne pis m'empêcher de sourire.

- C'est PSE, grogne-t-il, ça me faisait énormément bizarre de le voir aussi...Normal... Mais qui est cet homme pour l'amour de Dieu !

- Je sais. Mais PES, ça sonne bien.

- Et la ferme ça sonne comment ? il dit en tournant sa tête pendant que nous marchions.

- Vulgaire, répondis-je, Pourquoi nous nous rendons ici Monsieur Styles ?

Il s'était arrêter net, va savoir pourquoi ? Des souvenirs lui remontaient peut être au cerveau ?
Il se racla la gorge pour la énième fois (c'était un tic que je n'avais pas encore découvert chez lui), et il reprit sa marche vers la longue et belle porte.

- Nous allons dîner et nous allons discuter, Mademoiselle Farley.

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WELCOME BACK TO À NEW CHAPTER

une très longue absence et je m'en excuse mais je compte me reprendre en main.

BIG ANNONCE À VOUS FAIRE :

J'ai posté le prologue de ma nouvelle fiction !
jetez y un coup d'oeil et donnez moi vos avis les plus sincère :)

merci a vous et bonne journée !

All the love Xx.