S with my psychotic patient || H.S

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Ils restent tout deux bouche bée, et moi dans le cas pareille.

Je ne pus m'empêcher de gémir face à leurs réactions, je suis sûr qu'au fond, il en a vraiment envie.

De toute façon, tout le monde a envie de me sucer la bite.

- Je pensais pas du tout à ça, dit-il en posant sa main sur sa poitrine d'un air innocent.

Je suis sûr que si.
Menteur.

- On parlera d'argent ou de baise si tu veux tout à l'heure, en attendant tu la soigne, et si tu ne fais pas ton travail comme il le faut. Je te donnerais la fessée, t'en a déjà pris j'en suis certain, mais la mienne ne sera ni affectif ni aimable.

Sans oublier de lui lancer un regard qui voulait tout dire je m'en vais m'isoler dans ma chambre.

- Ouh, méchant petit garçon, Chuchote-t-il pendant que je m'éloigne.

Pourquoi je voulais autant la sauvé ? J'aurais pu la laisser mourir ? Elle qui m'a fait tant souffrir, car oui, sans le savoir elle m'avait fait souffrir, souffrir comme personne ne l'avait fait auparavant, elle m'avait fait souffrir en voulant m'abandonner, en voulant me quitter, d'ailleurs elle l'avait fait, me laissant dans un chagrin interminable me faisant oublier toutes raison de vivre.

C'était incroyable comment elle pouvait me faire perdre la tête, elle ne le savait pas, mais elle me contrôlait, elle contrôlait mes faits et gestes, chaque action que je faisais, je pensais à elle. Pourquoi ? J'en avais aucune idée.

Ce n'est pas de l'amour, je le sais.

Cela ne peut être de l'amour, mes sentiments sont tellement trouble, je ne sais même pas ce qu'est l'amour, je n'ai jamais été aimer. Et je n'ai jamais aimer. Et je ne vais jamais aimer.
Aimer c'est pour les faibles, je ne suis pas faible.

- Euh Harry ? Intervient Liam au cadre de la porte.

- Quoi. Dis-je brusquement.

Je ne devrais pas m'énerver contre lui de cette façon là, il ne m'avait rien fait au contraire j'avais l'impression de lui faire vivre l'enfer.

- Excuse moi... Oui qu'il y a t-il ?

- Je... Il y a quelqu'un qui prétend te connaître et je...

Il paraissait bizarrement stressé, alors qu'auparavant il ne l'avait jamais vraimrnt été.

Toute le monde me connaît alors il a pas eu intérêt à faire rentrer quiconque chez moi, j'aurais peut être du mal à l'accepter.

- Et tu quoi ? J'espère que tu n'as laisser personne rentrer ici.

- Enfait il ... je... Euh oui mais j'ai pas fais exprès je te jure.

- Bien sûr tes mains ont été guidé par l'esprit saint. Fait chier putain.

- Tu es si vulgaire.

- Et tu es un vrai connard.

- J'adore. Rit-il.

- Être un connard, dis-je en me précipitant dans les escaliers.

- Non. J'adore la façon don je rêve que tu te tord la cheville en courant si vite dans les escaliers.

- Mon poing dans ta gueule surtout.

- Seigneur, pourquoi tant de haine en toi garçon.

- Je vais pété dans ta face pour évacuer cette haine.

- Excitant.

Je ne suis pas sortis d'affaire avec lui.

Arrivé dans le salon je n'arrivais pas à croire qu'il était assis sur mon canapé tout neuf. NEUF.
Qu'est ce qu'il fout ici lui, j'ai assez de problème comme ça, alors qu'il ne me fasse pas chier.