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Ses mains qui étaient auparavant fixer sur mes épaules se retrouve longer le long de son corp, ses yeux s'ecarquillant me laissait perplexe, la façon dont sa mains tirait les cheveux de son crane à presque les arracher me donnait envie de pleurer, et m'enfuir en courant, je venais de lui dire quelques choses que j'avais dis qu'au membres de ma famille les plus proches.
Je ne savais pas quoi faire, alors je restais planté là à regarder sa façon de réagir à ce que je lui avais dis.

Il finit par enfin ouvrir la bouche pour ensuite ne rien dire.

- Tu ne dis rien... Dis-je tout bas en essayant de coincé les sanglots qui menaçait de s'échapper.

- Daisy... je...je bégaye-t-il.

C'était la première fois que je le voyais aussi vulnérable et sans mot, en général il répondait aussi vite qu'il le pouvait. J'avais besoin qu'il dise quelque chose, j'avais besoin de savoir si peut-être malgré sa... maladie, j'avais espoir que les sentiments que j'éprouvais pour lui sois réciproque de son côtés, c'est la première fois que je ressentais cette chose, et je l'éprouvais pour quelqu'un qui m'avait sûrement fais les pire choses de ma vie.

- tu ne peux pas m'aimer.

Cette phrase, ces mots qu'il avait dit m'avait fait m'effrondrer, je savais qu'il essayait de me dire qu'il ne m'aimait pas de son côtés, mais à quoi je m'attendais sérieusement ? Cette homme est victime d'une maladie et est incapable d'aimer une personne autre que lui même. Je m'étais imaginer tellement chose que j'en avais presque oublier la réalité.

- Tu ne m'aime pas comme je t'aime c'est ça ? Dis-je en oubliant de retenir mes larmes.

- Daisy... je t'apprécie mais on ne peux pas être ensemble. Il dit de culpabilité.

- ok, fis-je en reniflant, ramène moi chez moi s'il te plaît.

Je refoule toute mes pensées désagréable et me décide à retourner dans le petit chalet sous les supplications répétitive d'Harry me disant de rester.
Je ne voulais plus voir cet homme en face de moi, enfait, je me sentais tellement sal qu'en passant devant les personne devant moi j'avais l'impression qu'il savait que, en quelque sorte je m'étais pris un râteau.

J'entre dans le chalet en claquant violemment la porte de celle-ci sans prendre en compte qu'Harry était juste derrière moi, il s'était sans doute prit la porte en plein nez, mais je m'en fou.

- Que fais-tu ? Demande-t-il en voyant que je cherchais des habits.

- Où as-tu mis ma jupe et mon chemisier ?

- Que fais-tu ? Il répète en ignorant ma question.

Je vais donc chercher toute seule.

Je souffle un bon coup, et m'aventure dans l'armoire.
C'était le total bordel, mais je finis par enfin trouver ce que je portais avant d'arriver ici.
J'enfile mes vêtements.
Ça faisait du bien d'être couverte.

- Mais qu'est ce que tu fous ?!

- Je putain de pars, ton pauvre putain de cerveau malade n'avais pas compris ?!

La colère remplace la tristesse et je ne me reconnais plus. Il m'avait changer.

- Depuis quand tu dis putain ?

- Quoi tu vas m'en empêcher ?

- Non, mais tu ne vas pas partir.

- Bah si, je dis en le bousculant pour sortir de cet endroit, regarde je te montre j'ouvre la porte et je dégage de cet endroit de tarée.

Étant dehors je respire l'air, et relâche ma respiration, pourquoi je l'a retenait d'ailleurs ?

- Daisy putain ! Crit Harry derrière moi.

- Fiche moi la paix.

- Ne pars pas je... je...

- Tu ne sais plus parler ? Lui fis-je remarquer.

- Es-tu sûr de vouloir arrêter mon amour ?Je ne peux pas te retenir car je t'ai déjà prévenu de quelque chose autre fois, tu décideras ton sort.

- Je. Ne. Suis. Pas ton putain d'amour. Je cris presque sans faire attention à ce qu'il m'avait dit.

- Tu veux tout arrêter ?

Je souffle, et sans réfléchir je répond.

- Oui.

Avais-je signer mon arrêt de mort ?

- Bien. Je te dépose chez toi.

- Quoi ?! Hors de question !

- Comment vas-tu rentrer ?

Oui c'est vrai... J'en ai marre, je suffoque. Dans quel merdier suis-je tomber ?

Sur le trajet le silence règne et seul nos respiration se fait entendre, un instant après je sens sa main se poser sur ma cuisse.

Non, pas encore.

Je repousse sa main, sans le craindre cette fois, allait t-il se garer sur le côté pour me donner la fessée ?

- Ok, il dit en reposant sa main sur le volant.

Avait t-il eu un déclic ? Ou me faisait-il croire que ça ne l'affectait pas ?

- Tu es arriver à destination bébé, Euh Daisy.

J'étais maintenant devant ma maison me préparant au discours de ma mère.

Je sors furax de cette foutu voiture ne sachant même pas pourquoi et pose me coude sur le rebord de la vitre passagère.

- Cherche toi, une bonne psychologue BÉBÉ, je ne veux plus te voir.

Et je m'en vais.

- Daisy ! M'interpelle-t-il.

Je me tourne et le regarde blasé les mains posé sur mes côtes.

- Fais attention à ne pas tomber.

- Je sais marcher, merci ! Je roule des yeux et vain l'envie de lui faire un doigt d'honneur.

- Non. Fait attention à ne pas chuter.

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27k ! MERCI !!!!!!!

All the love Xx.

S with my psychotic patient || H.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant