Chains (trad.)

Chapitre 1

{PDV Lecteur}

      Quand je suis descendu à la cave, je ne savais pas se que je comptais trouver, ou même se que je cherchais. Alors que je descendais l'escalier, je ne pouvais m'empêcher de remarquer que les lumières étaient plus sombre et donnaient une lueur surnaturel sur le contenue de la pièce. Affiche de cinéma d'horreur et armes arpentaient les murs, avec des figurines, des répliques de masque, des pancartes taille réelle des icônes d'horreur et d'autre marchandise orientées horreur tapissaient le sol et les tables. Regardant les alentours, mes yeux ajustés à l'obscurité, mon cœur s'arrêta brusquement.
 
 

    Appuyé contre le mur du fond se trouvait un personnage vêtu de noir, à peine visible dans l'obscurité sauf certaine mèche de cheveux brun qui ressortait sur un masque bleu marine sous une capuche. Comme mes yeux étaient ajustés, je remarquais que ces bras était suspendu au dessus de sa tête et enchaînés au mur avec des menottes métalliques, et les mains rentrées dans d'étrange mitaines qui ressemblaient à des billes d'acier. Pendant un moment je me sentit trop engourdi pour réfléchir. S'il vous plaît, s'il vous plaît c'est un accessoire, plaidais-je silencieusement, S'il vous plaît il n'est pas réelle, s'il vous plaît ce n'est pas une vrai personne...
 
 
      Comme si il avait entendu mes pensées, le masque se souleva, montrant des yeux noirs et dégoulinant de peinture de la même couleur.
 
 
      Mon estomac se noua en voyant le mouvement, et je me senti comme sur le point de vomir. Non. Non non non non non. Buddy maintenait une personne ici bas. Il y avait une personne enchaînée dans le sous-sol. Depuis combien de temps était-il ici ? Je mangeais mes dîner juste au-dessus alors qu'une personne était enfermée dans le sous-sol, je dormais dans mon lit chaud et douillet, alors qu'il était forcé de s'asseoir ici avec ces mains dans des mitaines d'acier. Et ce masque... il ressemblait à quelque chose sorti d'un film d'horreur. Buddy l'avait-il forcer à le porter tout ce temps ?
 
 
      Je réussi à ravaler ma bile et à ouvrir ma bouche, mais aucun sons ne sortit. Je ne savait pas quoi dire, quoi faire. Non, je savais quoi faire. Je chancela à travers la pièce, et me mis à genoux devant lui. La douleur traversa de nouveau mon côté, mais je serra les dent et résista à la nécessiter de crier.
 
 
      "Est-ce-que ça... Ça va ?" réussi-je à dire bien que j'essayais de ne pas montrer ma douleur dans mon ton.
 
 
      En ce moment, ça devait être la dernier chose dont il avait besoin. Après un court moment, il ne donna qu'un léger mouvement de tête, qui me remplis de soulagement.
 
 
      "B... bien... mon nom est [nom], laisser moi vous aidez à sortir..."
 
 
      J'arriva pour lui enlever le masque, mais il recula et secoua la tête violemment, se qui me pris au dépourvu.
 
 
      "Vous... vous ne voulez pas l'enlevez ?"
 
 
      Il y eu une pause, puis il secoua la tête. Je pris cela comme un non. Cela m'intrigua, mais je n'avais pas vraiment l'humeur ou l'état d'esprit à me poser des questions. Il y avait encore trop de chose à traiter. Mon bien-aimer oncle venait d'essayer de me tuer et maintenant je découvre qu'il était kidnappeur. Tous semblait être un horrible cauchemar, mais la douleur dans mon côté était un rappelle constant que tout cela était bien réel.
 
 
 
 
{PDV Jack}
 
      Quand Jack vu la jeune fille inconnue, il repris son souffle. Même dans la lumière tamisée, il était en mesure de voir clairement ces cheveux [c/c] qui était en désordre, ces yeux [c/e] écarquillés et qui semblaient presque briller contre son visage. Tout en elle était échevelée et désordonné, mais à ce moment précis elle semblait briller comme un ange. Après quelques instants à la regarder il remarqua les taches rouges sur son T-shirt et son pantalon qui ne faisaient pas partie d'un motif en particulier, mais étaient du sang. Voyant qu'il avait encore plus l'eau à la bouche, la faim montant rapidement à sa tête, il résista à son désir d'attaquer. Il n'était pas exactement dans une position à faire quoi que ce soit de toute façon, de plus elle était son seul espoir pour la liberté, la première lueur d'espoir depuis des semaines, voir des mois.
 
 
      Elle s'approcha et se mit à genoux devant lui, son visage visiblement déformer par la douleur. De près, il remarqua qu'il y avait une grande déchirure dans sa chemise par laquelle il pouvait entrevoir une grande coupure qui saignait, se qui n'aida pas à apaiser sa faim. Tous se sang est le sien ? Il espérait que non. Elle repoussa évidement la douleur, la jeune fille demanda comment il allait. Sa voix était musicale par rapport à voix rauque de l'homme. Cet homme... Où était-il ? Était-il là-haut ? Il s'inquiéterait de ce sujet plus tard. Pour l'instant, Jack devait se concentrer sur comment s'échapper. Il n'osa pas parler, ne voulant pas montrer... sa nature inhumaines dans son langage. Cela fessais un moment qu'il n'avait pas parlé, et la faim n'aidait pas à améliorer sa capacité à communiquer "normalement".
 
 
      Pour cette même raison, il recula quand elle essaya d'enlever son masque. Si elle voyait son visage...! Il faillait qu'elle le libère en premier. La jeune fille semblait un peu surprise par se geste, mais elle l'accepta sans poser de questions et commenca à inspecter ces poignets. "Savez-vous où il garde les clés pour ces choses ?" a-t-elle demandé, sa voix encore lente et hésitante.
 
 
      Hmm... Cette coupure dans son ventre devait vraiment faire mal. Par réflexe, il essaya de déplacer ses mains vers un point, mais il fût évident que cela ne fonctionna pas. À la place, il hocha la tête vers un bureau derrière elle, espérant qu'elle comprenne le message. Elle se retourna pour regarder le bureau et demanda,
 
 
      "Vous voulez dire le bureau ? Dans un des tiroirs ?"
 
 
      Soulagé qu'elle eu compris il hocha la tête, elle chancela sur ses pieds et fit lentement le chemin jusqu'au bureau. Elle chercha dans les tiroirs pendant ce qui semblait être une éternité, elle revint finalement avec deux clés. Si il avait eu des yeux, ils se serait illuminés à la vue des petits objets métalliques. La liberté était finalement sous ses yeux. (Sans jeu de mots)
 
 
 
 
{PDV Lecteur}
 
      Les clés en main, j'arriva vers le cadenas des chaînes et essaya de l'ouvrir. La panique me surmonta momentanément lorsque je vis que la clé ne correspondait pas, en essayant de rentre la clé dans la serrure désespérément, jusqu'à ce que finalement une réalisation simple me frappe : cette serrure vas avec l'autre clé. Je changea de clé, je pris la deuxième et elle glissa parfaitement dans la serrure. Je la tourna. La première manille s'ouvrit et son bras tomba sur son côté mollement, bientôt suivi par l'autre. Il est clair qu'ils avaient été suspendues pendant un certain temps, il ne semblait pas avoir de force.
 
 
      "Presque fini" lui ai-je dit en lui donnant un sourire tremblant.
 
 
      La douleur dans mon flanc semblait empirer, mais je devais rester forte, ou au moins essayer. Je ne pouvais pas montrer la moindre faiblesse, il avait assez de soucis comme ça. Je leva une de ses mains par le poignet, ma main tremblant tout le temps, j'utilisa la première clé pour défaire le cadenas. Clic. Le gant avait une charnière au sommet, apparemment destiné à être ouverte d'une manière bien particulière, je raffermi mes mains assez longtemps pour pouvoir ouvrir le verrous. En soulevant sa main, mon corps fut tendue et la moufle tomba de ma main, atterrissant sur le sol avec fracas.
 
 
      Sa main était grise, une couleur non naturel pour les humains. Ses ongles quand à eux, n'était pas vraiment des ongles, ils ressemblaient plus à des griffes, assez brutal pour déchiqueter quelque chose. Je les regardais avec de grands yeux, ne sachant pas quoi faire.
 
 
      "Qu'est-ce que...?" puis-je seulement dire.
 
 
      Mais soudain, il se jeta sur moi, me clouant le dos au sol. Sa main libre enroulé autour de mon cou, serrant sa prise. Je fut tellement choqué que je ne pus même pas essayé de me débattre, je fixai ce masque bleu marine. Qu'est ce que...? À ce moment, tout semblait se bloquer autour de moi. Toute la folie de la nuit revenu d'un coup dans mon esprit, et juste... Je n'en pouvais plus. Mes yeux flottait et ma vision devenait floue, je m'était évanoui.