4 mois a te supporté.

Chapirte 2O:"Tu n'ais donc jamais tomber amoureuse"

Le dessin que j'avais fait était exactement au traie près identique au tatouage d'Harry .Lui était la allongeais à côté de moi la chemise ouverte pendant que moi je regardais son tatouage en le comparent avec mon dessin mes doigts se baladant sur son tatou.

"-Je sais...je sais pas comment, déguillais je 

-Tu sais pourquoi je me suis tatoué ça? me demandât-il

-Non mais je sens que tu vas me l'expliquais! Riais-je

-Je ne suis jamais tombé amoureux. On m’a toujours dit que quand on embrasse la personne qu'on aime des papillons sorte de notre ventre. Mais je ne suis jamais tombé amour, j'ai 21 ans et je n'ai jamais pu aimais quelle qu'un et sa même si les copines se succédé. Aucune ne m’a fait un réel effet appart le physique bien sûr...Je me suis donc fait mon propre papillon

-Tu sais, les papillons qu'on est sensé ressentir quand on ait sensé aimais cette personne quand on l'embrasse c'est une simple réaction de ton cerveaux qui sécrète une impulsions contractant chacun de tes muscles et aussi certaines organes, les  papillons que la personne sens son juste une réaction naturel de son corps...Rien d'autre.

Il me regardât longtemps

-Tu n’as donc jamais tombé amoureuse?

-Harry merde quoi !tu me connais mieux que ça!

-Répond à ma question pour une fois! Répond à mes putains de questions aux lieux de passé par 50 chemins à la fois, me suppliât-il

-Non...

-Mais pour tant t'as embrassé Davis, me rappela-t-il

Je soupiras et arquas un sourcil

-Ce qui ne veux pas forcément dire que je l'aime...tu sais Harry, je pourrais très bien embrasser Jackson et ça ne seras pas pour autant que je l'aime. Pausé ses lèvres sur d'autres n'est qu'un simple contact humain et ressentir ces si magnifiques papillons, dis-je en touchant son papillon du bout de mes doigts, ne m'as jamais était permis…continuais je

Il prit ma main dans la sienne et me la caressas de son pouce pour au finale y poser un baisé

-Tu me manque, me chuchota-t-il

J'en restas le souffle coupé, je ne savais pas quoi lui dire ou même quoi faire, je fis rapidement glissé ma main de la sienne et m'éloignas d'Harry voyant notre trop fine proximité.

-Je...Harry, je suis fatiguais...dis-je, tu ferais mieux de les rejoindre, je sais que tu n'es pas malade Harry…soupirais je en me sortant de cette situation très gênante"

Il me pausa un baisé sur la joue, reboutonnas sa chemise et mis une veste pour ensuite sortir après avoir mis ses chaussures.

A sa sortie de la pièce j'étais déboussolé, je ne savais pas si il me manqué. Je ne savais plus rien et plu quoi pensé. Je me levas et fis mes valises pausant au bout de mon lit les affaires que je porterais demain. A la fin de ce petit rangement je rentras dans mon lit montant ma couverture jusqu'à ma taille et rouvris son livre.

Le passage plus extraordinaire que dure de sa vie défilé sous mes yeux, chacun de ses sentiments à chaque moments de sa vie m'étaient décrie et détaillais .j'avais littéralement dévoré son livre mais la fatigue l'emportas. Et je finissais  ma soirée sur une phrase de Woody Allen écrite à la dernière page que j'ai lu du livre d'Harry

"La seule façon d'être heureux et d'aimer suffire"

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Mes yeux s'ouvrir avec douceur au contacté d'une grand et masculine  main qui me caressé avec gentillesse et douceur ma joue. Je remarquas comme la dernière foie les boucles marrons de mon colocataire.