T1: thirteen

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-mw: tu te rebelles déjà maintenant ?? demanda t-il en me regardant un sourcil légèrement arqué.

Je baisse mes yeux, comme d'habitude.
J'avais envie de pleurer en vrai. Mon Dieu je demande rien, je veux juste rentrer à la maison.

-moi: je veux rentrer à la maison. dis je doucement.

-mw: quoi?? Parle fort j'entends rien du tout. À peine cinq seconde je t'ai entendu hurler, n'est ce pas? en me fixant.

mon oncle n'était pas obligé de me laisser avec lui, il savait ses intentions mais il m'a quand même laissé, d'habitude quand il arrive à la maison et que suis pas là, il m'appelle pour savoir où je suis.

Hélas il s'en fou maintenant puis qu'il m'a même demandé de pas faire ma tête dure et ma tante m'avait indirectement avouée que j'ai été vendu. Ils ont tous conspirés derrière mon dos dans cette histoire.

Mais qui a demandé mon avis à moi dans cette histoire?

Je suis comme une chose juste parce que j'ai personne, juste parce que ceux qui m'ont autrefois aidés m'obligent à les remboursés presque au prix de ma vie.

Mon Dieu, c'est toi le père des orphelins, s'il te plaît trouve moi une issue dans cette histoire je t'en prie, je suis fatigué d'être traité ainsi...

Je sors de mes pensées par la voix de markwins.

-mw: c'est bon. Tu vas bouger où on reste encore planté là pendant longtemps? demande t'il un sourcil relevé.

Je retire mon sac qui était dans sa voiture et je le suis juste derrière sans rien dire.

Attend mais c'est la maison de la fête du nouvel an, où il y'avait un jeune... Mais je comprends. Le jeune homme qui me regardait ce jour là sans vouloir que je le regarde bien, c'était markwins. bien-sûr que c'était lui.

Mais pourquoi?

-homme: bonsoir monsieur markwins, bonsoir mademoiselle!

-mw: bonsoir!

-moi: bonsoir monsieur! en le souriant.

On passe et le reste du trajet je le suivais sans brancher, une véritable marionnette.

Après une longue marche, où je jouais la touriste intérieure, markwins frappe enfin devant une porte gigantesque et en regardant bien, toutes les portes se ressemblent dans ce long couloir.

Et dire qu'il existe des sans abris quelque part dans ce monde.

Il ouvre et entre, sans attendre qu'on le demande d'y accéder.
J'étais immobile là, je ne savais pas que faire surtout ni où on était, dans la chambre de qui je m'appretais à entrer?

-mw: c'est bon, entre on ne va pas te tuer, c'est quoi? en ouvrant grandement la porte. t'as cru c'est un l'abattoir humaine ici?

Et c'est une voix qui m'a défendu face à ce markwins là, c'était la voix de madame Anne.

-m.A: eh ooh markwins c'est quoi? laisse ma belle fille tranquille, vient ma chérie entre, c'est moi. résonna la voix de madame Anne.

CHRÉTIENNE MARIÉE DE FORCEWhere stories live. Discover now