CHRÉTIENNE MARIÉE DE FORCE

T1: thirty five.

▶▶▶ MARKWINS.

Je me réveille et regarde vers elle. Elle n'est pas là!

Je regarde automatiquement autour de moi et je la vois assise sur le fauteuil habillé d'un jean noir avec un gros pull rouge bordeaux et des chaussettes entrain de manipuler son téléphone. C'est tout?

Elle ne m'avait même pas remarqué, et gardait sa tête sur son écran, bien!

Je me dirige tout droit dans la salle de bain sans faire attention à elle, de toute façon elle est trop occupé avec son téléphone et j'ai pas envie de me prendre sa tête d'hypocrite du bon matin.

Dire que je vais subir ça encore longtemps, je me plains, putain!

-elle: bonjour! dit elle d'une voix à peine audible.

C'est quoi cette voix? pensais je en la regardant pas plus d'une seconde. c'est sûrement dû au froid et tant mieux.

-moi: hum!... je trace ma route sans chercher à savoir plus.

Je prends vite une douche, m'apprête pour le travail et pour rien changer de mon style habituel, je mets un costume mais de couleur bleu-nuit.

Je ressors du dressing et elle n'était plus là où je l'avais laissé, elle n'est plus dans la chambre et tant mieux!

Je sors de la chambre et me dirige vers les marches où je croise mon père sur le point de monter mais en me voyant il s'arrête et attend que j'arrive jusqu'à son niveau.

-moi: bonjour! lançais je en arrivant à sa hauteur.

-papa: bonjour mon fils, ça va? Où vas tu ce matin? en me regardant avec un sourcil relevé.

Il rigole ou il est sérieux?
Je fixe ses traits et il a l'air sérieux dans ce qu'il demande.

-moi: bien. Je vais au travail c'est pas assez voyant? demandais je en m'arrêtant à côté de lui.

-p: à l'occasion de ton mariage comme tous les autres, tu as droit à une semaine de congé et pour toi je ferais une exception tu auras droit à trois semaines. balança t'il l'air tout à fait normal.

J'étais entrain de rougir de colère là, je le regarde droit dans les yeux, il a pas le droit de se mêler de ma vie de la sorte.

-moi: j'ai pas besoin de congé, je veux travailler!

-p: dans ce cas je te l'impose ces congés, tu resteras avec ta femme et c'est tout! dit il en me tournant le dos.