T1: nineteen

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-moi: que j'aille au diable? sans effet, j'irai au Jésus... Mais il y'a beaucoup de filles qui t'aiment bien et qui sont prêtes à te dire oui devant tout le monde alors pourquoi, pourquoi moi? murmurais je en l'approchant. Tu m'aimes pas c'est une évidence! Alors pourquoi on en est là?

-mw: rire, où t'as vu que beaucoup de femmes étaient prêtes à devenir mon épouse? toujours dos à moi.

-moi: mais tu vois pas toutes ses filles qui rôdent autours de toi, elles t'aiment...

-mw: je t'arrête tout de suite elles m'aiment pas avec la pensée de devenir mon épouse mais juste pour passer du temps, pour mon argent et pour ma réputation. Alors que toi je te contrôle. Après tout je ne vois pas une famille aussi bête que ton oncle et ta tante pour me donner leur fille en mariage avec les conditions que j'avais faite. en me regardant du coin de l'œil.

Je le regardais avec l'envie de le sauter au cou, mais que Dieu me pardonne je ne pécherai pas à cause de lui. Et puis de quelle condition parle t'il?

-moi: très bien alors, je veux rentrer chez moi.

-mw: rentre donc, qui t'en empêche? en me regardant énervé.

Attendez, il est sérieux ce frère de me dire: rentre donc... Alors que je ne sais même pas où nous sommes, c'est lui qui m'a emmené ici... c'est lui qui devait me ramener chez moi, enfin.

-moi: markwins s'il te plaît, arrête ça. Je veux rentrer je te dis.

-mw: c'est bon, tu peux rentrer je t'ai dit. est ce que je tiens tes pieds.... dit il énervé.

Entre nous, pourquoi il s'énerve même?

-mw: tu vois bien que j'ai deux pneus creusés, alors qu'est-ce que tu veux ? Rentre donc chez toi, qu'est ce qui te retient? termina t'il encore plus énervé.

-moi: ok.

Je récupère ma pochette, me dirige tout droit et je pensais même qu'il allait me retenir mais non, tant mieux alors.

Ça ne fait même pas quinze minutes que je marche mais je suis fatigué, avec ses talons ça n'arrange pas non plus les choses.

Je m'abaisse donc pour les enlever afin de continuer ma route vers une destination inconnue, je priais juste Dieu de me garder jusqu'à ce que je trouve un taxi ou je ne sais pas.

Je continue à marcher quand d'un coup je sens une main sur ma bouche et une autre sur ma taille, je me sentais reculer je bougeais mes pieds dans tous les sens, je criais... non pas crier, je fredonnais mes cries et j'avais le coeur qui battait très fort à en rompre la cage thoracique.

Mon Dieu s'il te plaît, s'il te plaît me laisse pas finir comme ça, pensais je les larmes aux yeux.

On m'a fait reculer jusqu'à ce que l'on soit entre deux murs des vieilles bâtiments, tellement la personne serait ma taille.... On était coincé expressément entre deux murs.

CHRÉTIENNE MARIÉE DE FORCEWhere stories live. Discover now