Mafia II ITERMINEI

Chapitre 68

Le temps était particulièrement moche aujourd'hui. Rien n'aurait pu me faire me lever du lit dans lequel Jisung tenait mon corps près du sien dans une étreinte chaleureuse et envoutante. Rien d'important. Rien, pas même mon ventre qui gargouillait depuis dis bonnes minutes déjà. 

Jisung: Si on continu on va passer toute notre journée de congé allongé dans ton lit à ce regarder comme deux abrutis. 

T/p: Alors déjà tu te traite d'abruti si tu veux mais ne me met pas dans le même panier je te pris. Et en suite, il y a rien de mieux que de passé un jour de congé dans son lit. 

Jisung remit en place une mèche de cheveux qui venait se rebeller contre mon visage et il glissa un tendre baiser sur mon front. Un autre gargouillis m'échappa et il se leva en poussant la couette qui nous protégeait des monstres. 

Jisung: En attendant ton ventre parle plus que toi quand tu as tes règles alors allons mangé avant que tu brailles que je cite tu as "Faim et que tu pourrais te faire tout ce qui bouge même la table basse". 

Je grogna alors qu'il pouffa en enfilant un caleçon. 

T/p: Minho en à des plus grosses. 

Jisung se retourna intrigué. 

Jisung: De quoi ? 

T/p: On va mangé ? 

Je sauta du lit tout en oubliant pas de mettre une petite claque sur le postérieure de monsieur et partie m'habiller. Le simple t-shirt de l'autre ronchon ne me tenait pas très chaud et l'hiver qui commençait à s'installer tranquillement ne réchauffait pas mon petit appartement. Jisung habitait quasiment à plein temps chez moi. Rare était les fois où nous allions au district 9 pour dormir. Les garçons passaient quelques fois et Lee Know ne manquait pas de se plaindre du manque d'ascenseur. Les autres avaient envahie mon chez moi comme si tout était normale. J'avais du tout récupérer et menacé de le jeter au feu pour qu'ils daignent reprendre leur bordel. Le seul qui était venu qu'une seule fois c'était Hyunjin. Depuis que Jisung dormais à la maison, il n'était pas vraiment dans les parages. A vrai dire, la dernière fois que je l'avais vu remontait à longtemps déjà. Je ne savais pas si c'était notre couple ou ses blessures qui le retenait autant mais depuis ma véritable insertion dans la Mafia il n'avait pas remontré sa gueule d'ange chez moi. Nous avions discuté des lettres mais ce fût tout. 

Jisung: T/p t'attend le déluge ou tu bouge ton cul ? 

Je redescendit sur terre et redescendit en bas par la même occasion. Le repas déjà chaud, on se mire à manger dans un calme et une sérénité propre à notre couple. 

Mon téléphone sonna. Loin et probablement perdu quelque part, je n'avait pas décroché. Non pas que l'envie me manquait mais Jisung m'avait fait promettre de passer un véritable congé pour récupérer suite à la clôture de l'attaque et du Cartel. Il avait raison j'en avais besoin. Il avait même insisté pour que j'ai ce jour de congé.  

T/p: Tu es sûr que je devrais pas répondre ? Ca fait quand même trois fois qu'il sonne. 

Jisung: Je vais aller voir. Mais si tu bouge d'un millimètre, je m'assure que tu ne puisse plus bouger demain matin.

Il me fit un sourire en coin et je le frappa, gênée. Il monta tout en continuant de se foutre de moi. Depuis le début nous n'avions jamais arrêté de nous montrer notre amour par des piques et de l'humour vache. Jisung n'était pas vraiment ce qu'on pouvait qualifier de démonstratif bien qu'il soit d'une jalousie à toutes épreuves. Et moi je jonglais entre ses sauts d'humeur amoureux et ses excursions de plusieurs jours en dehors de la ville.