Après avoir recommencé sa vie, T/p se rend compte que quelque chose cloche.
Elle commence à recevoir de mystérieuses lettres.
L'impression d'être suivi et observer tous les soirs quand elle rentre chez elle, les infos qui commence à parler de mafie...
La soirée a continué dans la suite des événements. Certaines personnes sont venues me voir, j'ai apparemment beaucoup de succès avec cette tenue. Même des gens très âgés sont venus me complimenter ! Je suis plutôt fière de moi, au final je ne dois pas faire grand-chose, juste sourire et faire une bonne pub pour nous.
Hwasa : Tu fais du très bon travail. Je regrette presque d'avoir perdu une aussi bonne amie...
Je me retourne vers la voix que je reconnais entre mille et un grand sourire m'accueille. Hwasa se tient juste devant moi, elle est resplendissante. Sa tenue est toujours classe et elle représente bien la femme que j'ai connue. Elle a à son oreille une oreillette plus ou moins discrète qui doit probablement être reliée à un micro. C'est la seule femme en costume, mais il lui va comme un gant et même si elle ne porte pas de robe, elle resplendit de sa personne et de la couleur qui l'a fait sortir du lot.
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T/P : Si j'avais crue te revoir un jour !
Elle me sourit et vient me prendre dans ses bras. En me relâchant elle me frappe légèrement le crâne.
Hwasa : Ça, c'est pour ne pas m'avoir prévenu !
Elle me frappe à nouveau mais toujours faiblement pour ne pas me blesser. Je remarque aussi qu'elle fixe ma joue blessé récemment à cause de ma petite entrevue avec Hyunjin. Je n'ai pas de doute à avoir, j'ai couvert le bleu avec du fond de teint. J'ai mis trois couche et ça ne se remarque même pas. Elle change vite son regard de place après un froissage de sourcil.
Hwasa : Et ça, c'est pour nous avoir laissez tous seul.
Ses yeux ont un léger voile de colère mais ils passent tout de suite à apaisés quand elle comprend que je suis bel est bien devant elle.
T/P : Désolé...
Elle croise les bras.
Hwasa : Oh ce n'est pas à moi que tu dois t'excusez ! Mais à tous ceux qui sont venus te chercher les bras grands ouverts alors que toi tu les à quitter les mains dans le dos.
Oui je suis parti comme une voleuse c'est vrai... Mais je n'avais pas d'autre choix ! J'étais tétanisée à l'idée d'intégrer la mafia... J'avais peur de perdre les garçons et de devoir vivre loin d'eux.
Hwasa : Je sais ce que c'est d'être perdue. Crois-moi... Mais il ne faut pas que tu te renferme. Le meilleur moyen d'affronter ses craintes c'est d'avoir peur avec les autres. Regarde-moi, je suis la femme du dirigent de la mafia, j'ai un enfant et un chien qui doit faire la taille de mon canapé maintenant ! Et pourtant, je suis heureuse d'avoir fait les choix que j'ai fait, d'en avoir au préalable parler avec toi, de t'avoir confié mes peurs. Maintenant je vis la vie que je rêvais il y a de cela quelques années.
