Après avoir recommencé sa vie, T/p se rend compte que quelque chose cloche.
Elle commence à recevoir de mystérieuses lettres.
L'impression d'être suivi et observer tous les soirs quand elle rentre chez elle, les infos qui commence à parler de mafie...
Chan vient devant la voiture et ouvre la portière arrière. Il me regarde et me fait un grand signe de main comme pour me dire, après vous.
T/P : Je crois que je vais plutôt choisir l'autre.
Je pars vers la mini et ouvre la porte du passager avant alors que Chan ouvre grand la bouche choqué de mon choix tandis que Changbin s'élance en sautant vers moi.
Changbin : C'est parti !
Tout le monde sourit à sa réaction et ils finissent tous par bouger. Chan, Lee Know, Jisung et Felix montent dans la belle voiture noir. Moi, Changbin, Seungmin et Hyunjin nous montons dans la mini prêt à tout casser. Quand je pose mes fesses dans cette petite merveille, l'odeur qui remplit me narines me rend presque nostalgique, une odeur masculine mélanger à une odeur de cuir vieilli. Seungmin démarre et nous voilà parti vers je ne sais où.
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Je commence à reconnaître les grands buildings qui m'entoure et ces rangés de belle voitures, toutes les plus noires possible. Je me demande si elles sont toutes hors de prix. Elles sont probablement à de riches entrepreneurs qui passent leurs vie dans un bureau sans même profiter de leurs bijoux à quatre roues.
Seungmin : Si tu voulais tant la voiture noir fallait aller avec les autres tu sais.
Je tourne mon regard vers lui alors que je comprends qu'il m'a vu zieuté les voitures pendant qu'il conduisais. Mes yeux se reportent sur les lignes de cuirasse parqué le long du trottoir.
T/P : J'aime juste beaucoup la couleur...
Seungmin : Le noir n'est pas une couleur tu sais ?
T/P : Ça le rend plus unique. Il n'y a rien de plus neutre que le noir, de plus fort, de plus profond que la pupille d'un humain qui te fixe dans les yeux.
Hyunjin : Tu fais la philosophe T/P ?
T/P : Non mais ça me paraît si évident, surtout en ce moment, le noir n'est pas associé à la peur ou à la mort, c'est eux qui se sont associer à lui. Si un jour tu apprends toute ta vie que le rose c'est la tristesse et le noir le bonheur, les bisounours serait-il alors un film d'horreur ?
Seungmin : C'est très beau ce que tu dis.
Hyunjin : Ouep. Moi je dis T/P présente toi au futur élections !
Je pouffe alors que je comprends pourquoi l'endroit me semble familier. La voiture s'arrête devant un immense immeuble que je connais que trop bien.
T/P : Le centre.
Changbin : Désolé de t'amener là mais on doit aller chercher certaines petites choses et donner un coup de main pour transporter quelque chose.
Certaines petites choses, transporter quelque chose, ils ne veulent pas me dire quoi je le sens.
T/P : C'est pas grave, après tout j'aurais dû me douter que j'allais revoir tout le monde, pas vrai ?
Seungmin se gratte la nuque alors que je les sens tendu.
Changbin : Je suis sûr que tout le monde sera ravi de te revoir... Et puis si jamais ce n'est pas le cas, on est tous là pour toi, on sera jamais loin.
Oui, je le sais, mais j'ai beau le savoir, une part de moi est complètement effrayé à l'idée de devoir affronté tous ceux que j'ai laissé derrière moi. J'ai peur de la vérité, et la vérité c'est que je les aient abandonné.
T/P : Tout le monde est au centre ?
Hyunjin : Oui pour la plus grande majorité, les autres sont déjà à l'endroit prévu pour régler les dernières choses à voir.
Ils descendent tous de la voiture alors que je vois la voiture noir garé devant nous ouvrir ses portières et laisser les autres garçons sortir eux aussi. Je fais donc de même et sort de la voiture en faisant attention à ne pas marcher sur ma robe. Je trottine pour rattraper mes hommes qui arrivent en bande devant la grande porte vitré. Tous sur leurs 31, je me sens toute petite à côté.
Quand je passe les portes, pleins de sentiments me traverses, j'ai l'impression de ne pas être à ma place chaque regarde que je pose me montre un homme ou une femme très bien habillé et entrain de discuté avec ses collègues. On ne dirait presque pas qu'ils sont tous de la même mafia.
Quand je tourne la tête vers un groupe d'homme qui discute a côté du mur. Ceux de dos me sont inconnu mais je reconnais largement celui qui me fait face appuyé contre le mur.
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Je le fixe le plus discrètement possible alors que je suis en panique totale. Il rigole à quelques mots de l'homme en face de lui et je me rend compte que je le fixe depuis bien trop longtemps pour être normale.
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Je tourne la tête et regarde enfin en face de moi. Mais alors que je m'attend à voir le sol en carrelage et le hall dans toute sa longueur, je ne vois que du noir et du blanc. Et je réagis trop tard. Je me prend donc gracieusement ce qui me semble être le smoking d'un homme en pleine face.
Encore une fois.
------- Fin du chapitre 21-----
J'espère que ça vous à plus !
Je suis encore est toujours en retard mais que voulez-vous... On ne change pas une équipe qui gagne.
Je vois que vous êtes de plus en plus à lire ce tome II, je suis trop heureuse de vos retours ! Merci beaucoup.
