Chapitre 69

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Le coup de fil nous ramena directement à la réalité. Chan avait entendu la conversation comme si il y avait participé tellement Leeteuk avait crié fort dans le combiné. Ses mouvement avaient été machinaux mais très rapides. Il avait prit ses clés de voiture, son manteau, enfilé ses chaussures et juste avant de s'élancer dans l'embrasure de ma porte d'entrée, il c'était retourné. 

Chan: Met tes chaussures et prends de quoi te couvrir sa caille dehors. Je t'emmène. 

Pas plus, pas moins. Ses mots pour le moins simple avait débloquer mon esprit qui avait comparé tout ses mouvement à ceux qu'avait fait exactement pareil Jisung en partant. Je prit ce dont il m'avait conseillé et enfila une pair de converses trop grandes pour moi qui trainaient sur le tapis. On parti en quatrième vitesse et la voiture nous tendit les bras face au froid polaire qui habitait la ville depuis ce matin. 

Chan: Qu'est ce qu'il ta dit exactement ? 

Me dit-il en démarrant son bolide noir. Il passa une main dans ses cheveux quand je fronça le nez, étouffé par l'odeur de cigarette qui régnait dans l'habitacle. Je n'en dit rien mais les doutes qui avaient traversé mon esprit avait maintenant lieu d'exister. 

T/p: Une merde au Centre, il veut le plus de monde possible. 

Chan passa la troisième sur une voie à sens unique et failli renverser un bac remplit de fleures sur le bord de la route. Mes mains s'agrippèrent au siège et il attrapa de sa main droite un téléphone qui trainait dans un trou prévu à cet effet sur le tableau de bord. Une carte comme une sorte de maps apparue avec de nombreux point rouge qui bougeaient plus ou moins sur les routes alentours. Il tourna à gauche d'un coup et un homme en costard noir nous fit de grands gestes. Le blond à mes côtés s'arrêta à peine deux secondes pour laisser l'inconnu monter et la voiture reparti de plus bel. 

????: Vous n'avez pas encore prit d'autres personnes ?! 

Le type braillait à n'en plus pouvoir sur l'incapacité de Chan à conduire plus vite. Tandis qu'il ne semblait toujours pas vouloir s'attacher, la sonneries incessante et insupportable commençait légèrement à me faire vriller les tympans. 

T/p: Dis donc princesse, tu la boucle et tu fais de même pour ta ceinture d'accord. 

Sa tête me disait vaguement quelque chose mais je n'arrivait pas à le remettre. Ses lèvres s'étirèrent laissant apparaitre des dents taillées, impeccables et parfaitement blanches. Il ressemblait à un requin salement amoché dans le cou et sur les mains. Son corps était parsemé de tatouages en tout genre. Mais le plus singulier était probablement le double smiley sur son poignet qui changeait d'émotion selon la position de sa main. Il me fixa longuement à travers le rétroviseur intérieur avant de détourner le regard quand il compris que je ne me laisserais pas intimider. 

Le conducteur fou s'arrêta une nouvelle fois dans une ruelle et récupéra un autre homme. Cet fois-ci je reconnu immédiatement le regard insupportable et hautain qui se dégagea du visage pâle qui s'assit à l'arrière. Il était que très peu vêtu et l'air satisfais et confiant qu'il dégageait m'insupportait encore plus que le bruit de la ceinture de sécurité. 

JK: I.M ? Que nous vaut l'honneur d'avoir ta sale gueule à l'arrière de la voiture du bon vieux Bangchan. 

Il posa un bras sur l'appuie tête du milieu et prit un malin plaisir à me dévisager en passant sa langue sur ses lèvres quand il vu que je matais ses abdos. 

 

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Mafia II ITERMINEIWhere stories live. Discover now