T/P Dragonneau - Harry Potter

Le retourneur de temps

Nous étions à l'infirmerie. Harry allongé dans un lit et Ron dans un autre.

Harry se réveilla sous les appels de moi et Hermione et la première chose qu'il nous dit en aillant ouvert les yeux fut :

- J'ai vu mon père.

- Quoi ? Lui demandais-je.

- Il a chassé les Détraqueurs. Il était sur l'autre rive du Lac.

- Écoute Harry, ils ont capturés Sirius. Il peut recevoir le baiser du Détraqueur à tout moment. Le préviens Hermione.

- Ils vont le tuer. Dit Harry en se levant précipitamment.

- Nan, pire que ça, ils vont aspirer son âme hors de son corps. Dis-je tristement.

Le professeur Dumbledore ouvrit les portes précédemment fermer de l'infirmerie.

Nous essayons de raisonner le professeur qui venait d'entrer dans la salle. Il nous dit qu'il nous croyait mais qu'il avait le regret de nous dire que la parole de quatre sorciers de treize ans ne convaincra personne d'autres, malheureusement.

- La parole d'un enfant aussi sincère soit-elle n'a aucun sens pour ceux qui ne savent plus écouter. Dis le professeur Dumbledore tapotant la jambe bandée de mon ami Ron qui avait mal. Le temps est une chose mystérieuse, puissante et quand on y touche, dangereuse. Sirius est dans la plus haute cellule de la tour noire, vous connaissez la loi Miss Granger, personne ne doit vous voir et vous ferez en sorte d'être de retour avant ce dernier carillon sinon les conséquences seraient si terrible que je n'en parlerais pas. Si vous réussissez ce soir, plus d'un innocent aura la vie sauve. Trois tours devraient suffire je pense. Dit le professeur Dumbledore avant de partir.

- Vous avez compris quelque-chose à ce charabia ? Demanda Ron.

- Désolé, mais comme tu ne peux pas marcher..., commença Hermione, avant de sortie un collier de sous ses vêtements. Elle le posa aussi autour de celui de Harry et du mien.

Harry voulu voir ce que c'était et essaya de toucher le collier d'Hermione mais ce fit reprendre par la brune en lui frappant la mains pour lui intimer de ne pas toucher.

Il me regarda perdu et je le regarda de la même façon.

Hermione tourne son collier et j'eu l'impression que le temps passa extrêmement vite et bizarrement, le soleil réapparu dans la salle.

Hermione repris son collier et la cacha.

- Qu'est ce qu'il s'est passer ? Demanda Harry.

- Où est Ron ?! Demandais-je à mon tour, paniquée. 

Mais Hermione ne nous répondit pas et nous demanda où nous étions à 19h30, je lui répondit qu'on allaient sûrement chez Hagrid, elle nous dit de la suivre et de faire attention à ce que personne ne nous vois.

Nous courrions à travers le château en suivant Hermione et malgré qu'on lui demande de nous expliquer ce qu'il ce passait elle ne nous répondit toujours pas.

Elle s'arrêta a la sortie du pont et la chose que je vois me glaça le sang. Je nous voyais nous. Nous entrain de parler avec Draco.

- Mais c'est nous. Dit Harry. Ce n'est pas normal. Renchérit-il.

- Non, vraiment pas. Dis-je a mon tour.

Hermione nous poussa contre le mur et ressortie son collier. Elle nous expliqua que c'était un retourneur de temps et que McGonagall lui avait donnée au premier trimestre pour qu'elle puisse suivre tous ses cours.

- Attends, quoi ?! On a remontés le temps ?! 

- Chut ! T/p, oui on a remontés le temps. Dumbledore nous a suggéré de revenir 3 heures en arrière, il y a dût se produire quelque chose qu'il veux qu'on change. Dit-elle en regardant de nouveau la scène.

-Joli coup de poing. Dit Harry.

- Ça a dû lui faire mal. Dis-je en faisant une mine comme si j'avais eu mal à sa place.

- Merci. Dit Hermione en souriant. Malfoy viens vers nous.

Alors, elle nous poussa une seconde fois mais plus loin cette fois pour qu'il ne puisse pas nous voir.

- Vous n'en parlez à personne c'est compris ! Cette sang-de-bourbe va me le payer, croyez moi ! Jura Draco.

Avec Hermione et Harry nous voyons nos "jumeaux" partir vers la cabane d'Hagrid, alors nous nous rapprochons de là où ils étaient.

- Regardez !, m'exclamais-je. 
- Buck est toujours vivant ! Dit Harry.

- Évidemment, vous vous rappelez de ce que Dumbledore a dit. Si nous réussissons, plus d'un innocent aura la vie sauve. Dit-elle en regardant Buck. Venez. Chuchota-elle.

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Nous avions réussi à sauvez Buck et maintenant nous attendions car tout ce passait à l'intérieur de la cabane hurlante. Harry parlait avec Hermione de Sirius mais moi je restait à l'écart avec Buck, je lui donnais à manger en le caressant un peu et je lui avais même fait des excuses pour Draco la dernière fois qu'il nous avait vue.

Avec Buck nous nous étions peut être un peu trop éloignés et quand je fût montée sur son dos — en lui demandant la permission — il se mit à galopper extrêmement vite comme s'il avait vu quelques chose d'anormal. Alors, je me tenais à lui pendant qu'il frappait quelqu'un -ou plutôt quelque chose- qu'il réussi à faire fuire.

- Harry, Hermione. Dis-je en les voyant apeurés près d'un arbre.

Tout d'un coup nous sentons comme un courant d'air anormal provenir du lac, Harry si précipita et il nous dit que son père aller arriver mais on lui dit que personne n'allait venir alors il savança et lança son sort.

- Expecto Patronom !

Et il fit fuir tout les détracteurs. Avant de ce précipiter vers Buck, car il nous restait encore quelqu'un à sauver. 

- Vous aviez raison les filles, ce n'était pas mon père que j'avais vue. C'était moi ! C'est moi que j'ai vu faisant apparaître le patronus, cette fois je savais que j'y arriverais parce que je l'avais déjà fait, vous voyez ce que je veux dire ?!, débita notre ami.

- Non ! Disons nous toute les deux en même temps.

- Mais je n'aime pas ça !!!! Cria Hermione quand Buck pris encore plus de vitesse.

Buck nous déposa sur la plus haute tour de Poudlard, là où était séquestrer Sirius.

- Monpanom ! Criais-je pour libérer Sirius.

Avant de tous remontrer sur le dos de Buck.
La créature nous déposa dans la cours de Poudlard, là où nous descendons tous.

- Je ne vous remercierais jamais assez. Nous dis Sirius.

Voulant leurs laisser de l'intimité, je partis m'occuper de Buck avec Hermione. Nous regardions Sirius partir a dos de l'aigle géant avant qu'on entende la sonnerie qui était le signal que nous devions rentrer.