T/P Dragonneau - Harry Potter

Le Patronus

Avec Draco nous avions descendu les marches du Manoir pour pouvoir rejoindre à l'heure que nous avait dit les inviter dans la grande salle.

Tout le monde, c'était tût en nous voyant. La mère de Draco m'avait présentée comme étant la petite amie de son fils. Je n'étais pas gênée, il ne fallait pas le montrer avec ces gens, surtout pas. Même Draco paraissait neutre. Devant ces gens, il fallait changer.

Durant cette soirée de Noël, il n'y avais, ni cadeau, ni sourire, ni bonheur, ni famille.

J'était seulement rester avec Draco et quand il le fallait, nous allions toujours tous les deux vers les inviter de ses parents.

–––

J'étais avec Harry et Ron quand Hermione arriva vers nous et nous annonça qu'Hagrid était de retour.

Alors, nous accourions pour aller le saluer. Mais Ombrage y était aussi et essayait de lui tirer les vers du nez et quand nous entendions le bonbon rose sortir nous nous cachions.

Hagrid nous dit qu'il était parti sous mission envoyée par Dumbledore pour aller négocier avec les géant et qu'il avait essayé de les rejoindre à notre cause, mais malheureusement il n'avait pas été le seul à le vouloir, les mangemort aussi. Mais je remarquai qu'Hagrid avait le visage tout égratigner.

- Il se passe des choses dehors. Comme la dernière fois, une tempête arrive, Harry. Il vaut mieux être prêt quand elle sera là. Nous dit-il en s'étant rapproché de la fenêtre.

---

La prison d'Askaban faisait la une des journaux, car une explosion avait eu lieu là-bas.

J'était attablée avec Neville quand il laissait le journal d'aujourd'hui. Il faisait une tête bizarre en le finissant.

- Neville, tu vas bien ?

- Je-je ne sais pas. Dit-il.

---

- Faites appel à votre souvenir le plus heureux que vous avez de tous les souvenirs ! Essaie encore. Seamus ! Nous enseigna Harry le sortilège du Patronus.

- Expacto Patronum. Chuchotais-je en me concentrant sur le souvenir de mon frère et ma sœur à chaque fois qu'ils me voient et de ma baguette sortie mon Patronus. Un loup.

- Fantastique, T/p ! Cria Harry.

Presque tout le monde dans la salle avait réussi même Ron. Mais tout d'un coup, les lumières commencèrent a bouger et des bruit de coup retentirent. Tout le monde, c'était tût jusqu'à ce que la classe se casse.

- Cela va être vite réglé. Entendons-nous une voix de l'autre côté d'un petit trouée. Bonbabdap Maxima. Et le mur qui avait été révélé se détruit en mille morceaux faisant apparaître : la grande inquisitrice ainsi que toute la brigade d'inquisitorial sauf Draco ce qui me valut un petit souffle de soulagement mais qui fût de courte durée quand je le vis apparaître avec Cho dans les bras. Elle nous avait trahis et tout le monde fut sous le choc.

–––

Rusard accrochait une nouvelle règle au mur :

⁠☞ Nº119. Dolorès Jane Ombrage remplace Albus Dumbledore.

Tous les tableaux avaient aussi été enlevés et remplacer par des mégaphones où le bonbon rose parlait en citant les règles de l'école.

–––

Dans la grange salle, des tables y étaient installées. On n'y faisait notre punition. La punition à la façon Ombrage avec des plumes ensorcelées. Pendant que j'écrivais sur ma feuille, ça apparaît aussi sur ma main, gravée : je ne dois pas désobéir aux règles. Quand je levais ma tête pour voir la grande inquisitrice, elle respirait de bonheur sur l'estrade assise sur le trône de Dumbledore.

Après avoir fini notre punition j'étais sortie la première de la grande salle et je vis Cho qui attendait dans le couloir, je l'a bouscula avant de partir vers ma salle commune.
Beaucoup de gens y étaient et discutaient et quand j'y entrais les regards se tournairent vers moi.

- Quoi vous voulez ma photo ?! Dis-je en colère et passant devant eux pour rejoindre ma chambre

- Tu peux sortir de la chambre je dois- Dis-je en me tournant face à la chambre pour pouvoir voir qui y était, mais aucune des filles y était seulement Draco.

- Draco. Sort. D'ici. Lui dis-je en trois mots.

- Non. On doit parler. Maintenant.

Après qu'Ombrage nous aient découvert dans la salle sur demande Draco et moi nous sommes juste lancer un regard avant que je l'évite.

- On a rien rien à se dire.

- Bien sûr que si ! Tu me trompes avec Potter ?

- Quoi ?! Tu rigoles là, j'espère.

- Non, tu passes tout ton temps avec lui. Dit-il dégoûté. Depuis Noël, je ne t'ai plus vue une seule fois.

- Tu aurais tout raconté à Ombrage. Dis-je en baissant les yeux. Je sais que tu ne l'aurais pas fait pour me faire du mal, à moi mais ton pire ennemie est aussi mon meilleur ami !

- T/p. Tu aurais dû me le dire ! Dit-il en se rapprochant de moi pour m'attirer dans ses bras.

–––

J'était avec mes deux amis Weasley, on consolait un petit Gryffondor qui avait reçu une punition d'Ombrage.

- Comment tu t'appelle ? Lui demandais-je de ma voix la plus douce.

- Mickaël. Me répondit-il en pleurant.

- Ta main va guérir. Dit Fred.

- Oui, ça n'a pas l'air aussi terrible que ça en a l'air. Dit George.

- Tu vois ? C'est en train de disparaître. Lui dis-je en montrant le mien.

- On ne voit presque plus les nôtres. Le rassure Fred.

- Et ça te fait plus mal au bout d'un moment. Continu George.

Pendant que nous le consolions, Harry c'était approcher de nous et un raclement de gorge attira notre attentions, voyant que c'était Ombrage, les jumeaux Weasley et moi, nous rapprochions de notre ami à lunette.

- Comme je vous l'ai déjà dit M. potter, les méchants enfants doivent être punis.

- Tu sais George, je me suis toujours dis que notre avenir ne dépendait pas de notre réussite scolaire.

- Fred, je me suis dit exactement la même chose.

- Les gars, vous avez un problème. Dis-je en mettant ma main sur mon front.

–––

Nous étions tous en train d'épaisseur nos B.U.S.E dans la grande salle.
Quand nous entendions un petit bruit venir du couloir on se retourna tous et Ombrage alla voir. Une espèce de petites de petite lumière brillante passa devant Ombrage avant de rentrer dans la grande salle et d'exploser en feu d'artifice.

- Wouaw. Chuchotais-je.

Et Fred et Gorge entrèrent la grande salle sur leurs balais volant en faisant jeter nos examens dans l'air et en faisant des feux d'artifice partout dans la grande salle. Tout le monde, c'était levé et criait de joie tout en encourageant les Weasley. Il y avait énormement de feu d'artifice et quelques-uns alla attaquer les gens de ma maison.

Je mis ma main en l'air et les deux garçons viennent taper dedans.

Tout d'un coup, Fred lança un feux d'artifice plus ensorcelé que les autres, car il se transforma en dragon qui poursuit l'inquisitrice dans la salle et quand ils la chassèrent de la salle, il se mit à exploser en faisant détruire toutes les règles qui étaient accrochées au mur.

Nous étions tous dehors rassembler sous le logo que les jumeaux avaient fait dans le ciel "W" .

Les jumeaux se faisaient applaudir et encourager par tout le monde.

–––

- Elle, elle est amie avec Potter. Dit Draco en me tendant dans ses mains en me ramenant dans le bureau d'Ombrage.

Harry, qui était assis sur une chaise devant Ombrage se faisait interrogé.

- Vous allez voir Dumbledore n'est ce pas.

- Nan.

- Menteur. Dit-elle en le giflant.

- Vous vouliez me voir. Demanda Rogue qui venait d'entrer.

- Rogue, oui, j'ai besoin d'obtenir des réponses qu'il me les donne de son plein gré ou pas. Avez-vous le Veritaserum.

- Je ne crains que vous aillez épuisée, mes réserves en interrogeant des élèves. Les dernières goûte, on était pour Miss. Chang.

J'avais regardé Harry qui nous regarde lui aussi. Cho ne nous avait pas vraiment trahis.

- À moins que vous souhaitiez l'empoisonner, et croyez moi que ce genre m'inspirerais la plus grande sympathie. Je ne peux rien pour vous.

Draco qui pointait sa baguette sur moi pour se donner de la crédibilité, je l'a lui fis enlever en la poussant et croisant les bras. Il me tenait quand même le bras, mais il n'y mettait pas de force. Quand il était venu me chercher, il m'avait dit, qu'il m'aimait, mais que je devais venir avec lui.

- Très bien, vous ne me laissez pas le choix Potter. S'agissant d'une question qui concerne la sécurité du ministère, je n'ai pas d'autre alternative. Le sortilège Coloris devrait vous délier la langue. Dit-elle complètement folle.

- C'est illégal. Lui dis-je.

- Ce que Cornélius, ignore, ne peut pas lui faire de tort.

Elle baissa la photo de Cornelius Fudges qui était sur son bureau, elle commença a pointer sa baguette, mais Hermione intervient en disant qu'elle allait lui montrer l'arme de Dumbledore.