T/P Dragonneau - Harry Potter

La Famille Dragonneau

Après la nuit que j'avais passée dans le manoir des Malfoy, je m'étais réveillée tôt pour pouvoir passer chez mes parents et aller chercher mes affaires.

Draco était réveillé avant moi et me caressait les cheveux et quand il me vit ouvrir les yeux, il m'a dit bonjour et s'est redresser. Et quand il me dit l'heure, je fis une tête surprise, il était : 9h.

- Oh nan. Je me leva précipitamment et alla dans la salle de bain pour me rhabiller de mes vêtements d'hier, laissant la porte ouverte.

- T/p ? Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Draco toujours dans son lit. 

- Je dois passer chez mes parents, sinon ils me tueront, et en plus je dois aller chercher mes affaires pour Poudlard.

Je ressortis de la salle de bain et quand je me brossai les cheveux Draco c'était rapproché de moi.

- Et bien, si tu es si presser, je peux venir avec toi. Me dit-il en me regardant à travers le miroir.

- Je n'ai pas parlé de toi à mes parents... Lui dis-je en baissant les yeux. Draco me pris la brosse des mains et me tourna pour que je lui fasse face.

- Pourquoi ? Demanda-t-il.

- Et, bien... Ils sont- différent. Dis-je en le regardant.

- Pourquoi sont-ils différents ? Essaya-t-il.

- Tu tiens vraiment à les voir ? Lui demandais-je.

- Bien sûr. Dit-il avec son grand sourire soûlant.

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Draco c'était préparer et quelques minutes plus tard nous étions devant ma maison.

- Très bien, Draco, tu dois retenir quelques petites choses. De un, on est à Gryffondor.

-Beurk. Dit-il.

- Deux, on est amis.

- Seulement. Dit-il en fait un sourire en coin.T

-Trois, tu parles que quand je te le dis et si j'ai de la chance, tu ne leur parleras même pas, terminais-je. 

Ses trois petites règles sont importantes. Je soufflai et ouvris la porte avant de me faire assommer par deux petites personnes.

- T/p !!!!

- Tu m'as manqué !!!

-Oui, à moi à aussi vous m'avez manqués. Dis-je en leur redonnant leurs câlins.

- T/p, que fais tu ici. Dit une personne qui venait d'arriver. Et qui est ce jeune homme.

- Maman, je te présente Draco, on est amis, lui aussi est à Gryffondor.

- Bonjour Madame. Draco lui tendit sa main, mais ma mère ne l'a serra pas.

- Que viens-tu faire ici ? Me demanda-t-elle.

- Je viens chercher mes affaires et je repars ne t'inquiète pas. Laurine, Khéo, je sais que je vous manque beaucoup, mais il va falloir me lâcher. Le leur demandais-je.

- Non !

- Sinon tu vas encore partir !

- Si vous ne me lâcher pas, je vais vous faire des chatouilles. Leurs dis-je avec un grand sourire avant qu'ils me lâche en courant partout dans la maison en criant qu'ils ne voulaient pas de chatouille.

- Draco, vient, on va juste prendre mes affaires et s'en aller.

Je montai les escaliers suivis de mon — ami — pour aller dans la chambre. La mienne ne ressemblait pas du tout à celle du blond. Les murs étaient blancs et éluminés par des guirlande en forme d'étoile. Une grande bibliothèque avec dedans quelques albums de K-pop et de Pop, mais aussi énormément de livres. Dont un que j'avais mis en évidence, celui de mon grand-père. Il y avait aussi un bureau contre le mur face à la fenêtre, mais il était beaucoup plus petit que celui de Draco et pour finir mon lit qui prenait tout le mur en face de ma bibliothèque et il y avait des étagères suspendues où était rangé tout mon linge.

- Et bien voilà, c'est ma chambre, elle n'est pas comme la tienne. Dis-je en me précipitant pour rassembler toutes mes affaires aux couleurs verte et argent que j'avais cachés.

Draco, c'était assis sur mon lit et s'amusait de me voir courrir dans tous les sens.

- Je crois, que j'ai tout. Cravate, cape, livre, gant, écharpe, pull, tee-shirt, bas, bonnet, gilet, élastique, plume et mes livres. C'est bon, j'ai tout ! Dis-je en prenant ma valise, mais Draco, c'était avancé vers moi pour me l'a prendre.

Je lui dis que je pouvais le faire, mais il avait insisté alors je lâchai l'affaire. Mais je remarquai quelque chose sur mon bureau avant de fermer la porte de ma chambre.
Il y avait un dessin. Un dessin d'enfant. Dessus, il y avais une famille. Un père, une mère, une fille, une autre fille un peu plus petite et un petit garçon. Je lâcha quelques larmes en voyant que sur le dessin, il y avait marqué une simple petite phrase.

Tu nous manques grande sœur.

Je pris le dessin avec moi et le plia pour le mettre dans ma poche.

Draco me regardais avec un sourire avant de se rapprocher de moi et de m'enlasser.

- On y va ?

- On y va. Lui répondis-je.

En descendant les escaliers, j'avais appelé ma petite sœur et mon petit frère qui se jetèrent à nouveau dans mes bras.

- Qu'est-ce que vous voulez que je vous rapporte de Poudlard cette fois-ci ? Leur demandais-je avec un grand sourire.

- Moi, j'aimerais bien que tu me rapportes un pull de Gryffondor s'il te plaît ! Me demanda mon frère.

- Très bien et toi Laurie ?

- J'aimerais une tonne de bonbons !!! Me demanda-t-elle.

- D'accord promis, je vous ramènerai tout ça.

Je me leva donc sans oublier de leurs faire un dernier câlin, mais avant que je parte, je vis quelqu'un sortir de son bureau.

- Papa.

- Fille.

Nous nous disions juste ça avant que je parte avec Draco.

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Cette année avec Draco, nous étions seuls dans un compartiment du Poudlard Express Draco avait presque menacer les autres de nous laisser durant la moitié du trajet. J'avais dans les mains le dessin que j'avais trouvé sur mon bureau et je lisais toujours cette phrase.

Tu nous manques grande sœur.

Draco et moi n'avions pas vraiment parlé de ma famille. Je la gardait secrète. Même à Harry, Hermione et Ron, je ne leur ai jamais rien dit sur moi. J'avais la tête poser sur l'épaule de Draco et sa main droite, elle, était posée sur ma hanche pour me faire des caresses, comme pour me rassurer. À chaque fois qu'un malheureux sorcier passait devant notre compartiment et avait le malheur de regarder dedans, il voyait le regard noir de Draco.

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J'étais tout le temps restée avec Draco toujours en regardant le dessin et elle, quand il s'en prenait à mes amis, je ne levais pas la tête pour m'excuser ou aller m'en prendre à Draco. Non j'était focalisé sur ce que j'avais entre les mains.