Partie 25

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PDV NAIM

Après l'arrestation de Rebecca, qui au passage avait réveillé ma fille avec ses cris, j'avais été contacté par Saoud et celui-ci m'avait informé qu'un homme avait été appréhendé à l'hôpital alors que celui-ci essayais d'injecter non pas de la drogue comme la dernière fois mais du poison. L'homme avait été conduit en prison et il sera jugé plus tard tout comme Rebecca. Le médecin aussi m'avait rapporté que Cassie avait certes eu un choc anaphylactique à cause des noix, mais ils avaient aussi trouver une quantité assez faible mais dangereuse de résidus d'une plantes très toxique l'homme était surement envoyé pour finir le travail. Dans le but de l'enquête, le téléphone de Rebecca avait été fouillé et le dernier appel qu'elle avait reçu était celui de Marah. Dans son répertoire il y avait aussi de nombreux messages et appels échangés avec mon oncle, celui-ci avait fait comme avant il avait utilisé des téléphones jetables, alors nous n'avons pas pu tracez sa position. Mais Marah, elle, avait passé l'appel depuis un hotel aux États-Unis et j'ai chargé un de mes hommes de garder un oeil sur elle afin de m'informer de chacun ses déplacements. Je n'avais pas encore décidé de quoi faire de la jeune femme qui était venue se dénoncé, d'un coté elle était coupable certes mais d'un autre je ne pourrais pas laisser son fils sans sa mère. Je crois que je pourrais me montrer flexible, mais nous j'attends toujours le réveil de Cassie pour me décidé.

Deux jours s'étaient écoulés depuis le départ de Cassie pour l'hôpital et son état ne s'était toujours pas amélioré. Elle avait pleuré au cours de la journée selon Selma ses yeux ne s'étaient pas ouvert et elle n'avait pas sangloter non plus, mais des larmes avaient coulés sur son visage. Et la meme chose s'était produite lorsque ma fille s'était remise à pleurer. Ce qui veut dire que si Soha pleure, Sa mère pleurera avec elle et que si elle reste calme sa mère le restera aussi.

Pour plus de sécurité nous avions décidés de la rapatrier au palais, Nheilane ainsi qu'un autre médecin s'occuperont d'elle. On pourra aussi évité que d'autre personnes ne rentres en contact avec elle n'importe comment et n'importe quand. Le transfert se ferait aujourd'hui, une chambre avait été préparé spécialement pour elle. Et nous attendions tous l'arrivée de Cassie de pied ferme, elle devrait arrivé dans quelques minutes avec Le médecin, Nheilane, Selma et Saoud. Ma fille était scotché dans mes bras comme elle le faisait si bien en ce moment et guettait l'arrivée de sa mère avec nous, en restant en silence cette fois, comme ci à force elle était fatiguée de pleurer. Finalement après environ une dizaine de minutes l'ambulance et les deux autres voitures noires qui était avec elle pour assurer sa protection franchirent les portes du palais dans le silence le plus grand des silence.

Selma descendit d'une des voitures suivit de Saoud, et alors que j'allais demander si entre temps il y avait eu une quelconque amélioration, le regard triste de Selma qui s'encra dans le mien répondit tout de suite à ma question silencieuse. Les ambulanciers descendirent et ouvrirent la porte de l'ambulance, Nheilane et le médecin sortirent d'abord et ils sortirent Cassie, son visage était resté figé comme la dernière fois que je l'avais vue et ils ne lui avaient toujours pas retiré le tube. Les ambulanciers, le médecin et Nheilane la conduirent à la chambre pour l'installer avant de redescendre. Etonnamment Soha n'avait pas pleuré, je dirais plus qu'elle était soulagée de revoir, mais toutefois un peu triste que sa mère ne puisse pas dans ses bras.

Les ambulanciers étaient partis et il ne restait plus que le médecin et Nheilane. Nous avions attribuez une chambre au médecin qui était plutôt jeune mais toutefois expérimenté selon les fiables recherches de mon conseiller. Soraya et Jannah étaient allés voir Cassie, puisqu'elle n'avait pas pu se rendre à l'hôpital ces derniers jours. Au cours de la semaine et à mon grand étonnement, les gardes se relayaient sans que je n'aie donné aucun ordre, devant de la jeune femme passant au peigne fin toute personnes voulant rentrer dans la chambre. Selon les dires de certains, elle était devenue une bonne amie du chef de la sécurité, parce qu'elle l'avait aidé à faire je ne plus quoi. Donc maintenant personne ne rentrait ou ne sortait de la pièce sans avoir le regard scrutateur des gardes braqué, sur lui. Le palais quant à lui semblait tout d'un coup être très silencieux, meme les animaux semblait avoir peur de faire du bruit.

UN BÉBÉ POUR LE ROIWhere stories live. Discover now