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Cassidy attend chaque été avec impatience pour retrouver son meilleur ami, la star du football français, Jules Koundé. Leurs familles se réunissent dans la villa italienne de la mère de Jules à Ischia. Cependant, cette a...
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-Cassidy : L'homme dans le couloir était Aaron, Jules.
Mon estomac se retourne et mon cœur se serre à l'entente des mots de ma meilleure amie. Elle semble si paniquée encore maintenant et tient fermement ma main dans la sienne, comme si je n'étais qu'un fantôme qui menaçait de disparaître d'une seconde à une autre.
Qu'est ce qu'Aaron ferait dans la maison ? L'alarme aurait sonné en temps normal. Est-il un psychopathe à ce point ? Je me mets à mon tour à paniquer, mais je refuse de le montrer à Cassidy, elle le serait encore plus.
-Jules : On va vérifier l'intégralité de la maison, tu veux ?
Elle hoche timidement la tête et lorsque je déverrouille sa porte, ses mains attrapent mon bras droit avec fermeté, ses longs ongles se plantant dans ma peau.
-Jules : Ça va aller Cassie, je suis là... je tente de la rassurer lorsque je sens ses ongles se planter plus profond dans ma chaire.
Je lui adresse un sourire encourageant, essayant de lui transmettre un peu de réconfort. Nous avançons tout les deux dans le long couloir mais je sens Cassidy contenir ses pas. Je la tire presque pour qu'elle puisse avancer à mon rythme.
Je décide d'ignorer cela, et continue d'avancer en fouillant chaque pièce, tandis que Cassidy se retourne un nombre incalculable de fois derrière elle pour vérifier si aucune présence n'est ici. J'ai beau fouillé toutes les pièces de la maison, rien ne me confirme ce que Cassidy m'a dit.
Il n'y a personne ici.
-Jules : Cassie, je ne remets pas ta parole en question, mais tu es sûr d'avoir vu quelqu'un, pas vrai ?
-Cassidy : Mais oui ! Il se tenait debout et me regardait ! Je t'en supplie Jules il faut qu'on refouille la maison encore une fois... sanglote-elle , prise de panique.
-Jules : J'ai bien regardé, il n'y a personne. Ça ne sert à rien de regarder à nouveau, je lâche en l'emmenant à l'étage vers sa chambre.
Je sens la détresse dans sa voix et la peur dans ses yeux, et malgré mes propres doutes, je ne peux pas ignorer sa demande désespérée. Nous retournons dans chaque pièce, scrutant chaque recoin, mais encore une fois, nous ne trouvons aucune trace d'Aaron.
Cassidy semble soulagée lorsque nous n'apercevons aucune présence suspecte dans la maison, mais une certaine tension persiste dans l'air. Je la guide doucement vers sa chambre, la rassurant du mieux que je peux alors qu'elle tente de se calmer.
