CHAPITRE 14

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~ Sabie ~

Ma mère avait encore fait  des siennes, mon père etait souffrant et elle en profitait pour voler nos biens familiale alors qu'elle ne voulait pas investir ne fusse qu'un centimes lorsque l'entreprise a fait faillite c'etait Adriano et moi qui avions tout remboursé enfin surtout Adriano.

On était là , on écoutaient toute ma famille se disputer l'heritage alors que mon père etait encore en vie. Comment vous expliquez que j'étais génée, horrifiée Adriano était juste a coté de moi...

- Et puis quoi encore vous ne croyez quand meme pas que je vais rester là à le regarder mourir sans reprendre mes biens.

Je reve m'a mère etait en train de m'humilier devant mon mari, mais c'etait quoi cette famille de dingue !

- Ce ne sont pas tes bien, donc arrette un peu tout ce cinema pour de l'argent ce que tu peux être... Ah tu me degoute...

- Toi parle bien à maman c'est pas parceque ta écarte tes petites jambes de salope  pour de l'argent que tout le monde doit faire pareil.Sans rancune Adriano mais ma soeur est trop stupide. S'eslafa Nelly

Elle était toute fière de sa petite replique minable. Nelly venait d'insunier que j'etais une... catin alors que elle... on sait tous qu'elle n'etait pas la sainte marie.

- Redis ça encore une fois et je te jure que...

- Tu vas faire quoi m'eclater la figure avec tes talons de petasses. Ah ha laisse moi rire.

Elle me sortait par les yeux , je voulais la defigurée mais Adriano me chuchotat:

- Ne fais pas attention, elle n'en vaut pas la peine.

Mon mari n'était  pas insensible au insuation de ma soeur, il etait contratrié,cependant il avait gardé son calme habituel.

- Bon, il faut que vous vous calmiez, ce n'est pas en s'insultant que cette histoire sera reglé. Grogna Adriano d'un ton autoritaire.

La tension etait palpable, on se regardait tous comme des chiens prets attaquer lorsque la porte s'ouvrit sur la Dalva.

- Il ne manquait plus que cette...

-Bonsoir,Nathalia moi aussi je suis ravie de te revoir.

-N'oublie pas que tu es  et tu restera une domestique même si tu ne vis plus chez moi.

- Dalva n'est pas une domestique, elle fait partie de la famille.

- Je me demande bien qui est assez stupide pour faire "ce choix" une pauvre reste une pauvre.

- Ne fais pas attention Dalva, mon père est dans sa chambre.

- Merci Sabie...

Dalva ne s'affirmait jamais pourtant j'aurais bien aimé qu'elle ferme un peu le clapper de ma mère.

- Bon j'ai pas votre temps je prends 70% de l'heritage et les 30 % pour David et Nelly.

-  vient, on doit parler.

- Enfin les choses serieuse peuvent commencer.

Adriano etait resteé au près de Nelly , je devais avoir une discution avec ma mère. Nous nous sommes eloigné près de la terrasse.

- C'est quoi ce cirque, tu te rends compte de ce que tu fais !!

- Oh tais toi , ce n'est pas parce que je t'ai trouve un homme riche que tu dois te croire superieur.

-Tu m'horipilles  à un point...

- Ne me fais pas ton serment je prends 70% .

- Tu ne vas rien prendre du tout.

- Laisse moi rire, tu tes pris pour qui ? Hors de ma vu !

- Je ne suis plus la meme petite fille que tu influençais tu ne vas rien prendre tu es déseherité.

- Attends c'est impossible , tu ne peux pas faire ça.

- Si je le peux , tu n'as pas voulut investir ni meme vendre tes fichues bijoux lorsque l'entreprise a fait faillite alors que moi j'ai mis tout mon argent de plus je te signale que c'est mon mari qui a remboursé nos dettes tu n'as plus aucun droit sur l'entreprise

- Ton pere a encore  tout les droit sur cette heritage et je suis sa femme. Je decide tout autant que lui stupide fille.

- "Stupide fille" je te retourne le compliment, il se trouve que papa ne gere pas les finances c'est a Adriano que revient le droit d'accepter ou de refuser ta requette et je suis desole de t'informer que ta requêtte est rejette.

Elle ne sy attendait pas mais Adriano ne faisait pas confiance a ma mère, c'est pourquoi il avait convaincue mon père de changer ses habitudes.

Adriano etait le financeur de notre restaurant mais il n'avait aucun droit c'etait juste une russe  mon père etait belle et bien le seule proprietaire.

Je savais que cette mise en scène allait fonctionner ma mère ne verifier jamais les information, elle fonçait tête baissé dans tout ce qu'elle faissait, c'est pourquoi je lui ai mentit.

- Tu me le paiera Sabie je te le promet.

- Ah j'oubliais , tu as cette nuit pour quitée la maison, j'ai parlé avec Papa, enfin papa a deja du te le dire il ne veut plus te voir .

J'etais en train de parlé mais j'ai encore eu cette foutue nausé, je me suis precipitée au toilette je n'ai meme pas pu savourer ma "victoire".

Lorsque je suis revenue, elle m'a regardé ensuite elle a tourné les talon en me souriant ... comme si elle venait de comprendre quelque chose.








La Fiancée Des OlivariòWhere stories live. Discover now