La Fiancée Des Olivariò

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~ Sabie ~

J'entendais des bruits cependant je n'arrivais pas à ouvrir les yeux, mes paupieres etaient lourdes.  Il y'avait des gens autours de moi, helas je ne pouvait les distinguer.

- Elle va bientôt se reveillée, elle a bougé ses doigts. Chuchota une petite voix.

- Tais tois, et admire cette beauté Julia.

- Mais t'es sure qu'elle n'est pas morte ?

- Ohh quelle horreur ne dit pas de betise, petite écervelée. Repliqua une voix  éffeminé.

- Elle est toute pâle la pauvre, tu penses qu'elle s'en remettra  Esteban ?

- Arrette de poser des questions tu es stupide ou quoi, tu vois bien qu'elle respire.

- Je sais mais je te demande par rapport au ... enfin Adriano comment il va reagir... il risque de perdre sa socie..

-  Non il ne peut pas perdre sa societe les papiers on deja ete signé... et arrette ce n'est pas le moment! Que tu es penible stupide enfant adopté.

- Oh c'etait juste une question. Toi tes un stupide homosexuelle....

- Toi tu es une stupide fille adopté...

Esteban et Julia on continuer de se disputer, je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient dire j'étais ailleurs, je me demandais ou est ce que je me trouvais, je voulais léve ma tete mais il y'avait quelque chose qui me retenait , je  fis du mieux que j'ai pu et j'ai enfin pu ouvrir les yeux.

Je distinguais une petite lueur bleu en face de moi puis un visage d'homme familié.

- Ohh mi amorrr , enfin tu ouvres les yeux oh merci seigneur , tu ne sais même pas ce que j'ai ressentit lorsque je t'ai vu ici... comment vas tu , tu veux manger , tu veux boire , qu'est ce qui te ferai plaisir mon amour ohh je suis tellement content . S'exclama Esteban  au bord  des larmes.

Je regardais autour de moi , je me suis rendu compte que j'étais à l'hopital , je me demandais ce que je faisais là.

- Qu'est ce m'est arriver ? Interogeais je du mieux que je pus.

- Salut  Sabie ! Je suis ravis que tu sois de retour parmis nous! Bon je te laisse Esteban  je vais aller prendre un café ! S'exclamant Julia en se précipitant  devant la porte de sortit.

- Oh la salope... Murmura mon meilleur ami.

- Este ... tu m'expliques.

Il tapotait ses ongles, en tournant ses petits yeux noisette de gauche à droite. Ce n'était pas bon signe , il essayait  de me cacher quelque chose ou il allait m'annoncer une mauvaise nouvelle.

- Tu sais les beignets de l'hopital sont delicieuse je vais aller en chercher tu en veux, elles sont vraiment super bonne, je suis sure tu en meurres d'envie , dit moi tu veux un muffin , un chocolat, un caffé , tu veux peut être sortir faire un tour ou je sais pas heu peut etre...

Il était stréssé, il evitait le sujet, Esteban etait certes un grand barvard mais cette fois ci il parlais beaucoup trop, il me cachait quelque chose.

- si tu veux je peux te ramener une glace  à l'Italienne comme tu les aimes et ...

-Esté !  Dit moi ce qui se passe...

Il me regardait, il était géné , je le supliais de me dire ce qui se passait. Il prit place sur la chaise en face de moi.

- Princesse, je ne penses pas que je sois la personne qui doit t'annoncer cette... nouvelle.

- Esteban sil te plait , il se passe quoi ? Je t'en prie... supliais je au bord des larmes.

J'imaginais déja le pire, Esteban regardait mon ventre, je ne sais pas exactement pourquoi  mais j'ai eu le reflexe de toucher mon ventre... À present tout etait plus clair ,  je me souvenais a peu pres de tout , quelqu'un m'avait pousé des escaliers je ne savais pas qui exactement mais ce soir la il y'avait belle et bien une personne qui m'avait pousée, mes souvenirs etait floue mais je me rapellais aussi avoir bu quelque chose qui m'avait fait saigner.

Et le bebe comment allait t'il j'ai survecu et le bébé alors avait t'il survecu ? Je l'esperais mais la  mine triste de mon ami ne me fit pas esperer davantages, j'ai commencer a sanglotter, j'etais presque sûre que mon petit bébé etait mort, le petit etre qui vivait en moi etait decedé.

- Je suis desolé princesse, il etait trop tard... m'expliqua t'il en me prenant dans ses bras et en m'embrassant le front.

Je me posait des questions... Adriano était t'il au courant, comment allait t'il reagir? Il tenait tellement a ce bébé, il allait forcement m'en vouloir et s'il demandait le divorce, comment vais je m'expliquer que quelqu'un m'avait pousser... Il fallait que j'en parle à Esté.

- Et Adriano... il est au courant que j'ai... le bébé. Interogeais je d'une voix à peine audible.

Je n'arrivais pas , je n'avais pas la force de prononcer le mot perd... je ne m'etais pas faite encore à l'idée que mon enfant etait mor... n'était plus là. C'était un cauchemard.

- Je pense que oui , mais ne t'inquiète pas ...

-Quelqu'un ma poussé des escaliers . Repliquais je en lui coupant la parole.

- Quoi ! ?

- Je te promets Esté , jetais dans ma chambre ensuite je me suis mise devant les Escaliers et quelqu'un m'a poussé.

- Mais tu faisait quoi devant les escaliers , tu etais pourtant dans ta chambre ? Bebe je crois que tu es fatiguée.

- Non ! Este je te le jure je m'en souviens,  apres avoir bu... mes vitamines j'ai une affreuse douleurs au bas ventre je saignais, j'ai entendu des bruits de pas et je me suis approchée des escalier en croyant que c'était Dalva c'est a ce moment la que quelqu'un m 'a poussée des escalier...

- Ce que tu dis es une dinguerie bébé,  et qui te voudrais du mal tu es si gentile.

- Je ne sais pas, je n'ai aucune idée.

- Il faut que tu porte plainte , c'est grave tu as faillit perdre la vie.

- Mais contre qui !

La porte s'ouvrit et c'etait l'infirmiere qui nous annonçait qu'il ya le reste de la famille voulaient me voir.

- corazion,  je reviens apres il faut que tu en parles a Adriano.  Me conseilla til en m'embrasssant.

La famille de Adriano ainsi que la mienne sont venue me rendre visite chacun leurs  tour même mon pere etait venue. Je me sentais moin seule, en plus il avait l'air d'aller mieux. Il etait deja dix  heure et toujours pas de Adriano. Je me sentais triste, devasté je m'en voulait enormement.

Adriano n'était pas à mon chevet j'etais seule, s'il ne voulait pas me voir comment allait t'il reagir lorsque je l'aurais expliquer que quelqu'un m'avait poussé. Il allait me prendre pour une folle. Il n'allait jamais me croire.

En attendant le moment decisif je devais me reposer, je me sentais fatiguée.