La Fiancée Des Olivariò

CHAPITRE 15

~Sabie ~

Ces dernièrs jours Adriano etait de bonne humeur, il était moins fatigué, il était plus souvent à la maison enfin une heure ou deux heures de plus la journée. J'étais satisfaite sur ce point, le seule petit bemol, enfin ce n'était pas vraiment un problème cependant cette histoire me genais.

Depuis quelque jours Danté, oui Danté Olivariò, mon ex, le frère de Adriano, venait de plus en plus à la maison, il venait rendre visite à mon mari "à propos du travail", il  dinnait même à la maison presque tous les soirs.

Il etait toujours très gentile,  respectueux, il était de plus en plus proche de Adriano je devais pourtant  être heureuse, ils avaient retrouvé une bonne entente, adolescent ils n'étaient pas étaient plutôt distant l'un envers l'autre. Les deux frères se disputaient souvent Danté reprochait à Adriano d'être égoïste et hautain.

Ce retournement de situation m'exasperait. Il y'avait quelque mois encore ils se disputaient, se battaient tel des hommes de cavernes et maintenant tout allait bien, je ne savais pas quoi penser, j'étais mefiante envers Danté.

La position dans lequel je me trouvais était assez...delicat chaque dinner je me retrouvais entre les deux hommes, j'étais perplexe et en même temps embarassée. de plus le premier jour que Danté etait venu dinner, il m'avait offert des fleurs ensuite il m'avait félicité   pour ma grossese.

On s'était regardé avec insistance puis il m'avait embrassé sur la joue devant Adriano je voyais bien que son regard n'avait aucune arrière penser cependant j'ai ressentit un malaise.

Cette nuit là j'ai fait part de mes doutes à Adriano, il m'avait juste repondu " ne penses plus à ça , il ne te veux aucun mal". Il m'avait embrassé puis il s'etait endormie. 

Adriano etait l'homme le plus méfiant que je connaissais, il etait toujours sur ses gardes. C'est pourquoi je devais l'écouter, il avait sans doute raison  il fallait que je me detente, de plus le stress n'était pas bon pour le bébé cependant mon intution me disait de rester sur mes gardes.

- Bébé tu as finis Danté arrive bientôt ?

- Oui je descend, repliquais je sans grande convictions.

Lorsque je suis descendu, Danté etait installé dans la salle de sejour, il degustait un vin rouge. Il me vit et il s'approcha pour m'aider a descendre les escaliers.

Je declina son aide poliment. Il ne fallait pas qu'il pense que je lui avait pardonné après tout ce qu'il m'avait fait, j'étais  devenue une fille très rancuniere.

On était assis en attendant Adriano qui n'était toujours pas descendu, le suplice je me suis mise à lire.

- Ta grossesse te va a ravir tu es radieuse.

- Merci.

-Tu es  a combien de mois maintenant ?

- Cela ne te regarde pas !

Je ne savais pas ce qui m'avait pris, je mettais emporté pourtant sa question n'avait aucune arrière penser, il fallait que je me detente.

- Excuse moi je ne voulais pas etre indiscret. Dit til d'un air géné.

- Je suis desolé, je suis à cinq semaines et toi?

- Et moi ? Je ne pense pas que ce soit possible s'esclafa t'il ?

Ce que je pouvais être sotte parfois, c'etait un garçon il ne pouvais pas être enceinte.

- En effet ce n'est pas possible.

On discutait de tout et de rien  normalement pendant quelque minutes lorsque:

- Je suis cintent que mon frère te rends heureux, la derniere fois tu m'avais avouer que tu nous aimais tout les deux je me demandais

Je savais ou il voulait en venir, je devais l'annoncer la verite.

- Oui il ya quelque mois je te l'ai dit mais mes sentiments ont évolué au fil du temps je peux t'assurer que j'aime Adriano.

- Ce qui veux dire que tu ne ressens plus rien pour moi notre histoire est terminé je peux enfin avancer, passer à autre chose ?

- Oui , j'aime ton frère et il n'yauras plus rien entre nous. Mis a part de l'amour fraternel .

- De l'amour fraterne, tu dis hum interressant ...

- oui...

La pièce etait silencieuse on ne parlait plus, l'athmosphère etait pessante a ce moment là, je priais juste pour que Adriano arrive très vite.

- Vous avez peut être pas faim mais moi je meure de faim on passe à table ? Proposa Adriano.

On s'est installés à table , nous dinames dans le silence enfin je dinnais dans le silence sauf Adriano et Danté qui bavardaient, s'esclafaient pour un rien.

De temps en temps je sentai le regarde de Danté sur moi,ce n'était pas un ressentit puisque juste après nos regard se sont croisées.

- Excusez moi je dois aller au toilette.

Le dinner venait juste de se terminer il s'absenta plus qu'il ne fallait, je ne sais pas pourquoi mais eu cette envie de monter voir ce qu'il faissait.

Lorsque je suis arrivée à l'étage, il n'était pas au toilette il rodait vers notre chambre.

- Qu'est ce que tu fais la, les toilettes c'est au fond du couloir ?

- Ah oui , je crois que j'ai un peu trop force sur le verre, merci je m'en vais yout de suite.

- D'accord on  t'attend en bas.

Je me suis precipitée dans la chambre pour voir si quelque chose avait bougé, je devenais parano tout etait en ordre, Danté etait devenu une obsessoin il fallait que j'arrêtte de faire une fixation sur lui. Je me suis rappellé de ce que mon mari m'avait dit "Il ne te veut aucun mal"

je suis descendu rejoindre Adriano sereinement, Danté etait deja avec lui.

- Tu ne prends pas tes medicament, il deja 21 heures passé ? Me fis remarqué Danté.

Mais comment... il savait que je prenais des medicaments à 21 heures.

- Comment tu sais qu'elle prends des vitamines le soirs ?

Adriano était aussi supiscieu que moi c'est vrai que je prenais des vitamines pour ma grossesse mais comment il savait, c'était etranges mes doutes se multipliaient.

- Enfin pourquoi vous me regardez comme sa ? Et d'ailleurs je ne savais pas que c'etait des vitamines, a chaque dinner elle prends des medicaments c'est pourquoi j'ai demande hey calmez vous.

- Tu as raison excuse nous,  je me suis emporté expliqua Adriano.

- Ce n'est rien, je fais juste attention à mon futur neuveu.  Repliqua Danté.

- Hum, merci de m'avoir rapellé, je vais prendre mes vitamines bonne soirée.

- Bonne soirée belle soeur.

J'ai pris mes vitamines et je me suis couchée, je les entendaient encore rire, le sommeil me pris et je me suis endormis.