Le meilleur ami de mon frère

Chapitre N°4

~PDV:ADRIEN~

Lilou ce fou de ma gueule en avançant vers moi.

Lilou-: Raccourcis tes rênes.

Je m'exécuta.

Lilou-: T'es prêt ?

Adrien-: Ouais.

Lilou-: Si ça va trop vite, tu mes tes épaules en arrière et tu tires sur les rênes.

Adrien-: Ouais, Ok, j'ai compris.

Elle  donna un gros coup sur les fesses du cheval avec son bâton mais il n'avança toujours pas.

Elle lui en donna un autre encore plus gros et cette fois-ci, il avança. Elle se mis à avancer et ce mis devant moi.

Lilou-: Tu me suis, tu restes toujours derrière moi et quand on est sur la route, tu vas sur le côté pour marcher dans l'herbe.

On continua à avancer dans une forêt jusqu'à ce que ce foutu cheval s'arrêta d'un coup .

Lilou, elle, ne s'en aperçu pas et continua d'avancer je l'appelai mais elle faisait comme-si elle ne m'entendait pas.

Le cheval se mit à manger l'herbe qui était à côté ce qui me fit lâcher le fil et me fit lâcher un juron.

Je commença à m'énerver tout seul sur le cheval puis je me pencha vers sa tête pour récupérer le fil je faillis tomber mais je réussi quand même à me rattraper, puis me redressa.

Adrien-: Putain elle va le regretter de m'avoir laisser tout seul!

Oui, je sais, je parle tout seul mais elle m'énerve et en plus elle sait très bien que je suis en galère c'est une vraie chieuse.

Je donna un coup de pied comme elle m'a demander de faire en partant mais ça ne fonctionna pas, au contraire, ce cheval de malheur baissa la tête d'un coup ce qui me fit mal aux mains.

Bon! Il faut que je trouve une autre solution!

Descendre du cheval? C'est mort il est trop haut.

Lui donner un coup de bâton? Bah non, je suis con, c'est elle qui l'a.

Bon tant pis je vais descendre même si je tombes. Ce qui n'as pas loupé, j'ai perdu l'équilibre et je suis tombé.

Je me releva énerver puis attrapa d'un coup sec le fil. Cette fois-ci, le cheval releva la tête. Je commença à avancer mais il ne suivi pas ce, qui m'énerva encore plus. Je tira vers moi d'un coup encore plus sec que tout a l'heure et cette fois, il me suivit.

Je continua d'avancer jusqu'à un croisement et la je tombe face a madame sur son cheval qui se retenait de rire en me voyant.

Mes mains était contractées, la jointure de mes doigts est devenue blanche et ma mâchoire se contracta.

Adrien-: Surveilles tes arrières, une vengeance est un plat qui se mange froid!

Elle descendit de son cheval.

Lilou-: On échange, ça t'évitera de me faire des menaces qui font absolument pas peur.

Je lui tendis le fil que j'avais dans mes mains puis elle ceux qu'elle avait dans les siennes. Oui bon je sais que je dit tout le temps le mot « fil » mais je sais plus comment ça s'appelle.

Lilou-:Aide-toi à monter avec ce rocher.

Elle me montra un rocher derrière moi puis je retourna le cheval pour qu'il soit dans le bon sens .

C'est bizarre, mais quand je suis énervé, il me suffît que je la vois pour me calmer. Je sais pas du tout ce qu'elle me fait. La preuve il y a peine dix minutes je voulais lui faire regretter qu'elle m'ai laissé tout seul mais maintenant j'ai envie de rire mais je ris intérieurement.

Je réussi du premier coup a monter sur le cheval puis je regarda Lilou qui elle aussi était montée.

Son cheval à elle est moins haut que celui que j'avais avant, et il a l'air plus gentil que l'autre.

Lilou-: Bon c'est bon, on peut y aller?

Adrien-: Ouais c'est bon.

Lilou-:Cette fois-ci, tu passes devant moi car j'avancerai moins vite avec Trois Pomme.

Elle me laissa passer puis je continua a avancer.

''''''''''

Au bout de deux heures de cheval je ne sens plus, ni mon cul ni mes jambes.

Nous arrivons vers le centre puis nous nous redirigeons vers l'espace d'herbe où nous sommes montés sur les chevaux il y a maintenant deux heures.

Une fois bien mis, Lilou me montra comment on fait pour descendre puis je refis ses gestes et cette fois-ci je ne tombe pas.

Lilou-: Bon, maintenant on retourne au box pour brosser les chevaux et leurs faire leurs pieds.

Une fois vers le box des chevaux, elle me mit dans les mains une brosse.

Lilou-:Maintenant tu brosses !

Encore une fois, je sais pas pourquoi mais je ne m'énerve pas. D'habitude quand on me donne un ordre je m'énerve, que ce soit ma famille ou mes amis je pète un câble mais avec elle, je sais pas pourquoi, mais là je ne suis absolument pas énervé, j'ai juste envi de la charrier.

Je lui pris donc ses poignets en la plaquant contre le mur puis mis ses mains au-dessus de sa tête en me collant littéralement à elle. Je la regarda méchamment dans les yeux avec un sourire en coin.

Lilou-: Tu crois que tu me fais peur ? Tu as voulu m'accompagner ici et monter maintenant tu assumes.

En la voyant s'énerver toute seule, je regarda ses yeux mais mon regard dévia sur ses lèvres et je ne pu le relever.

Elle me fait quoi putain? Pourquoi je réagis comme ça?

Je ne pu me retenir d'approcher son visage du mien. De plus en plus, je me rapprocha de ses lèvres jusqu'à les efflleurées. Je m'attendais à ce qu'elle me repousse mais elle ne fît rien, au contraire, elle approfondit le baisé.

Quand nos lèvres se  colle, je reçu une décharge dans tout mon corps et dans le bas de mon ventre, je ressenti comme des papillons qui s'envolait.

Bon oui je sais ça fait tapette (bien sur je n'ai rien contre ce type de personne )mais c'est exactement comme cela que je ressens ce baisé .Putain mais je fais quoi là? Elle me fait quoi? Pourquoi? Quand je l'embrasse je ressent ça alors qu'avec les autres mon corps ne réagi pas comme ça? Trop de questions se pose dans ma tête. Je me recula d'elle, de un car je manque d'air, et de deux car je ne  sais pas pourquoi je n'ai pas pu me retenir de l'embrassée et que trop de questions tournent dans ma tête.

Je me suis écarté de ses lèvres mais pas de sont corps de rêve et je compte bien en profiter encore un peu malgré que ce soit la petite sœur de mon meilleur pote que je considère comme un frère. Je la regarda dans les yeux qui éprouvait à la fois, de l'incompréhension et à la fois du plaisir.

Lilou-: Pourquoi tu as fais ça?

Adrien-: Tu me cassais les couilles à t'énerver toute seule.